• APM-Résidences d’artistes
    • 2025
    • Dialogue entre Valérie Sonnier, artiste et Henri Guette, critique d’art

    • Conférence
    • 22.04.25 → 22.04.25
      Conférence
      APM-Résidences d’artistes
    • Certaines personnes prétendent qu’à Saint-Jacut errent des fantômes et Valérie Sonnier est de celles-là. Dans son œuvre, les lieux sont toujours habités et des souvenirs d’enfance en Bretagne aux échos des Beaux-Arts de Paris, en passant par quelques autres maisons hantées il erre toujours quelques spectres. En abordant son travail de la photographie et du film tout comme les derniers dessins qu’elle a réalisés aux APM-Résidences d’artistes, il s’agira d’établir une hantologie, de revenir sur son parcours et de débusquer les images rémanentes et ce qu’il y a de présent au travers des couches d’encre et des tremblements de pellicule.
      Texte Henri Guette
       
    • Espace d’apparence
    • 2024
    • Gilles Clément à Brest — Priorité au vivant

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Gilles-Clément-BRE_7675-©-Eric-Legret_1100x1650web.jpg
      Portrait de Gilles Clément. Crédit photo: Eric legret
    • 04.12.24 → 05.12.24
      Conférence
      Espace d’apparence
    • Dans la continuité du programme « De la nature », Espace d’apparence s’associe à l’Université de Bretagne occidentale (UBO), l’École européenne supérieure d’art de Bretagne (EESAB) – site de Brest, la librairie Dialogues et au Conservatoire botanique national (CBN) de Brest, pour accueillir le jardinier-paysagiste, artiste et auteur Gilles Clément.
      Deux jours d’échanges avec le public et les étudiant.e.s pour mieux connaître cette figure singulière en quête d’une écologie humaniste, et appréhender les concepts qui ont contribué à sa notoriété de jardinier planétaire.

      /////////////////// À PROPOS DE GILLES CLÉMENT

      Après une formation comme ingénieur horticole (1967) et paysagiste (1969), Gilles Clément conçoit et réalise des parcs, des jardins, des espaces publics et privés. En parallèle de son activité de concepteur, il enseigne jusqu’en 2012 à l’École nationale supérieure du paysage de Versailles. Il poursuit aujourd’hui son activité de pédagogue lors d’ateliers en Italie, Espagne et France.
      Gilles Clément est l’auteur de plusieurs concepts qui ont marqué les acteurs du paysage de la fin du XXe siècle et du début de ce XXIe siècle. Son intervention au parc André-Citroën à Paris, première application de l’idée du Jardin en Mouvement, l’exposition sur Le Jardin planétaire dont il a été commissaire en 1999 à la Grande Halle de la Villette à Paris, ses nombreux écrits, qui constituent une œuvre à la fois théorique et littéraire, l’ont rendu célèbre auprès du grand public.
      Le « Toit de la Base sous-marine » de Saint Nazaire où il conçoit son premier Jardin du Tiers-Paysage (2009), l’exposition itinérante « Toujours la vie invente », créée en 2013 à Saint-Benoît du Sault, et qui fut présentée en 2017 au parc du Domaine de Trévarez en Bretagne, sont d’autres projets parmi les plus connus.
      Ses réalisations récentes sont les « Jardins de l’Abbaye de Noirlac » et la mise en œuvre du « Jardin Vivienne » pour la BNF à Paris et du « Cercle immense » à la Saline royale d’Arc et Senans, ou encore l’exposition « La préséance du vivant » en collaboration avec l’agence Coloco dans le cadre de la Biennale d’architecture et de Paysage 2022 de Versailles.
      Dernièrement, il a accompagné l’aménagement paysager des nouveaux bâtiments administratifs du Conservatoire botanique national de Brest.
      Plusieurs prix consacrent son œuvre dont le Grand prix du paysage en 1998.

      /////////////////// PROGRAMME PUBLIC

      EN AMONT : MARDI 26 NOVEMBRE

      ————————-

      PROJECTION : DOCUMENTAIRE “LE JARDIN EN MOUVEMENT, GILLES CLÉMENT”
      Documentaire écrit et réalisé par Olivier Comte – A.P.R.E.S. Production, France, 2013, 52 minutes.

      EESAB – site de Brest

      rue du Château

      18h

      COMPLET

      MERCREDI 4 DÉCEMBRE

      ————————-

      CONFÉRENCE : URGENCE, ÉMOTION, LIENS AVEC LE VIVANT

      Faculté Vicor Segalen (UBO)  — Brest

      rue Duquesne

      18h

      Introduction : Françoise Terret-Daniel, historienne de l’art.

      Participation libre

      Entrée libre dans la limite des places disponibles

      JEUDI 5 DÉCEMBRE

      ————————-

      RENCONTRE LITTÉRAIRE

      Librairie Dialogues — Café de la librairie — Parvis Marie-Paule Kermarec — Square Mgr Roull — Brest

      18h00

      Gratuit

      Inscription dans la limite des places disponibles à l’adresse : librairiedialogues.fr/rencontre

      /////////////////// PROGRAMME PÉDAGOGIQUE

      En parallèle aux rencontres publiques, Gilles Clément réalisera deux masterclass auprès des étudiant.e.s en arts de l’Université de Bretagne occidentale et de l’EESAB, l’une à l’EESAB et l’autre au CBN de Brest.

      ————————-

    • L’Œil d’Oodaaq
    • 2024
    • Festival Oodaaq #13

    • Atelier
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/AFFCHE-FESTIVAL-OODAAQ.png
    • 15.05.24 → 19.05.24
      Atelier
      L’Œil d’Oodaaq
    • FESTIVAL OODAAQ #13

       

       

      Images nomades et poétiques,

      Point fort de la programmation annuelle de L’Œil d’Oodaaq, le Festival Oodaaq #13 vous donne rendez-vous cette année à la Bibliothèque des Champs Libres (le 15 mai), au bar L’Attrape-Rêve (le 16 mai) ainsi qu’au Théâtre de la Parcheminerie (les 17, 18 & 19 mai) à RENNES.

      Au programme : projections de programmes vidéo, conférence, projection-débat, performances et concerts.

       

      BIBLIOTHÈQUE DES CHAMPS LIBRES

      Mercredi 15 mai :

      Projection, Le quotidien devient un musée vivant et le passé s’incarne dans les corps d’aujourd’hui  : 12h30 & 17h

       

      ATTRAPE RÊVE

      Jeudi 16 mai:

      Projection, Je suis composée de matière humaine comme vous : 20h

       

      PARCHEMINERIE

      Vendredi 17 mai:

      Ouverture des portes : 17h30

      Projection, Comme une promesse faite sur le sable, à peine écrite que déjà la mer l’efface  : 18h15

      Projection, Faire n’importe quoi que tu as décidé pour toi, n’importe quoi qui te permet d’acheter ta liberté, c’est vivre : 19h30

      Performance, Milon Milon : 21h30

      Performance, Ju Bourgain : 22h45

      Performance, Dragshow House of Evangelion : 00h00

       

      Samedi 18 mai:

      Goûter rencontre discussion équipe artistes publics : 15h00

      Projection, Géante aux pieds d’argile, féminine malgré mes efforts : 16h00

      Projection, Je préfère être cyborg que déesse : 16h50

      Projection, Viendra le temps du temps du feu : 18h

      Projection, Apprendre le langage des arbres et des ruisseaux : 19h40

      Performance, Rose Mahé Cabel : 21h

      Vidéo-Performance de Marion Binois interprétée par Marine Gambardella, Marguerite : 22h25

      Performance, BORA Murmure : 23h45

       

      Dimanche 19 mai:

      Ouverture des portes : 12h30

      Projection, Nos silences ne nous protégeront pas : 13h

      Atelier/projection de Tahin Demiral sur le cinéma De Barbara Hammer, Amour.amours.liberté : 14h20

      Projection, Où je vais, les arc-en-ciel coulent sur les bras : 17h30

      Live Amarin Romarin : 19h15

      → L’ensemble du Festival Oodaaq est à prix libre et conscient

      → Bar et petite restauration sur place

      → Boutique nomade : Vente de sérigraphies, stickers, cartes postales

       

      Création visuelle par Ari Caron Delacour

    • Archives de la critique d’art
    • 2023
    • Entre Doha et Ithaca, où est l’abstraction arabe ? Rencontre publique avec Marjolaine Lévy, critique d’art et commissaire d’expositions

    • Conférence
    • 29.11.23 → 29.11.23
      Conférence
      Archives de la critique d’art
    • Espace d’apparence
    • 2023
    • Marcher sur l’eau blanche. Marie-Claire Raoul, Caroline Denos

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Marcher-sur-l-eau-blanche_Keravilin_Caroline-Denos-2023-02-25-a-11.21.02_w900.jpg
      Performance de Caroline Denos autour de la sculpture Marcher sur l'eau blanche de Marie-Claire Raoul
    • 29.03.23 → 29.03.23
      Conférence
      Espace d’apparence
    • L’artiste visuelle Marie-Claire Raoul présentera le processus de création de la sculpture en saules vivants Marcher sur l’eau blanche.

      A cette occasion, elle a invité la danseuse et chorégraphe Caroline Denos à suggérer par le biais d’une performance dansée cette recherche autour de l’eau, ses métamorphoses, son cheminement de la terre à la mer.

      Cette mise en relation entre arts visuels et performatifs illustrera les forces et résistances qui induisent ou empêchent les déplacements, évolutions et progressions d’une pensée artistique aboutissant à la réalisation effective d’une œuvre. Elle témoignera de l’enchevêtrement de schémas mentaux avec des connaissances scientifiques et techniques, des archives ou des témoignages.

      Les artistes utiliseront un dispositif visuel (vidéos, photographies et dessins) pour accompagner leur présentation.

      ——————————–

      La sculpture Marcher sur l’eau blanche a été conçue et réalisée par Marie-Claire Raoul en 2022 lors de la résidence d’artistes De la nature organisée par l’association Espace d’apparence.
      Il s’agissait lors de cette résidence d’établir un dialogue avec des chercheur.euse.s, des scientifiques ou des professionnel.le.s des espaces naturels afin d’interroger la notion de nature, en investissant le territoire brestois. Marie-Claire Raoul a choisi de travailler sur le vallon du Stang-Alar.
      Confirmé par des recherches cartographiques, le témoignage oral de l’existence d’un ancien étang à l’emplacement actuel de la prairie de Paralen situé en bas du vallon a suscité la conception de la sculpture.
      Constituée de perches de saule vivant, celle-ci rappelle par sa forme au sol cette étendue d’eau alimentée par le ruisseau du Stang-Alar qui se nommait alors Dour gwenn, c’est-à-dire en breton Eau blanche. Installée sur la prairie humide de Keravilin, elle suggère les métamorphoses du paysage et interroge notre perception de ce qui est naturel. En effet, la prairie de Palaren qui nous semble un vestige authentique d’une zone humide est en réalité une reconstitution sur du remblai. La sculpture pointe par ailleurs le rôle des zones humides en milieu urbain comme réponse aux enjeux du changement climatique.

