• L’art dans les chapelles
    • 2015
    • Deux diplômés des Beaux-Arts de Lorient investissent deux chapelles le temps d’un week-end.

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/afficheoffacb.jpg
    • 19.12.15 → 20.12.15
      Exposition
      L’art dans les chapelles
    • Julier Le Toquin et Nicolas Balais

      Deux diplômés des Beaux-Arts de Lorient investissent deux chapelles, le temps d’un week-end.
      Julie Le Toquin présentera des photographies à la chapelle Saint-Drédeno (Saint-Gérand) et Nicolas Ballais un travail de dessins dans la chapelle Sainte-Noyale (Noyal-Pontivy)

      Et Samedi 19 à 17h30, concert de musique de chambre au Théâtre des Halles de Pontivy, donné par les élèves de 3ème cycle du Conservatoire de musique et danse de Pontivy Communauté.

      Événement réalisé sur proposition des Amis de L’art dans les chapelles, en partenariat avec L’art dans les chapelles et l’École Européenne Supérieure d’art de Bretagne – Site de Lorient www.eesab.fr/lorient

      Nous remercions les mairies de Noyal-Pontivy, Pontivy, Saint-Gérand, Pontivy ainsi que Pontivy communauté pour leur participation à cet évènement.

    • EESAB → Site de Lorient
    • 2015
    • Le Off des amis de l’art dans les chapelles, Julie Le Toquin, Nicolas Ballais

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/afficheoffacb.jpg
    • 19.12.15 → 20.12.15
      Exposition
      EESAB → Site de Lorient
    • Deux diplômés des Beaux-Arts de Lorient investissent deux chapelles en pays de Pontivy (56), le temps d’un week-end.
      Julie Le Toquin présentera des photographies à la chapelle Saint-Drédeno (Saint-Gérand) et Nicolas Ballais un travail de dessin dans la chapelle Sainte-Noyale (Noyal-Pontivy)

      Et samedi 19 à 17h30, concert de musique de chambre au Théâtre des Halles de Pontivy, donné par les élèves de 3ème cycle du Conservatoire de musique et danse de Pontivy Communauté.

      Événement réalisé sur proposition des Amis de L’art dans les chapelles, en partenariat avec L’art dans les chapelles

    • Frac Bretagne
    • 2016
    • Peter Hutchinson

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/PeterHutchinson_Isolated-Environment_0488-PETERLAUER-web.jpg
      Peter Hutchinson Isolated © Peter A. Hutchinson Environment
    • 18.12.15 → 28.02.16
      Exposition
      Frac Bretagne
    • Première exposition d’envergure en France, le Frac Bretagne organise une monographie de l’artiste Peter Hutchinson du 18 décembre 2015 au 28 février 2016, dont le commissaire est Gilles A. Tiberghien.

      Né en 1930 en Angleterre, Peter Hutchinson est une figure historique du monde de l’art, l’un des représentants
      majeurs du Land art (ou Earth Art) à la fin des années soixante. Le travail de Hutchinson se caractérise par un intérêt très singulier pour le vivant et par des préoccupations écologiques qui le font considérer aujourd’hui comme un précurseur. Botaniste de formation et destiné à des études d’agriculture, Hutchinson entre assez tardivement dans le monde de l’art où il se lie d’amitié avec Robert Smithson, Nancy Holt, Sol LeWitt, Vito Acconci, Dennis Oppenheim. Discret, voire marginal, il participe cependant à des expositions d’importance comme Ocean Project au MoMA avec Dennis Oppenheim, ou Ecological Art dans la galerie de John Gibson à New York.
      A partir de 1973, Hutchinson est souvent identifié au Narrative Art, lancé par John Gibson, un courant dont le représentant le plus connu en France est Jean Le Gac.

      En même temps il poursuit une activité de « sculpteur », créant des objets tri-dimensionnels qui évoquent des paysages ou la science-fiction, un genre dont il fut, avec Robert Smithson, amateur, et qui demeure pour lui une vraie
      source d’inspiration.

      Enfin son intérêt pour la botanique et l’organique est constant depuis ses expérimentations sous-marines ou ses décompositions et moisissures, dont le travail sur le Volcan Paricutin en 1971 est l’épisode le plus connu, jusqu’à ses nombreux collages qui s’inspirent souvent d’images prises dans son jardin de Provincetown.
      L’exposition, qui débutera par l’évocation du jardin de l’artiste reproduit à l’échelle 1/1 sur les murs de la première galerie, abordera l’ensemble de ces aspects.
      Pour accompagner cet évènement un livre sera publié, sous la direction de Gilles A. Tiberghien, par les éditions
      Gilles Fage. Il comprendra quelques inédits de l’artiste, des textes de Camille Paulhan, Alexandre Quoi, un long
      entretien avec Gilles A. Tiberghien, complétant ainsi le portrait d’un artiste dont la première oeuvre fut, et reste en
      un sens, un jardin.
      Commissaire : Gilles A. Tiberghien

    • Frac Bretagne
    • 2016
    • Philippe Durand, Vallée des Merveilles 2

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/2-Phlippe-Durand-Vallée-des-Merveilles-2-web.jpg
      Phlippe Durand Vallée des Merveilles 2, 2015 © Philippe Durand
    • 18.12.15 → 28.02.16
      Exposition
      Frac Bretagne
    • Photographique, l’oeuvre de Philippe Durand englobe le monde dans une géographie mouvante, à échelle variable. Une grande partie de son travail porte sur l’espace public, sur les traces d’expression que l’on peut y trouver, collages auto-générés, graffitis et stratifications, objets posés et déplacés.
      Considérant la Vallée des merveilles (parc national du Mercantour) comme un proto-musée en plein air, sans artiste, sans commissaire, sans public ni communication, l’artiste en fait le lieu d’un développement de son
      travail, dans une nouvelle dimension spatiale et temporelle.

      Présentée pour la première fois au Frac Bretagne du 18 décembre 2015 au 28 février 2016, l’exposition Vallée des Merveilles 2 déploie les enjeux de cette recherche, appliquant à un site hautement historique et symbolique, divers moyens de représentation dont certains issus de l’industrie des loisirs de masse.
      Dominée par le mont Bégo, classée monument historique depuis 1989, la Vallée des Merveilles, à 2 500 mètres d’altitude, abrite un patrimoine archéologique exceptionnel, des milliers de gravures réalisées vers 3 000 avant Jésus-Christ.  Ce sanctuaire à ciel ouvert paraît dédié à un «couple divin primordial», la déesse terre et le dieu taureau. Épargné par sa difficulté d’accès, le site comporte cependant des graffitis apparus au fil des siècles, dus à des bergers, soldats, voyageurs… Bien qu’interdites formellement depuis 1954, de nouvelles inscriptions continuent de surgir en regard des gravures datant de l’âge du bronze.

      Le projet de Philippe Durand consiste à réaliser une documentation tant de ces inscriptions que de certains blocs rocheux gravés afin de restituer ces derniers sous la forme de sculptures gonflables, c’est-à-dire des objets davantage utilisés par les parcs d’attraction que dans un contexte muséal. Il s’agit de recréer ainsi «copie de l’original», de recomposer une topographie du lieu, et de confronter dans un même espace d’exposition gonflables, films et photographies réalisés sur place.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Conférence d’Alaric Garnier

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/garnier-acb.jpg
    • 16.12.15 → 16.12.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Né en 1988 à Antony, vit à Montreuil et travaille à Bagnolet.

       

      Alaric Garnier est designer graphique, typographe et peintre en lettres indépendant. Il a étudié le design graphique à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon. Lors son cursus largement orienté vers l’édition, il a développé un fort intérêt pour l’histoire du lettrage et de la typographie qui l’a amené jusqu’à Seattle pour suivre un apprentissage de la peinture en lettres traditionnelle auprès de Sean Barton en 2010. En 2013, après avoir obtenu son DNSEP, il est retourné à Seattle pour parfaire son savoir-faire du lettrage. Il a travaillé ensuite en tant que graphiste chez John Morgan Studio à Londres puis chez Maquette & mise en page à Paris, avant de fonder son propre studio en 2014.
      Il travaille aujourd’hui principalement dans le secteur culturel et collabore régulièrement avec des artistes sur des commandes ou des projets auto-initiés. Ses projets, largement nourris par l’histoire de l’imprimerie et les arts vernaculaires, sont souvent pour lui l’opportunité de dessiner des polices de caractères et lettrages « sur-mesure ». Ainsi, sa pratique se situe à mi-chemin entre les champs du design et de l’artisanat, qu’il conçoive des identités visuelles, des polices de caractères, des livres, des sites internet, des systèmes de signalétique, des affiches ou des lettrages et enseignes peintes à la main. À côté de sa pratique de designer, il enseigne le dessin de caractères à l’Ensba Lyon et donne régulièrement des workshops dans des écoles d’art et de design (ESAD Reims, Glasgow School of Arts, Bauhaus Weimar).