      ——————————–

      Caroline Denos est danseuse contemporaine et chorégraphe basée à Brest.

      Sa danse est emprunte d’intuition, de sensible et de générosité avec une part belle à la transmission et aux rencontres en tout genre. Elle intervient auprès de divers publics et travaille avec des structures de la région (L’Articoche, Cad Plateforme, Escabelle, Les Pieds nus, Danse à tous les étages, SMAC La Carène, CAC Passerelle, l’UBO, Lola Gatt).

      Après avoir esquissé deux soli en 2016 (Mother) et en 2018 (Boom), elle est actuellement au travail sur deux créations chorégraphiques et musicales (Larsen/Sans Fond et Batée ou le B.A-BA ) avec le musicien François Joncour.

      Elle avait réalisé en 2019 une performance en résonance avec la série photographique de Marie Claire Raoul « Je voudrais aller me promener dans les bois ».

      ——————————–

      Par le biais d’une pratique pluridisciplinaire (installation, photographie, peinture, travaux d’aiguilles, montage numérique), la plasticienne Marie-Claire Raoul s’attache à révéler des interactions possibles entre des traces mémorielles, objectives ou mentales.

      En 2019, elle co-crée l’association Espace d’apparence pour initier des propositions alliant recherche, expérimentation et transmission. Dans ce cadre, elle imagine depuis 2021 avec l’artiste Marie-Michèle Lucas le programme « De la nature » qui réunit sur la métropole brestoise et le pays des Abers scientifiques, expert.e.s et artistes autour de la notion de Nature.

      La sculpture végétale Marcher sur l’eau blanche installée sur une prairie humide dévoile une rivière disparue rematérialisée par l’entremise de deux lignes de saules qui écrivent dans l’espace une plongée vers les mondes souterrains.

      marieclaireraoul.fr

    • Domaine de Kerguéhennec
    • 2023
    • Performances et encontre avec les commissaires d’exposition Elen Cornec et Sylvain le Corre

    • Conférence
    • 05.03.23 → 05.03.23
      Conférence
      Domaine de Kerguéhennec
    • AÛBE, BERNARD Eva, BOYER Marie, CADIC Aube, CANTELAUBE Alix, CHEMIN Francois, CORDINA, DANIEL Margaux, DELAITE Marie, DIBOINE Eloise, DUBOIS Merovee, GUIHARD Maldon, LE GAL Kim, NEVEU Jeanne, PRIOULT Juliette, REYES Isabella, SAVARY Emma et SUBTIL Romane

      Pour clôturer l’exposition temporaire Where do we go from here? consacrée à la nouvelle génération d’artistes, venez rencontrer les commissaires d’exposition et les artistes, et échangez avec eux autour du paysage, thème central de l’exposition.

      • 15h-17h30

      Performance musicale avec François CHEMIN, autour des paysages extérieurs

      Lecture dans les écuries avec Margaux DANIEL, autour des paysages intérieurs

      Performance avec Mérovée DUBOIS et CORDINA, autour du paysage des songes

      Rencontre avec les commissaires de l’exposition Sylvain LE CORRE et Elen CORNEC : Paysage et environnement; lecture du paysage par la jeune création.

    • Les Moyens du Bord
    • 2022
    • Table ronde : Corps et paysages urbains

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/IMG_5186-scaled.jpg
    • 03.12.22 → 03.12.22
      Conférence
      Les Moyens du Bord
    • Guillaume Castel et l'Atelier Bivouac

      TEMPS FORT #1 : LE CORPS, UNE PARTIE PRENANTE DU PAYSAGE ?
      Cette saison, les Temps forts des Moyens du Bord abordent le sujet du paysage sous différents angles, à travers des tables rondes et des ateliers.
      > Gratuit, sur inscription via lesmoyensdubord.mdb@gmail.com ou au 02 98 88 25 62
       
      TABLE RONDE #2 – CORPS ET PAYSAGES URBAINS
      Les aménagements urbains sont-ils adaptés à nos corps ou est-ce nos corps qui s’y adaptent ? Souvent décrite comme un être vivant, la ville a son corps, son cœur et ses périphéries. Cependant, l’environnement dans lesquels les habitants vivent, les conditionnent-ils par la suite ? Entre urbanisme, praticité et bien-être, quelle est la relation entre architecture urbaine et paysage corporel ?
       
      Intervenant 1 : Guillaume Castel
      Guillaume Castel vit et travaille à Plouégat-Guérand. Depuis des années, il sculpte la nature qui l’entoure. Passionné de botanique, il observe et étudie les plantes, leurs structures, leurs motifs, et extrait de son environnement des formes et des rythmes qu’il fixe dans ses sculptures. Ses matériaux de prédilections sont le bois et le métal. Ses œuvres naissent notamment de ce paradoxe : les formes du vivant fixé dans des matériaux industriels.
       
      Intervenant 2 : L’atelier Bivouac
      L’atelier Bivouac est un collectif de paysagistes rassemblés autour d’une aspiration commune : explorer de nouvelles manières de concevoir les projets d’espaces publics.
      Pour eux, l’expérimentation et la recherche sont indissociables de l’expérience physique du territoire: être présents et attentifs, vivre ici et maintenant.
      Leur pratique du projet se fonde sur une démarche d’immersion: nous proposons d’habiter pour un temps le lieu de la commande et d’y déployer un atelier à ciel ouvert. Cette présence sur le terrain leur permet de comprendre les besoins et aspirations de ceux qui vivent et font vivre les territoires pour formuler et construire une réponse appropriée, singulière et sensée.
      Par leur attention au « déjà-là », par leurs travaux d’inventaires, en se positionnant volontairement dans une économie de moyens, ils tirent parti des ressources en place, en suivant une logique de réemploi et de recyclage.
      Une partie de l’équipe est basée à Chirols en Ardèche et l’autre à Plougastel-Daoulas dans le Finistère.
    • Les Moyens du Bord
    • 2022
    • Table ronde : le paysage intime

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/1-nombrilbrode-6184-scaled.jpg
    • 02.12.22 → 02.12.22
      Conférence
      Les Moyens du Bord
    • Brigit Ber et Sarra Mezhoud

      TEMPS FORT #1 : LE CORPS, UNE PARTIE PRENANTE DU PAYSAGE ?
      Cette saison, les Temps forts des Moyens du Bord abordent le sujet du paysage sous différents angles, à travers des tables rondes et des ateliers.
      > Gratuit, sur inscription via lesmoyensdubord.mdb@gmail.com ou au 02 98 88 25 62
       
      TABLE RONDE #1 – PAYSAGE INTIME
      Représentant l’intimité de chacun et chacune, le corps est un paysage du vécu. Telle une protection, il est notre première définition et retrace les mémoires de moments passés. Faisant également lui-même parti du paysage, quelle est donc sa place ? Entre élément personnel tout et à la fois collectif, nous nous questionnerons sur la définition d’un paysage intime.
       
      Intervenante 1 : Brigit Ber
      Diplômée en arts appliqués et en histoire de l’art, Brigit Ber interroge la fabrication des images. Elle sublime ce qui l’entoure (objets rencontrés naturels ou fabriqués) à travers sa maîtrise de différentes méthodes de création mêlant technologies d’aujourd’hui (photographie numérique, vidéo) et d’autrefois (gravure, cyanotype, anthotype, broderie).
       
      Intervenante 2 : Sarra Mezhoud
      Sarra Mezhoud est doctorante contractuelle en histoire de l’art à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne où elle est également chargée d’enseignement en historiographie de l’art. Sa thèse questionne le long processus d’apparition du tatouage dans le domaine artistique et son appropriation par les artistes, du XIXe siècle où l’image tatouage envahit les imaginaires collectifs, jusqu’à nos jours où le tatouage devient œuvre d’art à part entière. Ses recherches ont fait l’objet d’articles publiés dans différentes revues (Arte Cristiana, avril 2020 / La Peaulogie, mars 2022). Elle est aussi chargée de recherches et d’expositions pour la collection d’arts d’Afrique de l’association Meaning Africa (Le Kremlin-Bicêtre) qui vise à contribuer au rayonnement des arts et cultures d’Afrique.
    • Domaine de Kerguéhennec
    • 2022
    • Rencontre avec les artistes Marc Didou et François Réau

    • Conférence
    • 06.11.22 → 06.11.22
      Conférence
      Domaine de Kerguéhennec
    • Dimanche 6 novembre, venez rencontrer et échanger avec les artistes Marc Didou et François Réau, autour de leur travail, leurs inspirations et leur manière de voir l’art contemporain. Cette table ronde sera animée par Emmanuel Daydé, historien d’art, critique, journaliste et commissaire d’expositions.

    • GALERIE LE COMOEDIA, ART CONTEMPORAIN
    • 2022
    • Yann Kersalé, le Sculpteur de lumière – Conférence

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/le-comoedia-image-conference-yann-kersale-26-fevrier-2022-expo-vente-nouvelle-vague-bretonne-yvon-daniel-brest-finistere-bretagne.jpg
    • 26.02.22 → 26.02.22
      Conférence
      GALERIE LE COMOEDIA, ART CONTEMPORAIN
    • Capsule Galerie
    • 2021
    • Décapsuler l’art : Ouvrons l’œil !

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Decapsuler-lart-Ouvrons-loeil-14_page-0001-scaled.jpg
    • 16.12.21 → 16.12.21
      Conférence
      Capsule Galerie
    • Présentées par Etienne Schira

    • GALERIE LE COMOEDIA, ART CONTEMPORAIN
    • 2021
    • Conférence – Le Hangar’t, l’aventure du Pop Art de Pont-Aven

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/le-comoedia-galerie-d-art-conference-hangart-yves-quentel-20-novembre-2021-agenda-sortie-culturelle-brest-finistere-bretagne-event-evenement-artistique-exposition-vente-new-pop.jpg
    • 20.11.21 → 20.11.21
      Conférence
      GALERIE LE COMOEDIA, ART CONTEMPORAIN
    • APM-Résidences d’artistes
    • 2021
    • DIALOGUE entre Claude BRIAND-PICARD, artiste et Louis DOUCET, critique d’art.

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/ARA-BLEU-IMG_3019_light.jpg
    • 08.07.21 → 08.07.21
      Conférence
      APM-Résidences d’artistes
    • Jeudi 8 juillet 2021 20h30
      Abbaye de Saint-Jacut  
      Entrée libre sur inscription sur le lien suivant

      “La couleur et son rôle dans la peinture constituent, depuis des siècles, un enjeu de déchirements entre deux armées campant sur des positions antithétiques, un extrême étant défendu par Poussin, l’autre par Delacroix. Claude Briand-Picard renvoie ces deux points de vue dos à dos en ne faisant plus de l’acte de peindre, comme il l’a été pendant des siècles, une pratique de recouvrement d’une surface mais une démarche expérimentale de collecte et d’assemblage. Il renie ainsi, d’emblée, toute velléité d’identification. Il s’inscrit dans la démarche initiée par Duchamp, empruntant matériaux colorés et formes élémentaires au monde de la grande consommation ou à celui de l’industrie. Dans cette démarche, essentiellement ludique, qui enchaîne, non sans une certaine dose d’humour et d’ironie, appropriation, détournement puis réhabilitation – voire transfiguration – du banal, il définit un autre mode de relation du corps de l’artiste à l’œuvre en gestation. Il altère et redéfinit également, de façon tout aussi radicale, la relation du spectateur à l’œuvre, l’engageant dans une démarche inverse de celle de l’artiste : de la délectation visuelle à la prise de conscience de la banalité des matériaux constitutifs.”
      Louis Doucet

      Claude BRIAND-PICARD
      Né en 1946, il vit et travaille à Paris et Saint-Armel (Morbihan).
      Claude Briand-Picard se comporte comme un héritier des mouvements de l’abstraction américaine et européenne des années 70, notamment de Supports-Surfaces, un héritier qui en aurait soldé les aspects théorisants pour ne retenir et ne développer que deux de ses composantes essentielles : la relation du corps de l’artiste et du regardeur à la peinture, et la libération de la couleur et de la forme de leurs carcans traditionnels.

      Louis DOUCET
      Louis Doucet mène de front, depuis près de 50 ans, une activité de dirigeant de grandes entreprises du secteur privé, de collectionneur d’art contemporain, d’enseignant, d’écrivain, de commissaire d’expositions, de critique d’art, d’éditeur de livres d’art et de conseil auprès de plasticiens.

      Galerie Rejane Louin
      Cynorrhodon – FALDAC

    • Galerie Raymond Hains
    • 2020
    • Frontières, conférence de Julie C. Fortier

    • Conférence
    • 03.11.20 → 03.11.20
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • “Le Canada a la particularité d’avoir la frontière terrestre non militarisée la plus longue au monde : 8 891 km. J’ai grandi avec cette frontière comme un personnage fantôme, une présence absente. Elle était un personnage à part entière avec ses histoires de contre-bande au temps de la prohibition, d’immigration clandestine pendant la guerre, des amérindiens qui n’en n’avait cure et qui faisait le trafic de cigarettes par la forêt, les rivières et les lacs. Pour moi, travailler avec les odeurs c’est travailler en partie avec cette idée d’une impossibilité de la frontière. C’est nécessairement transgressif et politique. Les odeurs sont comme les amérindiens, elles se moquent des frontières. Elles font ce qu’elles veulent, elles se déplacent, vous embrasse, pénètre votre corps par la respiration et vous transforment.”

      Artiste d’origine canadienne dont le travail mélange son intérêt pour le paysage, la disparition et le temps d’une part, et d’autre part une pratique fondée sur des expériences olfactives et gustatives.
      Deux et Le quotidien de l’Art.

    • Galerie Raymond Hains
    • 2020
    • Conversation avec les éléments, conférence de François Feutrie

    • Conférence
    • 13.10.20 → 13.10.20
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • François Feutrie a étudié l’art, la géologie et le design graphique, trois disciplines qui nourrissent encore aujourd’hui sa pratique d’artiste.
      Il s’intéresse aux représentations de la nature, comme aux arts décoratifs ; aux propriétés des matériaux comme au temps qui passe.
      Il aime à faire migrer ses projets d’un médium à un autre (volume, dessin et image imprimée ou en mouvement) et d’un état à un autre: d’une main légèrement crayonnée dans la tendresse d’un bois sculpté à la viscosité d’un béton, du froid au chaud d’une plaque de cuivre, des profondeurs de la terre jusqu’aux architectures vernaculaires les plus fragiles. Ses recherches sont marquées par les questions de flux (d’informations, d’énergies) et de transformation (de matériaux, de paysages).

      Né au Mans en 1983, François Feutrie est diplômé de l’EESAB-site de Rennes et vient de rejoindre l’équipe de l’école des beaux-arts de Saint-Brieuc où il enseigne les pratiques élargies du dessin auprès des étudiant·e·s de la classe préparatoire.

    • Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 2020
    • Ludovic Chemarin © “Kentia : une plante sans qualité ?”

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/air-france.jpg
    • 08.10.20 → 26.11.20
      Conférence
      Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • LUDOVIC CHEMARIN©

       

      EXPOSITION 8 octobre . 26 novembre 2020
      COMMISSARIAT Ludovic Chemarin©
      COLLECTIONS Archives des artistes, Cabinet du livre d’artiste
      VERNISSAGE Jeudi 8 octobre 2020 . 18h00
      CONFÉRENCE de Ludovic Chemarin© au Frac Bretagne, mercredi 7 octobre 2020 . 17h30-18h45

      En 2005, Ludovic Chemarin décide de mettre fin à sa carrière d’artiste. En 2011, Damien Beguet et P. Nicolas Ledoux se proposent de la réactiver en lui rachetant son nom et ses droits sur l’intégralité de son œuvre. Dès lors, ils se mettent à produire des pièces sous le nom de Ludovic Chemarin© au sein desquelles la figure du kentia apparaît depuis quelques années, comme une affiliation directe avec deux artistes références du projet copyright : Marcel Broodthaers et Philippe Thomas.


      L’exposition au CLA, accompagnant la sortie du livre Kentia aux Éditions Incertain Sens, sera l’occasion de présenter l’ensemble des productions imprimées des artistes, de proposer une mise à jour de la biographie de Ludovic Chemarin© et de réunir un certain nombre de pièces et documents autour du motif du kentia, plante fétiche de l’artiste ©.
    • Galerie Raymond Hains
    • 2020
    • Conférence d’Étienne Bernard : Le nouveau projet du Frac Bretagne

    • Conférence
    • 29.09.20 → 29.09.20
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • Le Frac Bretagne constitue, depuis 1981, une collection d’art contemporain au service du territoire régional. À travers un programme d’expositions à Rennes, de diffusion en Bretagne et de documentation de la collection ainsi que de nombreux dispositifs à destination des publics, son projet artistique et culturel intitulé « Faire archipels », interroge l’avenir de l’institution à l’aune des aspirations légitimes de notre société contemporaine.

      Étienne Bernard est depuis 2019, directeur du Fonds régional d’art contemporain (Frac) Bretagne à Rennes, après avoir dirigé Passerelle Centre d’art contemporain à Brest (2013-2019), le Festival International de l’Affiche et du Graphisme de Chaumont (2007-2009) ainsi qu’un programme d’expositions dédié au graphisme au CAPC Musée d’Art Contemporain de Bordeaux (2007-2009).

       

       

      Étienne Bernard, directeur du Frac Bretagne

    • Festival Photo La Gacilly
    • 2020
    • Le droit d’auteur à l’heure du numérique

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Vignette-Saif-Jep.jpg
    • 19.09.20 → 19.09.20
      Conférence
      Festival Photo La Gacilly
    • APM-Résidences d’artistes
    • 2020
    • La couleur au jour le jour (Normandie Impressionniste 2020)
      Par Philippe Piguet, critique d’art et commissaire général de Normandie Impressionniste 2020

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/APM-Monet-Claude-La-rue-Saint-DenisWEB.jpg
    • 13.03.20 → 13.03.20
      Conférence
      APM-Résidences d’artistes
    • Pour sa quatrième édition, le festival Normandie Impressionniste 2020 propose tout un ensemble d’événements et de manifestations pluridisciplinaires. Autour d’un noyau d’expositions impressionnistes, il s’applique à souligner comment l’impressionnisme a bouleversé les habitudes perceptives de l’époque tant d’un point de vue du contenu que de la technique.

      C’est pourquoi Normandie Impressionniste 2020 fera une place particulièrement importante à la création contemporaine. Aussi, nous nous attacherons à faire valoir les liens prospectifs entre attitudes et pratiques d’hier et d’aujourd’hui.

      Philippe Piguet, commissaire général de Normandie Impressionniste 2020

    • Galerie Raymond Hains
    • 2019
    • Maki Suzuki, “Du travail infantile : les travers de l’exploitation”

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Maki-Suzuki.jpg
    • 03.12.19 → 03.12.19
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • “Cette conférence a été écrite en réponse à une question de ma fille de sept ans (alors) : est-ce que tu fais des choses sans moi ?
      La réponse n’est pas venue tout de suite car effectivement mon travail d’artiste et mon travail de graphiste l’incluent la plupart du temps,
      j’ai donc mis en place une série de questions que je me pose sur les statuts de nos collaborations. Est-ce que je l’exploite?” Maki/Åbäke

      Åbäke est un collectif fondé par Patrick Lacey, Kajsa Stahl, Maki Suzuki et Benjamin Reichen.
      Åbäke est un collectif aux activités multiples : designers graphiques, Dj’s, peintres, photographes, curateurs ou professeurs, ils conçoivent des éditions, du mobilier,
      des installations… Leurs projets impliquent souvent des collaborations avec des personnes extérieures au collectif. Åbäke a notamment co-fondé la maison d’édition
      Dent de Léone et a également enseigné le design graphique au Royal College of London
    • Frac Bretagne
    • 2019
    • Marcel Dinahet et ses critiques

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/2-18-Cherrueix-1-WEB.jpg
      Marcel Dinahet, Cherrueix, 2018 © Marcel Dinahet
    • 16.10.19 → 16.08.19
      Conférence
      Frac Bretagne
    • À l’occasion de la parution de l’ouvrage Marcel Dinahet/Sous le vent et dans le cadre du 30e anniversaire des Archives de la critique d’art, le Frac Bretagne et les ACA vous invitent à la rencontre Marcel Dinahet et ses critiques le mercredi 16 octobre à 18H30 au Frac Bretagne.
      Il y sera question des liens que l’artiste entretient avec ceux qui accompagnent et qui commentent son œuvre.
    • Centre d’art GwinZegal
    • 2019
    •      

    • Colloque
    • 05.10.19 → 05.10.19
      Colloque
      Centre d’art GwinZegal
    • Pascal Beausse, François Piron, Jean Marie Dréan et Les Scotcheuses

       

       

       

    • Galerie Raymond Hains
    • 2019
    • Les livres d’artistes pour enfants et la photographie, conférence-Sandwich de Paul Cottin

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Conférence-de-Paul-Cottin.jpg
    • 07.05.19 → 07.05.19
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • Dans l’histoire des ouvrages destinés à l’enfance et à la jeunesse, ceux illustrés par la photographie, viennent rarement à l’esprit. La richesse et la diversité de cette production mérite pourtant qu’on s’y intéresse, d’autant que de grands noms de la photographie ont été des acteurs de cette production : Balthasar Burkhard, Claude Cahun, Robert Doisneau, Duane Michals, Sarah Moon, Alexandre Rodtchenko, Cindy Shermann, William Wegman… (…) Les photographes ne sont pas les seuls a s’être saisi de l’outil photographique pour produire des œuvres à destination de l’enfance et la jeunesse. Cela concerne également des personnalités du monde de l’art. Au-delà de la caractéristique internationale et ancienne de cette production, ce qui surprend est la grande diversité des formes, des écritures et l’entremêlement des modes d’expression, entre photographie, texte, graphisme, montage. C’est à la découverte d’une part de cet univers d’une grande liberté de ton et de forme que se propose de partager cette conférence.