       

      En 2015, il co-fonde les ateliers Rotolux accueillants designers et plasticiens dans une ancienne imprimerie à Bagnolet, ainsi que Rotolux Press, plateforme d’auto-édition animée avec Léna Araguas. Parallèlement, il s’associe à Mathieu Meyer dans des projets de direction artistique.

    • Archives de la critique d’art
    • 2015
    • “For an Ecological Music – Max Neuhaus”
      by Daniele BALIT
      Conference at the Fondation d’entreprise Ricard – 07:00 pm

    • Rencontre
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Couverture_44.jpg
    • 15.12.15 → 15.12.15
      Rencontre
      Archives de la critique d’art
    • Thanks to the partnership between the Centre national des arts plastiques (cnap) and Critique d’art, it is possible to shed light on policies supporting art theory and art criticism by offering a platform to one of the winners of the Art Theory and Criticism prize in each issue. Daniele Balit broaches here the relation between art and public place through the study of the sound installations produced and projected by Max Neuhaus, aimed at the post-industrial urban environment. Well removed from the Futurist desire to subject life to an overall aesthetic principal, Neuhaus’s approach puts the author on the back burner and, through the attention paid to “listening to listening”, deals with the cohabitation of sounds in the city rather than their systematic organization. It is in this sense that the concept of “ecological music” assumes its full breadth. This subtly contextualized case study reminds us of the importance of a history at the crossroads of several paths, beyond disciplinary boundaries.

      Conference presented by Patrick Javault and Sylvie Mokhtari

      Daniele Balit is an art historian, theoretician and exhibition curator. He teaches Art History at the ISBA in Besançon. As a specialist in sound studies, his research focuses in particular on the audio-visual convergences of the post-Cage and post-minimalist period, and on the “aesthetics of the situation” around figures like Michael Asher and Max Neuhaus. His article “From Ear to Site – On Discreet Sound” was published by MIT Press in Leonardo Music Journal, (n°23, 2013). His recent curatorial projects include Blow-up (Paris : Jeu de Paume, 2012), No Music Was Playing (Montreuil : Instants Chavirés – Brasserie Bouchoule, 2014) and Red Swan Hotel (Rome : Macro, 2015).

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Providence : lecture d’Olivier Cadiot

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/cadiotacb.jpg
    • 15.12.15 → 15.12.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Olivier Cadiot est l’auteur d’une œuvre protéiforme. Ses livres et ses collaborations artistiques ont ouvert de nouveaux espaces littéraires. Depuis les premiers ouvrages parus chez P.O.L (cf. « l’art Poétic »), jusqu’à l’écriture pour le théâtre auprès de Ludovic Lagarde, de livrets d’opéra pour Pascal Dusapin et la traduction de textes bibliques (les Psaumes, le Cantique des Cantiques) ou enfin de Gertrude Stein. Il se fait lui-même depuis plusieurs années le passeur de ses propres textes lors de lectures jubilatoires. Son écriture est fortement influencée par les avant-gardes littéraires du XXe siècle : Gertrude Stein, James Joyce, William Burroughs…Ainsi, manifeste-t-il dans son écriture le souci d’une invention formelle constante, faite de découpages, de brisures, de simultanéités. En 2010, il était l’artiste associé du Festival d’Avignon avec Christoph Marthaler.

       

      Dernier ouvrage paru : Providence, 2015, aux éditions POL.