      Paul Cottin a effectué un parcours professionnel au sein du monde de l’art et de la culture, entre théâtre et photographie. C’est à La Filature, Scène Nationale de la ville de Mulhouse qu’il intègre son intérêt ancien pour la photographie à son parcours professionnel. Pendant dix ans, de l’ouverture de La Galerie de La Filature consacrée à la photographie, à son départ pour fonder et diriger le Centre d’Art GwinZegal, il conçoit une cinquantaine d’expositions, d’André Kertész à Jacob Holdt, en passant par Sonja Braas, Sven Johne, Nathalie Czech, Kenneth Josephson, Malick Sidibé, Jan Svoboda, Jakob Tuggener…

    • Galerie Raymond Hains
    • 2019
    • Conférences-sandwich Mardi 26 mars 12h15 AURÉLIE FERRUEL ET FLORENTINE GUÉDON

    • Conférence
    • 26.03.19 → 26.03.19
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • À la source de la pratique d’Aurélie Ferruel et Florentine Guédon se trouve un intérêt partagé pour la tradition, en tant que lien générationnel, vecteur de transmission de gestes et de savoirs. Outre leurs héritages culturels respectifs, leur travail plastique intègre des codes identitaires de divers groupes tels que des tribus, des confréries locales, des cercles familiaux, que les deux artistes observent et traversent à la manière d’anthropologues et dont elles s’approprient les cultes et les esthétiques pour en créer de nouveaux. Cette conférence s’inscrit dans le cadre du projet Une villa à soi, une résidence mobile pour dix artistes femmes, entrela Villa Rohannec’h à Saint-Brieuc et Cette Arts Danube en Roumanie.

       

      Mardi 26 mars 12h15

    • Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 2019
    • “Mains gantées et pieds bottés” Conférence + finissage

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/mgpb29.jpg
    • 19.03.19 → 19.03.19
      Conférence
      Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • LE CABINET DU LIVRE D’ARTISTE PRÉSENTE :
      “Mains gantées et pieds bottés : Représentations d’armées de femmes et corps collectifs féminins”

      FINISSAGE + CONFÉRENCE
      MARDI 19 MARS
      *15h-17h30 : finissage de l’exposition “Mains gantées et pieds bottés” au CLA, en présence d’Agnès Geoffray et Lise Lerichomme.
      *17h30-19h30 : conférence de Lise Lerichomme dans le cadre des “Mardis de l’égalité” + entretien avec Agnès Geoffray
      Amphi du pôle numérique – bât. T

      EXPOSITION DU 17 JANVIER AU 19 MARS 2019
      COMMISSARIAT LISE LERICHOMME

      Les femmes en bataillons sont souvent représentées à la façon de caricatures, assignées à n’être que la répétition mécanique ou érotique d’un personnage générique. Pourtant ces alignements de pieds bottés et de mains gantées sont également des motifs émancipateurs. Face aux représentations qui ne laissent pas de place aux identités choisies et moins encore aux héroïnes, nombre d’artistes inventent de nouveaux modèles de corps collectifs et d’armées de femmes.

      Avec : Atelier McClane, Nina Childress, Coco Fusco, Agnès Geoffray, Grandville, Guerrilla Girls, Marie-Ange Guilleminot, Sharon Kivland, Barbara Kruger, Suzanne Lacy, Lennep, Violaine Lochu, Alex Martinis Roe, Meg Mateo Ilasco, Mashid Mohadjerin, Lisa Robertson & Matthew Stadler, Robida, Rosambeau, Xavier Sager, See Red Women’s Workshop, Taroop & Glabel, Miwa Yanagi, Rote Zora, etc., et les fonds iconographiques de la bibliothèque Marguerite Durand.

    • Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 2019
    • “MAINS GANTÉES ET PIEDS BOTTÉS : Représentations d’armées de femmes et corps collectifs féminins”

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/visuel-2.jpg
    • 17.01.19 → 19.03.19
      Conférence
      Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • EXPOSITION DU 17 JANVIER AU 19 MARS 2019
      COMMISSARIAT LISE LERICHOMME
      VERNISSAGE JEUDI 17 JANVIER À 18H
      FINISSAGE MARDI 19 MARS DE 15H À 17H30
      CONFÉRENCE PAR LISE LERICHOMME MARDI 19 MARS DE 17H30 À 19H30

      Les femmes en bataillons sont souvent représentées à la façon de caricatures, assignées à n’être que la répétition mécanique ou érotique d’un personnage générique. Pourtant ces alignements de pieds bottés et de mains gantées sont également des motifs émancipateurs. Face aux représentations qui ne laissent pas de place aux identités choisies et moins encore aux héroïnes, nombre d’artistes inventent de nouveaux modèles de corps collectifs et d’armées de femmes.

      Avec : Atelier McClane, Nina Childress, Coco Fusco, Agnès Geoffray, Grandville, Guerrilla Girls, Marie-Ange Guilleminot, Sharon Kivland, Barbara Kruger, Suzanne Lacy, Lennep, Violaine Lochu, Alex Martinis Roe, Meg Mateo Ilasco, Mashid Mohadjerin, Lisa Robertson & Matthew Stadler, Robida, Rosambeau, Xavier Sager, See Red Women’s Workshop, Taroop & Glabel, Miwa Yanagi, Rote Zora, etc., et les fonds iconographiques de la bibliothèque Marguerite Durand.

      + FINISSAGE DE L’EXPOSITION “Mains gantées et pieds bottés” mardi 19 mars 2019, en présence d’Agnès Geoffray et Lise Lerichomme, suivi d’une CONFÉRENCE de Lise Lerichomme, de 17h30 à 19h30, dans le cadre des “Mardis de l’égalité”, Amphi du Pôle numérique – Bât.T.
      Université Rennes 2 / Place du recteur Henri Le Moal
    • Galerie Raymond Hains
    • 2019
    • Guillaume Pinard

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Rosso.jpg
    • 15.01.19 → 15.01.19
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • In a multi-faceted praxis, Guillaume Pinard finds the possibility of creating variations of scale and time-frame. Some works call for slowness: the remake of classical pictures in monumental wall drawings; others call for a glorified, compulsive impulse, a work in hand: paintings with a pocket format. The whole endeavour organizes a journey through painting and images in a procession of associations, links and signs.

      Guillaume Pinard thus explores all the media of display with relish. It is based on his interest in encyclopaedias, comic strips, cartoons, letters and painting that, from one installation to the next, the artist sets in motion the snippets of a narrative, and the workings of an exploded world.

      The artist is forever going back and forth between his studio (the place where the work and its basic gesture gestates: the drawing) and his office (where he works out avenues of research and risky forward-looking projects using the Internet, archives, and books). The exhibition room is the meeting point of unlikely encounters, where Guillaume Pinard invites us each and every time to embark on a weird journey to the land of mediation, heritage, and culture industry.

    • Galerie Raymond Hains
    • 2018
    • Romain Guillet, conférence-sandwich, 12:15

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/c5e1874806e03ab0_3322-w400-h504-b0-p0-home-design.jpg
    • 20.11.18 → 20.11.18
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    •  

      Romain Guillet développe son travail de designer dans divers contextes (aménagement, scénographie, mobilier…). Dès la fin de ses études, il rejoint pendant 2 ans lʼéquipe de Mathieu Lehanneur et co-fonde simultanément le studio STATUE. STATUE est primé au VIA design 2013 et expose ses projets textiles à Amsterdam, Milan, et Paris. Parallèlement, il signe des projets dʼaménagement pour le Centre Pompidou, le musée des Beaux-Arts de Paris, le Printemps de septembre à Toulouse ou la Fondation Lafayette Anticipation. Il collabore régulièrement avec
      la plasticienne et scénographe Nadia Lauro sur des installations pour la danse contemporaine, ainsi quʼavec de nombreux artistes tels que Camille Blatrix, Jean-Luc Moulène ou Olaf Nicolai.

    • Frac Bretagne
    • 2018
    • Corps, fluidité et rituels de résistance

    • Conférence
    • 17.11.18 → 17.11.18
      Conférence
      Frac Bretagne
    • Avec Barbara McCullough, Paul Maheke et Céline Kopp

      En partant de l’expérience de Barbara McCullough au lendemain des émeutes de Watts, et de Water Ritual (1979), considéré comme un film expérimental précurseur du féminisme noir, les intervenants évoqueront la persistance du motif de l’eau et de la notion de fluidité comme concept et stratégie de résistance, en considérant cette présence dans le travail de Paul Maheke.

    • Galerie Raymond Hains
    • 2018
    • Madison Bycroft, conférence-sandwich, 12:15  

    • Conférence
    • 02.10.18 → 02.10.18
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • Conférence en anglais avec traducteur

       

      Madison Bycroft (1987, Australie) produit, à lʼinvitation de la galerie Raymond Hains et des Ateliers de Rennes – biennale dʼart contemporain, sa première exposition dʼenvergure en centre dʼart. Ses recherches balaient le spectre des communications, navigant de lʼarticulé à lʼinarticulable. Sa production se déploie sous forme de vidéos, de performances et de sculptures.


      Après son master au Piet Zwart Institute of Fine Art (Rotterdam) en 2016, Madison Bycroft a montré ses travaux à la Biennale de Sharjah (Beyrouth, Liban), à Adelaïde (Marseille) en association avec Triangle France, ainsi quʼà Münster (Allemagne), Athènes (Grèce), Christchurch (Nouvelle-Zélande) et New-York (USA).

    • Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 2018
    • One Piece at a Time : les arts tactiques au travail

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/bogoto.jpg
    • 20.09.18 → 20.12.18
      Conférence
      Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • “ONE PIECE AT A TIME : LES ARTS TACTIQUES AU TRAVAIL”


      EXPOSITION DU 20 SEPTEMBRE AU 20 DÉCEMBRE 2018
      JOURNÉE D’ÉTUDES JEUDI 20 SEPTEMBRE DE 10H À 17H30
      VERNISSAGE JEUDI 20 SEPTEMBRE À 18H
      COMMISSARIAT JIL DANIEL, JAN MIDDELBOS, AURÉLIE NOURY

      « One Piece at a Time » présente un inventaire (provisoire, non-exhaustif et subjectif) de propositions et documents résultant de conduites tactiques et d’attitudes de résistance menées à partir du poste de travail. L’exposition prend la forme d’une bourse du travail parallèle mettant en partage des savoirs (autour d’ateliers, de conférences, de projections et de présentations de documents) ; des moyens de production (perruques, détournements, retournements…) ; des réalisations (dons, échanges).


      Plusieurs intérêts sont à l’origine de cette proposition :
      – Opter pour un regard distancié et critique sur nos cadres et conditions de travail.
      – Adopter les contraintes imposées par ces conditions de travail pour tenter de les retourner au profit d’actions ou de productions parallèles.
      – Engager des processus de résistances à partir d’un quotidien vécu au travail.
      – Produire des « enquêtes » en tentant de rendre compte – à l’extérieur – d’un point de vue de l’intérieur, et à partir des moyens – ou données – accessibles depuis nos postes de travail.
      – Générer de la discussion autour des conditions de travail actuelles et de résistances possibles aujourd’hui.

      « One Piece at a Time » est aussi l’occasion de vérifier l’actualité de ces pratiques et d’en éprouver les limites, que ce soit dans le domaine de l’art ou au-delà. Enfin, cette exposition offre l’opportunité de s’introduire dans les entreprises, et cela par le biais des acteurs de ces mondes : les salariés. Il s’agit de rendre visible ce qui est habituellement caché derrière les portes closes des univers privés de la production et d’assumer collectivement et publiquement le caractère politique que peuvent revêtir ces formes de réappropriation/redistribution directe des savoir-faire, des moyens de production et du temps travail, pratiques habituellement individuelles et (semi-)clandestines. S’ouvre ainsi la possibilité de générer du « faire avec » en résistance, et de produire des « micro-utopies » travaillées à partir du réel.

      + JOURNÉE D’ÉTUDES : “Les arts tactiques au travail”
      20 septembre 2018 / Salle R101 (bâtiment R : ÉRÈVE)
      Université Rennes 2 / Place du recteur Henri Le Moal
      Organisation : Jan Middelbos, Équipe d’accueil Pratiques et Théories de l’Art Contemporain EA7472

      Le poste occupé par les salariés dans l’entreprise peut être retourné de multiples façons au profit d’une production parallèle. Les travailleurs peuvent ainsi chaparder, perruquer (1), jouer, saboter, enquêter, documenter (photo, vidéos, audio ou écrit,…), y mener différents types de grèves (perlées, zélées ou d’occupations,…) et, par leurs actions, se jouer des innombrables contraintes propres à l’entreprise. Si chacune de ces pratiques sont spécifiques – et il ne s’agit pas ici de leur ôter leurs particularités –, il semble qu’elles puissent avoir en commun d’appartenir à ce qu’on pourrait appeler des arts tactiques. Des arts tactiques, au sens où Michel de Certeau disait de la tactique qu’elle « n’a pour lieu que celui de l’autre » puisque, contrairement à la stratégie, elle doit « jouer avec le terrain qui lui est imposé tel que l’organise la loi d’une force étrangère » (2). Dans la continuité de l’investigation menée par Michel de Certeau – qui se proposait d’ « exhumer les formes subreptices que prend la créativité dispersée, tactique et bricoleuse des groupes ou des individus pris désormais dans les filets de la “surveillance (3)” » –, l’ambition de cette journée d’études sera d’offrir un espace de réflexion et d’échange autour de ces arts (ou manières) de faire qui ont cours sur nos lieux et pendant notre temps de travail. Ces rencontres seront alors l’occasion d’interroger les méthodes artistiques au regard d’autres façons de rendre compte – ou d’agir sur – les mondes du travail et d’entamer ainsi une discussion avec des acteurs qui, à partir de points de vue divers (de l’enquête ethnographique, aux récits d’expériences ouvrières…), proposent à leur tour d’autres « versions » de ces mondes et de leurs retournements possibles. Se confronter de cette façon à ces arts rusés au travail nous amènera alors à prendre en considération un certain nombre d’enjeux communs à la fois aux mondes de l’art et à ceux du travail : condition de production et rémunération, place de l’artiste et du salarié dans la division sociale du travail, résistance et subordination, aliénation et épanouissement individuel et collectif, créativité, ingéniosité et retournement des contraintes, rareté et unicité des objets fabriqués en dehors de la production réglementaire et captation possible par les marchés, etc.


      Nous chercherons alors à déployer un éventail de propositions suffisamment large – entre l’action discrétionnaire et celle, plus manifeste, entre l’action fictionnelle et celle, plus en prise avec le réel, entre l’action qui se réclame de l’art et celle qui ne s’en réclame pas, et entre l’action critique et celle récupérée – nous permettant de comprendre différentes tactiques activables à partir de la position de salarié et, dans un même temps, en espérant que ces formes exhumées de créativité et d’inventivité nous incitent, nous donnent envie de faire à notre tour.

      1. Le travail en perruque consiste dans un contexte salarial (sur le lieu et pendant le temps de travail) en la réappropriation individuelle ou collective des moyens de production disponibles (matériaux et outils de production) afin de fabriquer ou transformer un objet en dehors de la production réglementaire de l’entreprise.
      2. Michel de Certeau, L’Invention du quotidien tome 1 : arts de faire, Paris, Gallimard, 1990, p. 60-61.
      3. Ibid., p. XL. Nous soulignons.

      PROGRAMME DE LA JOURNÉE D’ÉTUDES

      10h00 Accueil des participants
      10h15 Introduction de la journée par Jan Middelbos
      10h30 Sophie Lapalu : Peut-on faire des œuvres qui ne soient pas d’art?
      11h15 Robert Kosmann : La perruque ouvrière, définition et débats
      12h15 Repas
      14h00 Olivier Lapert : Je vis du vol et…
      14h45 Véronique Moulinié : Faire et se créer : manipulation de savoirs technologiques et mise en scène de soi.
      15h30 Laurent Marissal : Parler c’est déjà peindre #47
      16h00 Pause
      16h15 Johanna Viprey (par vidéo conférence) : De l’artiste en chauffeur de taxi à l’artiste en commissaire
      16h45 Table ronde des participants et échanges avec le public
      17h30 Fin de la journée d’études
      18h00 Participants et public sont conviés au vernissage de l’exposition « One Piece at a Time : Les arts tactiques au travail » au Cabinet du livre d’artiste.
      Robert Kosmann (né en 1948) entre chez Renault en 1973 où il est fraiseur et syndicaliste CGT. Licencié en 1991 après la fermeture de l’usine de Saint-Ouen, il entre alors dans une période de chômage et de précarité, où il s’inscrit à l’université Paris 8. Il est ensuite salarié de l’administration des impôts et syndiqué à l’Union syndicale Solidaires.  Perruqueur confirmé pendant son temps passé à l’usine, il publie plusieurs articles dans la presse syndicale à ce sujet. Retraité en 2011, il se consacre à la réalisation de biographies ouvrières pour le dictionnaire Maitron et prépare un ouvrage sur la perruque Sorti d’usines (à paraître chez Syllepse, nov. 2018) qui reprend et élargit ses anciens travaux.

      Sophie Lapalu est critique d’art, commissaire d’exposition, docteure en esthétique et science de l’art, elle enseigne à l’École supérieure d’art de Clermont Métropole. Elle est également membre du comité de rédaction de La Belle Revue, matelot du Laboratoire des Hypothèses, correspondante pour *DUUU radio ; elle écrit régulièrement dans des catalogues et a publié plusieurs ouvrages (CUL DE SAC, Astérides, 2014, Rien n’est vrai, tout est permis, Piano Nobile, 2014, De l’action à la conversation, Frac Franche Comté / Les Presses du Réel, 2014). Ses recherches sur l’action furtive l’ont menée à expérimenter les formats au travers d’invitations, d’expositions contées ou de festivals de l’inattention (Glassbox, 2016, L’œil de poisson, Québec, 2018, Clermont Ferrand, 2018).

      Olivier Lapert, Je vis du vol, ma patience est parfois récompensée, et ce que je ramasse est plus intense que ce que j’en fais, en bon suiveur de Filliou et d’autres, quoique je fasse j’essaie d’en faire autre chose. J’aime ce qui n’a pas l’air d’être ce que c’est, les pommes de terres et les oiseaux.

      Laurent Marissal, peintre au bleu (entre autres).

      Véronique Moulinié est anthropologue et directrice de recherche au CNRS (IIAC- équipe LAHIC). Elle travaille, entre autres, sur la culture ouvrière, le bricolage et les environnements singuliers. En somme, sur les réalisations de ceux qu’elle a qualifiés d’« oeuvriers ».  Elle a publié plusieurs articles sur ces divers sujets.

      Johanna Viprey (née en 1979 à Besançon, vit à Genève) a réalisé un Master en Arts visuels à la Head de Genève. Elle poursuit une recherche sur les modes de restitution de l’expérience et les questions de subjectivité liées à la traduction et à la médiation de celle-ci, et ce, à travers des formes et des références interdisciplinaires.

    • Galerie Raymond Hains
    • 2018
    • Elsa Sahal, conférence-sandwich, 12:15

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Elsa-Sahal-Acrobate_2012_original-1_large.jpg
    • 19.09.18 → 19.09.18
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    •  

      Toute lʼœuvre dʼElsa Sahal est marquée par un décalage singulier entre la céramique, une technique très ancienne souvent associée à lʼartisanat, et un propos contemporain, incarné et vivant. Apparue sur la scène artistique à la fin des années 90, Elsa Sahal a suivi lʼenseignement de Jeanclos à lʼÉcole nationale des beaux-arts de Paris. Au fil du temps, elle a développé un vocabulaire personnel oscillant entre une figuration inquiétante et une abstraction joyeuse, mettant en place un répertoire biomorphique étrange, un langage par lequel le corps et la féminité, sans cesse interrogés, se déploient à travers des organes et orifices isolés, ou encore des motifs viscéraux soulignés par des couleurs fortes et par lʼémail recouvrant le grès.

    • Archives de la critique d’art
    • 2018
    • Les 25 ans de la revue « CRITIQUE D’ART » – Rétro/prospective

    • Conférence
    • 23.05.18 → 23.05.18
      Conférence
      Archives de la critique d’art
    • Galerie Raymond Hains
    • 2018
    • Stéphane Le Mercier

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/un-artiste-de-la-faim-2016.jpeg
    • 17.04.18 → 17.04.18
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • After developping his practice abroad since the 90’s (“Villa Médicis Hors Les Murs” in Dublin, Budapest, Stuttgart…) Stephane Lemercier has developped a strong taste for the emergence of polyglot storys and forms, crating tension between heterogenous elements (ready-made textuel et artist’s prints, typography & post-minimal sculpture).