    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2015
    • Meeting with the artists of the exhibition L’Épais Réel

    • Rencontre
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/ACB_Epais_Reel_Simon_Faithfull.gif
    • 12.12.15 → 12.12.15
      Rencontre
      La Criée centre d’art contemporain
    • Bas Jan Ader, Dominique Blais, Katinka Bock, Simon Faithfull, Nicolas Floc’h, Ellie Ga, Giovanni Giaretta / Renato Leotta, Július Koller, Helen Mirra, Abraham Poincheval, Thomas Salvador, Jessica Warboys, Guido van der Werve

      L’Épais Réel
      Meeting with the artists
      Saturday 12 December 2015, 3pm

    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2015
    • Camille Bondon, Rendre compte (To Report)

    • Performance
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/ACB_camille-bondon.gif
    • 12.12.15 → 12.12.15
      Performance
      La Criée centre d’art contemporain
    • Saturday 12 December 2015, 5 pm > 10 pm
      Bâtiment Pasteur, Rennes
      As part of Voix de la Vilaine

      _
      La Criée joins the project Vallée de la Vilaine / Voix de la Vilaine (Vilaine Valley / Vilaine River Voices)* with an art work commissioned to Camille Bondon, for the Rennes stage.
      Camille Bondon is a young artist recently based in Rennes. She is interested in the language and in the the thought’s factories. For Rendre compte, Camille Bondon records and retranscribes, with her own methods, the Rennes stage meetings.
      Vallée de la Vilaine / Voix de la Vilaine is a pilot project supporting the Voie des Rivages, new route of discovery of the Vilaine River and its ponds, from Rennes to the South of Laillé.
      The project is support by landscape agency TER with Cuesta cultural cooperative and Bureau Cosmique.

      ____
      * project supported by Rennes métropole – Bruz, Chavagne, Laillé, Le Rheu, Rennes, Saint‑Jacques‑de‑la‑Lande, Vezin‑le‑Coquet

    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2016
    • L’Épais Réel (Into The Real)

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/image_affiche.jpg
    • 11.12.15 → 21.02.16
      Exposition
      La Criée centre d’art contemporain
    • Bas Jan Ader, Dominique Blais, Katinka Bock, Simon Faithfull, Nicolas Floc’h, Ellie Ga, Giovanni Giaretta / Renato Leotta, Július Koller, Helen Mirra, Abraham Poincheval, Thomas Salvador, Jessica Warboys, Guido van der Werve

      The group exhibition L’Épais Réel  ( Into The Real ) focuses on artists’ relationships with the elements and the tangibility of the world. It explores the need to plunge into the depths of things if a work of art is to emerge: the urge to veer from immobility to action. Bringing together tumultuous travels and stationary journeyings, it investigates the place of sensory experience in our lives.

      To plunge or not to plunge? What kind of energy, what kind of courage does it take for the artist to initiate this contact with things? What makes willpower an artistic channel, and how does experience induce form? What is the role of the test, of danger?

      Bas Jan Ader is a focal point and an inspiration for this exhibition. Lost at sea in the pursuit of his art, this iconic figure sought out form in the confrontation between his body and the materiality of the world; a seeking that finds contrasting echoes in the works on show.

      Forming two magnetic poles, these works gradually call the artist’s presence into question.

      The first pole comprises works in which the artist directly subjects his body to the test of the elements. Despite their seeming, paradoxical fluidity, the works of Thomas Salvador and Guido Van der Werve involve a real challenge, not to say a risk. Giovanni Giaretta and Renato Leotta’s film speaks of disappearance, those of Nicolas Floc’h and Bas Jan Ader of resistance. Other artists, like Abraham Poincheval and Simon Faithfull push the boundaries of the impossible in walks above the clouds or at the bottom of the sea.

      Július Koller provides a centre of gravity for the exhibition in anti-performances revolving around minimal situations. The resultant photographic work offers unsolved enigmas that resituate the creative act and the artist’s presence as a kind of starting point.

      The works belonging to the second of these magnetic poles are traces, or the outcomes of a process. Among them are the pinhole photos of Ellie Ga, who lived on a ship trapped in the ice of the polar night; they bring to the exhibition a silent present whose blacks make visible the thickness of the air around her. Helen Mirra, an artist who walks, seeks in her imprints a relationship with the passing of the hours; Jessica Warboys’ processual paintings sound out the painterly potential of the sea; and Katinka Bock’s film tests the density of the waters and investigates the way things disappear.
      Dominique Blais’s sound installation, based on natural radio frequencies collected in Norway’s Svalbard archipelago, expunges, one might say, the memory of his presence, in an inaudible relaying of a beyond beneath our hearing level. Here the experience of reality literally and metaphorically leaves its stamp on artist and work alike.

      The exhibition comes to ground in all these places: in the tenuousness of a tidal turn, on the fine line between uncertainty and act – just where the centre of gravity goes haywire and deliberately, meaningfully signals reality.