    • Galerie Raymond Hains
    • 2018
    • Talk : Anaïck Moriceau Editions

    • Conférence
    • 13.02.18 → 13.02.18
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • Meet Anaick Moriceau, learn more about silkscreen technique, share her experiences, discover the collaborations she has done with french artists Bruno Peinado, Jochen Gerner, Mrzyk et Moriceau, Jean Jullien… and artists abroad such as Misaki Kawai (Japon), Olimpia Zagnoli (Italie), Andy Rementer (USA) ou encore Geoff McFetridge (Canada)…

      www.cargocollective.com/anaickmoriceau

       

    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2017
    • Crosspiece visit by Griselda Drouet

    • Conférence
    • 01.07.17 → 01.07.17
      Conférence
      La Criée centre d’art contemporain
    • The linguist Griselda Drouet will lead a visit of Sibyl Sybil the exhibition by Julien Bismuth.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2017
    • Conférence Mathilde Villeneuve

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/DSC_3760.jpg
    • 03.05.17 → 03.05.17
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Mathilde Villeneuve est codirectrice des Laboratoires d’Aubervilliers depuis 2013. Diplômée de Littérature Moderne à La Sorbonne, Paris, et de Humanities and Cultural Studies à Birbeck University, Londres. De 2006 à 2012 elle a programmé l’espace d’exposition parisien de L’Ecole d’arts de Cergy, La Vitrine, et mené différentes missions à l’école. En tant que commissaire et critique d’art indépendante elle a organisé plusieurs expositions et résidences et écrit pour différents revues et catalogues d’artistes.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2017
    • HARUN FAROCKI // Projection “La vie RFA”

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/La-vie-R.F.A.-1990-©-Harun-Farocki.jpg
    • 27.03.17 → 27.03.17
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Les étudiant-e-s du master Métiers et Arts de l'Exposition

      Les étudiant-e-s du master Métiers et Arts de l’Exposition vous proposent de découvrir La vie RFA (1990). Pour ce film, Harun Farocki s’est rendu dans de nombreux centres de formation ou d’entraînement en Allemagne (compagnie d’assurances, école de de sages-femmes, école de police, etc.) pour dévoiler leurs fonctionnements. Il parvient à y faire apparaître les règles qui régissent la société ouest-allemande à la fin des années 1980.

      A cette occasion, une édition sera présentée. Co-dirigée par les étudiant-e-s, elle accompagnera l’exposition Harun Farocki. Screenshot. Le point de vue de la guerre (2004), texte écrit par l’artiste, sera le centre névralgique de cette publication. Un texte de Karim Charredib (maître de conférence à l’université Rennes 2) proposera une réflexion, en parallèle du travail de l’artiste, focalisée sur la nature des images présentes dans son œuvre. Les étudiant-e-s prendront également part à ce projet à travers des écrits abordant des notions significatives de la démarche de Harun Farocki. Cette édition permettra de mettre en avant la sensibilité littéraire de l’artiste, prolongement de son travail cinématographique.

      Dans le cadre de l’exposition sur l’artiste-cinéaste Harun Farocki à découvrir du 10 mars au 7 avril 2017 à la Galerie Art et Essai de l’Université Rennes 2, organisée par les étudiant-e-s en master 2 Métiers et Arts de l’Exposition.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2017
    • Conférence GÉNÉRATOR

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Capture-d’écran-2017-03-16-à-14.34.06.png
    • 23.03.17 → 23.03.17
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Kyveli Mavrokordopoulou, Sasha Pevak, Bady Dalloul, Aslan Gaisumov, Ioanna Neofytou

      Les curateurs en résidence à GENERATOR proposent une discussion avec les trois artistes de l’exposition The Opposing Shore.

      L’exposition The Opposing Shore, conçue pour la 7e Biennale de Moscou, cherche à étudier la frontière sous toutes ses formes, en mettant en lumière ses qualités physiques, esthétiques et politiques. « La disparition des frontières » – devise derrière laquelle se cache un grand point d’interrogation. Depuis 1980, la conscience européenne cherchait à abolir les frontières nationales. Pourtant, avons-nous réellement dépassé la notion de frontière aujourd’hui, lorsque des milliers de personnes restent coincés aux portes de l’Europe ? Pourquoi les appels à ériger de nouveaux murs, sont-ils mis en avant dans les médias comme une promesse d’une vie plus sécurisée et d’un futur prospère ? Au lieu de célébrer joyeusement la disparition des frontières et d’analyser les conséquences de leur ouverture, il nous semble urgent de saisir la nature ambiguë et complexe des frontières. Nous espérons que The Opposing Shore pourrait devenir l’une des étapes vers une telle compréhension.

      ——
      Dans les pratiques des trois artistes invités, les interrogations autour des frontières, de l’identité nationale, de l’Histoire et de la géopolitique occupent non seulement une place centrale, mais sont aussi étroitement liées à leurs expériences personnelles.

      Bady Dalloul (né en 1986 à Paris) s’intéresse aux questions géopolitiques, dont l’histoire du tracé des frontières au Moyen-Orient, qu’il étudie et déconstruit à travers un prisme fictionnel et en démultipliant les récits.

      Aslan Gaisumov (né en 1990 à Grozny) fait croiser l’Histoire et la mémoire, tout en mettant en avant l’expérience des gens ayant subi la déportation, l’exil ou la guerre.

      L’œuvre d’Ioanna Neofytou (née en 1986 à Limassol) étudie les zones limitrophes de la Méditerranée et l’impact des frontières sur le quotidien des habitants de la région.

      ——

      Kyveli Mavrokordopoulou (née en 1989 à Athènes) est chercheuse, curatrice et critique d’art. Actuellement doctorante à l’EHESS, elle s’intéresse aux rapports entre la géologie et le temps, et leur manifestation dans l’art contemporain. A travers ses projets curatoriaux, elle vise à mettre en lumière des récits marginaux.

      Sasha Pevak (né en 1988 à Moscou) est chercheur, curateur et critique d’art. Doctorant à l’Université Paris 8, il s’intéresse aux rapports entre l’art et le politique, ainsi qu’au fonctionnement du système de l’art sous les régimes autoritaires. Sa pratique curatoriale repose sur la mise en place d’échanges et de dialogue sur le long terme avec les artistes.

    • Galerie Raymond Hains
    • 2016
    • Babeth Rambault, conférence

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/1552225174.jpg
    • 17.01.17 → 17.08.16
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • Babeth Rambault perceives those moments when customs are derailed and smithereened, in order to form a visual fission.  All her works evoke diverging gestural gazes, those gestures which are carried out mechanically while directing the attention elsewhere, and forming a language which it is hard to unravel without losing that obvious sensation of accumulation between thing and gesture, thing and language, concentration and distraction.  Her sculptures incorporate found objects and materials evoking an association formed between wasteland and store cupboard, which is expressed, for example, in the setting of two words in the title of the exhibition Landbarras.  These arrangements are based on a certain glossary of assemblage, adjusting by way of connections, dovetailing, and resonances of forms, eclectic elements which chance has apparently brought together in one and the same place.

      Babeth Rambault was born in 1971.  She lives and works in Rennes.  She is a graduate of the Bordeaux School of Fine Arts.  Her work has been shown at the Centre d’Art Le Parvis (Pau), the Musée Calbet (Grisolles) and in group shows at the 116 Contemporary Art Centre (Montreuil), at the Station (Nice), and at Montévidéo (Marseille).

      Since 2008 she has been running the BIEN Galerie which can be viewed on the Internet, and is dedicated to contemporary art.

    • Galerie Raymond Hains
    • 2016
    • “Documents d’artistes Bretagne”, avec Christine Finizio, directrice artistique

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/logo-ddab-horizontal-300x144.jpg
    • 06.12.16 → 06.12.16
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • Documents d’artistes Bretagne (DdAB) édite en ligne depuis mars 2009, des dossiers d’artistes parmi lesquels figurent de nombreux enseignants et invités de l’école, à l’instar d’Angélique Lecaille, de Benoît Laffiché, d’Hervé Beurel ou encore de Babeth Rambault. Christine Finizio, Directrice artistique de DdAB présentera cet outil professionnel qui est aussi un lieu de sensibilisation à l’art d’aujourd’hui, en Bretagne.

       

    • Galerie Raymond Hains
    • 2016
    • Karolina Krasouli, artist talk

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/portfolio-KarolinaBON.jpg.jpg
    • 18.10.16 → 18.10.16
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • The practices of oil painting, watercolours, film photography and 8mm film form the various facets of Karolina Krasouli’s work. There is no nostalgia for a pre-digital world here, but an attentiveness to techniques where notions of revelation and appearance come first, where the speed (which does not necessarily mean rapidity) of a gesture is predominant, and where the result does not tolerate pentimento. The site-specific installation she is producing at La Criée also contains this performative part: a stack of painted wood strips, propped against a wall, is erected without any support, maintaining an assumed but invisible fragility.
      Her discovery of the American poetess Emily Dickinson’s Gorgeous Nothings represented a turning point in Krasouli’s painting practice, wavering between abstraction and figuration. Dickinson’s Gorgeous Nothings, recently discovered in the writer’s archives, are handwritten on envelopes which are carefully folded, cut and torn, in such a way that each one of them gets a unique form conditioning the graphic composition and the writing of poems, notes and aphorisms. Based on this system, which is as pictorial as it is sculptural, Karolina Krasouli has produced a body of works, starting with her own envelopes painted in watercolour, which become motifs whose elementary geometry is endlessly singled out by the gesture of the repeated fold. Arranged on the wall in grids and lines, they form collections but are also related to a hieroglyphic language. Karolina Krasouli is exhibiting a set of free canvases in which she uses the motif of the envelope, freed from its referent. Like an at once abstract and concrete sign, painted on the canvas or laid upon it with gold leaf, the work is presented in coloured flat tints, on monochrome backgrounds which conjure up mediaeval and Renaissance paintings. Karolina Krasouli’s paintings and sculptures are radically silent and radiate colour as the only form of perceptible communication. They are intended to stand back from any language, displaying a vulnerability that is sensitive to the slightest variation of light and air.

    • Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 2016
    • Salon “Artists’ Print”

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/artists_print_A5_2015_08-1-Recto.jpg
    • 10.09.16 → 12.09.16
      Conférence
      Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • Les Éditions Incertain Sens seront au salon “Artists’ Print” au BRASS à Bruxelles.

    • Conférence « sandwich » : « L’histoire de l’art quelle expo ! » par Philippe CAM, artiste et enseignant.
    • 2016
    • « L’histoire de l’art quelle expo ! »  Philippe CAM, artiste et enseignant.

    • Conférence
    • 28.04.16 → 28.04.16
      Conférence
      Conférence « sandwich » : « L’histoire de l’art quelle expo ! » par Philippe CAM, artiste et enseignant.
    • EESAB → Site de Rennes
    • 2016
    • Conférence de Ben Kinmont

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/ben_kinmont_prospectus_1988-2010_jrp_ringier_2011.jpg
    • 19.04.16 → 19.04.16
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Dans le cadre de l’exposition We are a multitude, qui aura lieu du 23 mars au 22 avril à la Galerie Art & Essai, l’artiste conceptuel Ben Kinmont est invité à présenter sa pratique lors d’une conférence. Elle se tiendra à l’École Européenne Supérieure des Arts de Bretagne (EESAB) de Rennes le 19 avril et sera modérée par les étudiantes-commissaires du master Métiers et Arts de l’Exposition (université Rennes 2).