       

      _

      Curators: Ariane Michel, associate artiste to Fendre les Flots (Breaking the Waves) season and Sophie Kaplan, director of La Criée
      Production: La Criée centre for contemporary art, Rennes
    • Frac Bretagne
    • 2016
    • Marc Didou, Juste une illusion

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/1.-Gisant-détailweb.jpg
      Marc Didou, Gisant (détail) © Marc Didou
    • 11.12.15 → 06.03.16
      Exposition
      Frac Bretagne
    • Diplômé de l’école des beaux-arts de Brest en 1987, Marc Didou est un artiste qui s’exprime entre la sculpture, le dessin, la photographie. Il agrège à une pratique de matériaux dits classiques, fer, bronze, bois, des technologies plus inusitées telle que l’imagerie médicale à résonance magnétique. Prenant source dans le réel, attachées à une représentation de la figure humaine, ses recherches s’élaborent et se donnent à voir à travers de constants allers retours entre la 2e et la 3e dimensions, un mouvement qui implique activement le spectateur. Tant par ses processus que ses artefacts, l’oeuvre de Marc Didou construit une méditation sur l’existence et la place de l’homme dans le monde.

      À la galerie de Rohan, l’artiste prend le parti d’une exposition en deux séquences au plus près des possibilités offertes par la configuration du lieu. Introduite par une oeuvre d’acier et de lumière qui évoque littéralement le double (Junon, Junon division), la première salle est dédiée à un ensemble qui intègre un travail de décomposition de l’image, et sollicite durablement l’attention du visiteur pour l’engager à capter une autre réalité. Ainsi de l’installation: Enigme de l’air liquide, qui s’émancipe de l’origine usuelle des matériaux la constituant (bonbonnes d’air liquide) pour dématérialiser une frêle image tournant sur elle-même, ou encore de Gisant, réplique en acier et en quasi lévitation d’un corps humain, obtenue par un surprenant détour par la science.

      Dans la seconde salle, le travail du sculpteur est mis en évidence à travers un vocabulaire qui rappelle les gestes premiers : matrice, objets en creux et en relief, ronde bosse, etc., et des matériaux très divers : acier, fonte de fer, béton. Comme pour mieux mettre à distance l’intervention de la main, Marc Didou fait cependant de ses sculptures de véritables « pièges » à image, laquelle image se révèle par le déplacement du spectateur (Forme extraite (archéologie)) ou l’utilisation d’une surface réfléchissante, l’inox poli miroir, pour Deux objets sur une table.

      L’exposition, Juste une illusion, offre à Marc Didou un contexte nouveau pour faire le point, un état de sa recherche, pour les visiteurs elle est l’occasion de découvrir et d’explorer l’univers singulier d’un artiste contemporain.
      Commissaire : Catherine Elkar, directrice du Frac Bretagne

    • Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 2016
    • Une histoire du livre d’artiste australien

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/2_gg-section-artist-books-collectionlight.jpg
    • 10.12.15 → 03.03.16
      Exposition
      Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • MARINA ABRAMOVIC, IAN BURN, ROBERT COONEY, JAN DAVIS, DALE FRANKS, NOREEN GRAHAME, IAN HOWARD, ROBERT JACKS, MARIA KOZIC, PETER LYSSIOTIS, ROBERT MACPHERSON, JENNIFER MARSHALL, MILAN MILOJEVIC, MEL RAMSDEN, ROBERT ROONEY, MICHAEL PHILLIPS, KEN SEARLE, ALEX SELENITSCH, NOEL SHERIDAN, JUDY WATSON.

      Organisée en partenariat avec la grahame galleries + editions de Brisbane, cette exposition s’attache à examiner un genre peu étudié et peu représenté en Europe à travers une sélection d’ouvrages historiques et contemporains provenant d’Australie.

      FEATURING / MARINA ABRAMOVIC, IAN BURN, ROBERT COONEY, JAN DAVIS, DALE FRANKS, NOREEN GRAHAME, IAN HOWARD, ROBERT JACKS, MARIA KOZIC, PETER LYSSIOTIS,  ROBERT MACPHERSON, JENNIFER MARSHALL, MILAN MILOJEVIC, MEL RAMSDEN, ROBERT ROONEY, MICHAEL PHILLIPS, KEN SEARLE, ALEX SELENITSCH, NOEL SHERIDAN, JUDY WATSON.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Master Class de Claude Barras

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/barras-grand.jpg
    • 10.12.15 → 10.12.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Ma Vie de Courgette en kit
      Jeudi 10 décembre 2015 à 18h, auditorium de l’école

       

      Avec son rapport à l’enfance qui transcende les âges, Claude Barras a le don rare de faire à la fois rire et pleurer. Ses histoires tour à tour réalistes et fantastiques sont pleines d’humour et de poésie, et le consacrent comme le prince de la marionnette animée

       

      Claude Barras termine actuellement son premier long métrage Ma vie de courgette, coproduction franco-suisse scénarisée par Céline Sciamma et basée sur le roman Autobiographie d’une courgette de Gilles Paris. Il s’agit du premier long métrage de marionnette fabriqué en France depuis trente ans.

       

      En attendant la sortie en salle prévue en 2016, Claude Barras donnera une master class autour de l’animation et la fabrication des marionnettes pour son film.

       

      En partenariat avec le Festival National du Film d’Animation

    • Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 2015
    • New Book / Anne Heyvaert : “Plis Pages”

    • Publication
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/plis8g.jpg
    • 10.12.15 → 14.12.15
      Publication
      Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • Plis Pages
      Anne Heyvaert

      [48 pages], dos carré cousu collé, offset noir & blanc, 26 x 17,5 cm.
      Dépôt légal décembre 2015, ISBN 978-2-914291-75-0, 600 exemplaires, 14€.
      Coédition : Sala de Arte Alfara (Oviedo), Grupo de investigacion dx5 / Université de Vigo.

      À la manière d’un flip book, Anne Heyvaert présente, sur chaque page de ce livre, le dessin d’un livre s’ouvrant progressivement, de la couverture à sa quatrième, trompe-l’œil d’un geste que le lecteur accomplit réellement en tournant les pages du livre qu’il tient entre ses mains.

    • Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • 2015
    • Conférence / Performance par Aymeric Vergnon-d’Alançon

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/visuel_carton_vergnon3-001.jpg
    • 05.12.15 → 05.12.15
      Conférence
      Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • En parallèle de l’exposition Surgün Photo Club, la conférence/performance se propose d’explorer librement ce qu'”exil” et “photographie” peuvent avoir à se raconter.

      Samedi 5 décembre, 17h, entrée libre

    • Lendroit éditions
    • 2016
    • Christmas Print

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/ACB8.jpg
    • 04.12.15 → 08.01.16
      Exposition
      Lendroit éditions
    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Présentation du Festival National du Film d’Animation

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/6-visuel-festival-afca.jpg
    • 03.12.15 → 03.12.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Intervention d’Audrey Celot, Chargée d’Action culturelle
      et de Fanny Desaunay, en mission de service civique sur l’Accompagnement des publics étudiants au sein de l’AFCA.

       

      > Présentation de la programmation de la prochaine édition du Festival national du film d’animation

       

      > Présentation de la masterclass MA VIE DE COURGETTE EN KIT accueillie le jeudi 10 décembre à 18h aux beaux – arts et de l’oeuvre de Claude Barras

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Conférence d’Isabelle Daëron

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Topique-ciel_Isabelle_Daeron_01.jpg
    • 02.12.15 → 02.12.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Diplômée de l’Ecole Supérieure d’Art et Design de Reims et de l’Ensci-Les Ateliers à Paris, Isabelle Daëron conçoit des objets, des mises en espaces, des installations, à partir d’une réflexion sur le milieu habitable et les éléments naturels qui le constituent. Elle s’attache à déterminer, en relation avec la notion d’habitabilité, le juste équilibre entre un matériau, une technique, un territoire. Son projet Topiques, par exemple, réunit un ensemble de dispositifs qui tirent parti des ressources naturelles sur leur lieu de production, afin d’en réduire au maximum les étapes de transformation. Isabelle Daëron a ainsi déjà développé Topique-eau, une fontaine filtrant l’eau de pluie, Topique-eau-des-Cimes, un micro-réseau d’irrigation, Topique-vent, un collecteur de feuilles fonctionnant avec le vent, et Topique-ciel, un miroir de ciel alimenté à l’eau de pluie. Particulièrement innovants dans l’attention qu’ils accordent aux ressources propres d’un territoire, ces dispositifs ont reçu plusieurs prix – Étoile de l’Observeur du design, prix de la Ville de Paris, finaliste du prix COAL (Art et environnement), prix Lille design, Grand Prix de la Création de la Ville de Paris. Ils ont également pris part à des publications et à des expositions en France et à l’étranger.