      Ben Kinmont réalise des actions éphémères dans divers lieux urbains, privés ou domestiques en impliquant la participation d’autrui. Ces situations d’échanges construisent un espace commun nommé « troisième sculpture ». Tous les documents liés à ces actions sont collectés et conservés sous forme d’archives. L’artiste rédige ensuite des descriptions de chaque projet, réactivable par un tiers, qu’il consigne dans l’ouvrage Prospectus (2011). Une place est ainsi laissée à l’appropriation, à l’interprétation et à l’interaction interrogeant l’autorité de l’artiste sur son œuvre. S’émancipant des critères de jugements imposés par l’institution, il remet en cause la définition de l’art. Il interroge alors le système de l’art et ses valeurs, la place de l’artiste dans la société contemporaine ainsi que l’économie artistique.

      + A la suite de la conférence un temps de discussion est prévu avec l’artiste.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2016
    • The Shelf Company Ornementation, figuration / Fonctions

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/the_shelf_company-conference-rennes_visuel.jpg
    • 31.03.16 → 31.03.16
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • The Shelf Company, studio de direction artistique et maison d’édition indépendante fondé en 2011 par Morgane Rébulard & Colin Caradec, partage son activité entre un travail de commande et la publication de la revue annuelle The Shelf Journal.

      Attachés depuis leurs débuts à une approche ludique et chaleureuse du design, ils présenteront lors de la conférence Ornementation, figuration / Fonctions comment ils articulent ces notions pour répondre à des problématiques de design.

      Ils expliqueront cette démarche dans le détail, prenant pour exemple trois projets éditoriaux qu’ils ont réalisés entre 2011 et 2016.

      Conférence proposée par Guillaume Allard.

    • L’art dans les chapelles
    • 2016
    • Présentation de la programmation de la 25e édition

    • Conférence
    • 19.03.16 → 19.03.16
      Conférence
      L’art dans les chapelles
    • Karim Ghaddab et Eric Suchère, co-directeurs artistiques de la 25e édition de L’art dans les chapelles nous dévoilerons les artistes invités.
      L’édition 2016 se déroulera du 8 juillet au 18 septembre.

      Cette présentation sera suivie l’après-midi par l’Assemblée générale de l’association des Amis de L’art dans les chapelles

    • Galerie Raymond Hains
    • 2016
    • Workshop avec Anne-Laure Chamboissier, Ecoute voir !

    • Atelier
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/bernard002.jpg
    • 18.03.16 → 18.03.16
      Atelier
      Galerie Raymond Hains
    •  

    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2016
    • Lecture by Ariane Michel

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/ArianeMichel_LRDM_LouiseHerve_ChloeMaillet.jpg
    • 15.03.16 → 15.03.16
      Conférence
      La Criée centre d’art contemporain
    • L’art dans les chapelles
    • 2016
    • Conférence de Camille Saint-Jacques

    • Conférence
    • 04.03.16 → 04.03.16
      Conférence
      L’art dans les chapelles
    • A l’occasion de la sortie de son livre Récréation – L’art vous appartient ! Camille Saint-Jacques, écrivain et artiste invité de la 24e édition de L’art dans les chapelles, vous invite à débattre des éthiques et esthétiques communes entre artistes amateurs et professionnels.
      Une vente-dédicace sera réalisée à l’issue de cette rencontre.

      Vous pourrez également découvrir l’installation réalisée par Camille Saint-Jacques et les élèves de 1ère du lycée Jeanne d’Arc Saint-Ivy de Pontivy.
      Oeuvre réalisée dans le cadre d’une résidence de création, soutenue par la DRAC-Bretagne et la région Bretagne (dispositif Karta).

    • Galerie Raymond Hains
    • 2016
    • Julie Faitot, “Véronique Joumard : champ, courant, intensité”  

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/535030_594079520745175_4656702658164591833_n.jpg
    • 23.02.16 → 23.02.16
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • Cette conférence aborde l’oeuvre de Véronique Joumard dans ses rapports à la lumière et plus largement à la perception physique de l’espace : une invitation à plonger dans ce travail poétique et ludique qui mêle étroitement le visible et l’invisible. Julie Faitot est co-directrice du SHED, un nouveau centre d’art contemporain situé près de Rouen.

    • L’art dans les chapelles
    • 2016
    • Conférence de Jean-Christophe Bailly

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/jcbailly-web-.jpg
    • 22.01.16 → 22.01.16
      Conférence
      L’art dans les chapelles
    • Écrivain et artiste, Jean-Christophe Bailly évoquera son rapport à l’art, au territoire et de son expérience d’écrivain invité à L’art dans les chapelles lors de la 24e édition de cette manifestation.

    • Galerie Raymond Hains
    • 2016
    • Nicolas Aiello, Palimpseste et Cie

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Nicolas-basse-def1.jpg
    • 15.01.16 → 15.01.16
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    •  

      Le palimpseste appartient plutôt au vocabulaire littéraire mais il est aussi utilisé par les artistes plasticiens. Historiquement, un palimpseste est un parchemin manuscrit dont on a effacé la première écriture afin d’écrire un nouveau texte. Nicolas Aiello, artiste et enseignant auprès de la classe préparatoire, nous invite à des traversées dans le temps et dans l’espace,dans une œuvre graphique délicate, oscillant entre cartographie et témoignage.

       

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Conférence d’Alaric Garnier

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/garnier-acb.jpg
    • 16.12.15 → 16.12.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Né en 1988 à Antony, vit à Montreuil et travaille à Bagnolet.

       

      Alaric Garnier est designer graphique, typographe et peintre en lettres indépendant. Il a étudié le design graphique à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon. Lors son cursus largement orienté vers l’édition, il a développé un fort intérêt pour l’histoire du lettrage et de la typographie qui l’a amené jusqu’à Seattle pour suivre un apprentissage de la peinture en lettres traditionnelle auprès de Sean Barton en 2010. En 2013, après avoir obtenu son DNSEP, il est retourné à Seattle pour parfaire son savoir-faire du lettrage. Il a travaillé ensuite en tant que graphiste chez John Morgan Studio à Londres puis chez Maquette & mise en page à Paris, avant de fonder son propre studio en 2014.
      Il travaille aujourd’hui principalement dans le secteur culturel et collabore régulièrement avec des artistes sur des commandes ou des projets auto-initiés. Ses projets, largement nourris par l’histoire de l’imprimerie et les arts vernaculaires, sont souvent pour lui l’opportunité de dessiner des polices de caractères et lettrages « sur-mesure ». Ainsi, sa pratique se situe à mi-chemin entre les champs du design et de l’artisanat, qu’il conçoive des identités visuelles, des polices de caractères, des livres, des sites internet, des systèmes de signalétique, des affiches ou des lettrages et enseignes peintes à la main. À côté de sa pratique de designer, il enseigne le dessin de caractères à l’Ensba Lyon et donne régulièrement des workshops dans des écoles d’art et de design (ESAD Reims, Glasgow School of Arts, Bauhaus Weimar).

       

      En 2015, il co-fonde les ateliers Rotolux accueillants designers et plasticiens dans une ancienne imprimerie à Bagnolet, ainsi que Rotolux Press, plateforme d’auto-édition animée avec Léna Araguas. Parallèlement, il s’associe à Mathieu Meyer dans des projets de direction artistique.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Providence : lecture d’Olivier Cadiot

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/cadiotacb.jpg
    • 15.12.15 → 15.12.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Olivier Cadiot est l’auteur d’une œuvre protéiforme. Ses livres et ses collaborations artistiques ont ouvert de nouveaux espaces littéraires. Depuis les premiers ouvrages parus chez P.O.L (cf. « l’art Poétic »), jusqu’à l’écriture pour le théâtre auprès de Ludovic Lagarde, de livrets d’opéra pour Pascal Dusapin et la traduction de textes bibliques (les Psaumes, le Cantique des Cantiques) ou enfin de Gertrude Stein. Il se fait lui-même depuis plusieurs années le passeur de ses propres textes lors de lectures jubilatoires. Son écriture est fortement influencée par les avant-gardes littéraires du XXe siècle : Gertrude Stein, James Joyce, William Burroughs…Ainsi, manifeste-t-il dans son écriture le souci d’une invention formelle constante, faite de découpages, de brisures, de simultanéités. En 2010, il était l’artiste associé du Festival d’Avignon avec Christoph Marthaler.

       

      Dernier ouvrage paru : Providence, 2015, aux éditions POL.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Master Class de Claude Barras

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/barras-grand.jpg
    • 10.12.15 → 10.12.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Ma Vie de Courgette en kit
      Jeudi 10 décembre 2015 à 18h, auditorium de l’école

       

      Avec son rapport à l’enfance qui transcende les âges, Claude Barras a le don rare de faire à la fois rire et pleurer. Ses histoires tour à tour réalistes et fantastiques sont pleines d’humour et de poésie, et le consacrent comme le prince de la marionnette animée

       

      Claude Barras termine actuellement son premier long métrage Ma vie de courgette, coproduction franco-suisse scénarisée par Céline Sciamma et basée sur le roman Autobiographie d’une courgette de Gilles Paris. Il s’agit du premier long métrage de marionnette fabriqué en France depuis trente ans.

       

      En attendant la sortie en salle prévue en 2016, Claude Barras donnera une master class autour de l’animation et la fabrication des marionnettes pour son film.

       

      En partenariat avec le Festival National du Film d’Animation

    • Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • 2015
    • Conférence / Performance par Aymeric Vergnon-d’Alançon

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/visuel_carton_vergnon3-001.jpg
    • 05.12.15 → 05.12.15
      Conférence
      Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • En parallèle de l’exposition Surgün Photo Club, la conférence/performance se propose d’explorer librement ce qu'”exil” et “photographie” peuvent avoir à se raconter.

      Samedi 5 décembre, 17h, entrée libre

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Présentation du Festival National du Film d’Animation

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/6-visuel-festival-afca.jpg
    • 03.12.15 → 03.12.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Intervention d’Audrey Celot, Chargée d’Action culturelle
      et de Fanny Desaunay, en mission de service civique sur l’Accompagnement des publics étudiants au sein de l’AFCA.

       

      > Présentation de la programmation de la prochaine édition du Festival national du film d’animation

       

      > Présentation de la masterclass MA VIE DE COURGETTE EN KIT accueillie le jeudi 10 décembre à 18h aux beaux – arts et de l’oeuvre de Claude Barras

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Conférence d’Isabelle Daëron

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Topique-ciel_Isabelle_Daeron_01.jpg
    • 02.12.15 → 02.12.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Diplômée de l’Ecole Supérieure d’Art et Design de Reims et de l’Ensci-Les Ateliers à Paris, Isabelle Daëron conçoit des objets, des mises en espaces, des installations, à partir d’une réflexion sur le milieu habitable et les éléments naturels qui le constituent. Elle s’attache à déterminer, en relation avec la notion d’habitabilité, le juste équilibre entre un matériau, une technique, un territoire. Son projet Topiques, par exemple, réunit un ensemble de dispositifs qui tirent parti des ressources naturelles sur leur lieu de production, afin d’en réduire au maximum les étapes de transformation. Isabelle Daëron a ainsi déjà développé Topique-eau, une fontaine filtrant l’eau de pluie, Topique-eau-des-Cimes, un micro-réseau d’irrigation, Topique-vent, un collecteur de feuilles fonctionnant avec le vent, et Topique-ciel, un miroir de ciel alimenté à l’eau de pluie. Particulièrement innovants dans l’attention qu’ils accordent aux ressources propres d’un territoire, ces dispositifs ont reçu plusieurs prix – Étoile de l’Observeur du design, prix de la Ville de Paris, finaliste du prix COAL (Art et environnement), prix Lille design, Grand Prix de la Création de la Ville de Paris. Ils ont également pris part à des publications et à des expositions en France et à l’étranger.

       

      Intervenant dans les domaines de l’installation, de la scénographie et de la recherche en design, Isabelle cultive un intérêt pour des enjeux liés à l’énergie, à ses usages et ses représentations. Elle a par ailleurs été commissaire de l’exposition Roues Libres, petite mécanique des objets animés, avec Fabien Petiot, au Passage de Retz en 2014. En tant que designer-chercheur, elle intervient au sein du Pôle Recherche de la Cité du Design de Saint-Étienne. Elle enseigne également le design objet à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs à Paris.

       

      En 2015, Isabelle Daëron a été lauréate des Audi Talents Awards.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Conférence de Mathieu Renard

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Lendroit-éditions-Logo1.jpg
    • 30.11.15 → 30.11.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Lundi 30 novembre 2015 à 17h
      Auditorium de l’École

      Conférence dans le cadre de l’Atelier de Recherche et Création édition – publication – diffusion.

      Mathieu Renard est artiste et Directeur de Lendroit Éditions.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Revue Volume, Anne-Lou Vicente et Raphaël Brunel

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Philip-Wolmuth-Speakers-Corner.jpg
    • 26.11.15 → 26.11.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Anne-Lou Vicente et Raphaël Brunel sont critiques d’art et commissaires d’exposition indépendants. Ils ont fondé et dirigé la publication de la revue d’art contemporain sur le son VOLUME parue entre 2010 et 2014. Dans la continuité de leurs recherches menées autour des liens entre son et arts plastiques, ils ont créé et co-dirigent la plateforme éditoriale et curatoriale What You See Is What You Hear.

      http://www.wysiwyh.fr

    • Galerie Raymond Hains
    • 2015
    • Angélique Lecaille, “Sechzig Minuten”

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/LecailleNebuleuseWeb.jpg
    • 18.11.15 → 18.11.15
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • Sechzig minuten s’inscrit dans le cadre du workshop Et il soulevèrent des pierres pendant des heures (1380 minutes de gestes de dessins) dispensé auprès de la classe préparatoire à l’Ecole des Beaux-arts Emile Daubé. Formée à la gravure, l’artiste y abordera le placement naturel du dessin dans sa démarche artistique jusqu’à aujourd’hui, où le glissement du dessin vers la sculpture et l’installation questionne les representations et les modes de présentation.

      Angélique Lecaille partagera son regard sur le paysage, principal thème de ses recherches. Ses oeuvres se construisent autant à partir de lectures que de collectes d’images et d’informations propre au paysage, empruntant ses sujets à la géologie, la mineralogie… Son regard rejoint celui du scientifique ou celui de l’amateur éclairé collectionnant les curiosités géologiques.

      Une approche du paysage multiple s’appuyant sur des références littéraires et artistiques que l’artiste nous fera partager durant ces 60 minutes (« Sechzig Minuten ») de dess(e)in.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Présentation du CAFE 420

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/20131515_HISTOIRE-X1P1_ori.jpg.567.jpg
    • 17.11.15 → 17.11.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • La Collective et Bureau Cosmique

      La Collective et Bureau Cosmique
      NI BOURRIAUD, NI BOUILLON

      Mardi 17 novembre à 18h
      Cafétéria de l’EESAB site de Rennes
      La Collective et Bureau Cosmique proposent un apéro-conférence dans la cafétéria de l’école des Beaux-Arts de Rennes afin de présenter pour la première fois le CAFE 420, projet de tiers-lieu artistique nomade.

      CAFE 420 est une expérience collective protéiforme permettant d’interroger les modalités de rencontres entre les entités art, artistes, acteurs culturels et publics. Espace éphémère et nomade, CAFE 420 à pour ambition de créer des situations d’échanges propices à une réflexion autour des conditions d’existence et de visibilité de la jeune création contemporaine.

      Invitation au micro-financement du CAFE 420
      jeudi 19 novembre 2015, 18h30
      Phakt

      CAFE 420 #1, centre culturel PHAKT du 7 janvier au 12 février 2016

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Mette Ingvarsten, 7 PLEASURE

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Kaaitheater_Mette©DannyWillems-3806-Large-1.jpg
    • 12.11.15 → 12.11.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Présentation du travail de Mette Ingvarsten par Gilles Amalvi.

      C’est l’occasion de questionner la démarche de cette artiste découverte dans différentes éditions du festival Mettre en scène à travers des propositions radicalement différentes.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Conférence de Adva Zakaï

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/confphakt-adva-web.jpg
    • 10.11.15 → 10.11.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Présentation du travail de l’artiste et discussion croisée avec la commissaire d’exposition Raphaële Jeune autour de leurs recherches sur la notion du corps et de la subjectivité face au numérique.

    • Galerie Raymond Hains
    • 2015
    • Benoît Laffiché, «Les royaumes du soleil et de la lune»

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/LafficheWeb.jpg
    • 14.10.15 → 14.10.15
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • In an historic moment when every form of life is in the grip of the process of economic globalization, what is involved for the artist, more than ever, is working in situ and in vivo. In situ: in a precise spot on the planet, a place endowed with specific geographical, economic, cultural and human coordinates, be it in terms of discovery or understanding. In vivo: at the heart of what is living, in dialogue with the Multitudes.
      The video installation Vasanthi & Vani Theaters by Benoît Laffiché is the deconstructed representation of a process of destruction. Through observation of the slow and patient demolition of a cinema in India is declared a specific moment in the life of a family and a business. The artist becomes a member of the team, working from the inside of the building on the recording of its gradual disappearance. The challenge of his documentary approach is the representation of work gestures. He shows how Indian workers are at once attentive and detached, in a proper attitude, in an intelligent relation with the time allotted them to get rid of a construction by retrieving and sorting each one of its component parts, and then recycling them. The three images are diffracted in the exhibition space, as if deposited and framed on diagonal rails, large monolithic screens leaning on the room’s pillars and walls. Nothing is imposed on the onlookers, who are invited to make their own links between the images and sounds, in the time-frame of their gaze. What is involved for the artist is making an interstice, within which it will be possible to construct an interpretation of reality. During the editing, images appear, coming from reels of films from Tamil Nadu1, found in the rubble. It’s a film about dowries, with the story echoing the situation recorded here: the owner of the land where the cinema stands has sold it because his daughters must get married. From these fictional images with their encompassing documentary eye, the situation described by the artist is declared: ‘I was trying to film the relation to work of one of the major players in the globalization scenario: India, somewhere between Blade Runner and Karnatic music. Everything is more physical in India, everything is visible there, it’s possibly more real. Every day, Indians use an inventive capacity for adaptation. This is where I see the logic of survival, the attention to forms within the economic necessity, gestures of resistance. And if my work did not mean very much to the Vasanthi people, my presence never surprised them. I knew that in India, in this type of condition, we could meet each other2.’
      Since the avant-gardes of the first three decades of the 20th century, the artist’s self-appointed role, or work, has been to explain the culture of his Time, acting in such a way that the forms he comes up with are vehicles explaining a culture shared with his contemporaries. Nurtured by his quest for an experience of what is living, which underpins the movement and production rhythm of his work, Benoît Laffiché invents systems and arrangements which are vehicles of an artistic line of thought. His images are perceptible and sensitive, in so much as the work of art, for him, is the outcome of a close understanding of the conditions of existence. Perceptible, because they are a combination of theoretical intuition and poetic intent. Sensitive, because artistic activity is a criticism of everyday life. And sensitive and perceptible because his art conceives of the world as a soothing approach, with a keen eye on details, lesser things, and bridging tactics—attentive to life.
      With Benoît Laffiché, and informed by the thinking of Edouard Glissant—a line of thinking about tremors, which does not attempt to formulate definitive ideas—we can understand artistic activity as a way of hanging out in the world. A duplicated way, which sidesteps genres and produces poetic documents. With him, and still listening to Edouard Glissant, we can understand that Beauty is the secret receptacle of all manner of differences.

      Pascal Beausse
      , 2008

    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2015
    • Green flash, Le Passage de la ligne

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Maria-Ines-Rodriguez.jpg
    • 28.09.15 → 28.09.15
      Conférence
      La Criée centre d’art contemporain
    • Meeting with Maria Inés Rodriguez
      Director of CAPC – Museum of contemporary art, Bordeaux
      Monday 28 September 2015, 6:30pm

      As Runo Lagomarsino, Maria Inés Rodriguez has a double anchor, both in Europe and in Latin America. Based on Runo Lagomarsino’s works, but also on other artists and experiences of both banks, Maria Ines Rodriguez provides for this meeting at La Criée a look on the South American art scene and on the globalized one, through an approach both historical, political and social.

      Since 2014, María Inés Rodríguez is the director of the CAPC – Museum of contemporary art (Bordeaux, France).
      From 2011 to 2013 Mrs. Rodríguez held the position of chief curator at the Museo Universitario de Arte Contemporáneo (MUAC) in Mexico City, where she led the public, collections, and exhibition programs, curating and developing ambitious projects with Teresa Margolles, Nicolás Paris, Yona Friedman and La Ribot.
      From 2009 to 2011 she was chief curator at the Museo de Arte Contemporáneo de Castilla y Léon (MUSAC) in Spain. In 2008 and 2009 she was the curator of the Satellite Programme at Galerie Nationale du Jeu de Paume in Paris where she introduced the French audience to young international artists such as Vasco Araujo, Mario Garcia Torres, Agathe Snow, Irina Botea, Angelo Plessas and Andreas Angelidakis.


      María Inés Rodríguez studied Fine Arts at the University of Los Andes in Bogotá and at the Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris (atelier Christian Boltanski), and holds a graduate degree from the Ecole Superieure d’Art Visuel in Geneva. As an independent curator, she has mainly worked on exhibition and research projects related to appropriation strategies of the public space in art, design, architecture and urbanism. Her experience as an independent curator includes collaborations with the Bronx Museum (New York), CA2M (Madrid), Le Plateau (Paris), Centre d’Edition contemporaine de Genève, Ex-Teresa – Mexico and ARCO Foundation. Her last exhibitions included Teresa Margolles for the Centro de Arte Dos de Mayo (CA2M) in Madrid, Beyond the Super Square for the Bronx Museum of the Arts in New York, Alejandro Jodorowsky for CAPC musée in Bordeaux and Leonor Antunes at this same institution next November. María Inés Rodríguez currently lives and works in Bordeaux (France).