       

      Intervenant dans les domaines de l’installation, de la scénographie et de la recherche en design, Isabelle cultive un intérêt pour des enjeux liés à l’énergie, à ses usages et ses représentations. Elle a par ailleurs été commissaire de l’exposition Roues Libres, petite mécanique des objets animés, avec Fabien Petiot, au Passage de Retz en 2014. En tant que designer-chercheur, elle intervient au sein du Pôle Recherche de la Cité du Design de Saint-Étienne. Elle enseigne également le design objet à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs à Paris.

       

      En 2015, Isabelle Daëron a été lauréate des Audi Talents Awards.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Conférence de Mathieu Renard

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Lendroit-éditions-Logo1.jpg
    • 30.11.15 → 30.11.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Lundi 30 novembre 2015 à 17h
      Auditorium de l’École

      Conférence dans le cadre de l’Atelier de Recherche et Création édition – publication – diffusion.

      Mathieu Renard est artiste et Directeur de Lendroit Éditions.

    • 2015
    • Le Quartier, 25 years

    • Fête
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/flyer_25answeb.jpg
    • 28.11.15 → 28.11.15
      Fête
    • galerie art & essai – Université Rennes 2
    • 2016
    • Project room : Jérémy Demester

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/vindanjou1.jpg
    • 27.11.15 → 22.01.16
      Exposition
      galerie art & essai – Université Rennes 2
    • Pour sa project room à la Galerie Art & Essai, Jérémy Demester présente ses toutes dernières productions picturales intitulées Vin d’Anjou : trois tableaux de format orthogonal, couverts de nombreuses couches de peinture et glacis industriels. Tous sont fixés sur des châssis en laiton qui, tantôt se détachent de la surface murale pour s’incliner d’un côté ou de l’autre, tantôt reposent sur deux doigts en bronze.

      Comme dotés d’une pulsation propre, ces tableaux métalliques, de prime abord monochromes, s’animent de reflets holographiques au gré des déplacements du visiteur, et de la lumière qui les nourrit. Pièges visuels, objets alchimiques, surfaces mirifiques, ces peintures nous captivent en déclinant de subtiles variations colorées allant du gris au bleu, en passant par le rose et l’or.

      Un ensemble de gravures, cette fois figuratives, sont montrées en regard : des « vierges éparpillées », « des madones pointillistes, qui [pour reprendre les propos de Richard Leydier] donnent la sensation d’être constituées de pigments qu’un simple souffle suffirait à faire disparaitre de la surface du papier ». « En réalité [nous dit l’artiste] lors de son assomption, le corps de la Vierge exploserait dans l’espace, révélant ses viscères ».

      Ainsi, des toiles holographiques aux gravures, Jérémy Demester poursuit son projet qui est de peindre la couleur de nos sangs.

      _

      Jérémy Demester vit et travaille à Paris. Récompensé par le Prix « Aurige Finance » en 2014 et tout récemment par le Prix des Félicités des Beaux-arts de Paris, il a fait partie de l’exposition collective « Minéral » en juin dernier à la galerie Max Hetzler de Paris. Jérémy Demester expose actuellement à l’ENSBA de Paris, dans le cadre de l’exposition collective « Les Voyageurs » (commissaire : Hou Hanru, jusqu’au 3 janvier 2016) ; ainsi qu’au musée de la Fondation Zinsou à Ouidah au Bénin, dans le cadre d’une exposition personnelle, « Original Zeke » (jusqu’au 10 janvier 2016).

    • galerie art & essai – Université Rennes 2
    • 2016
    • gina pane

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/ginapane©photo_anne_marchand.jpg
    • 27.11.15 → 22.01.16
      Exposition
      galerie art & essai – Université Rennes 2
    • La Galerie Art & Essai est heureuse de présenter une exposition personnelle de l’artiste gina pane, figure centrale de l’art corporel et plus largement de la scène artistique des années 1970-1980 en France.

      Conçue tel un voyage, l’exposition propose un cheminement – ni thématique, ni chronologique, ni médiumnique – au travers d’un ensemble d’œuvres choisies pour refléter, dans sa globalité, la carrière de l’artiste : des premières peintures très fortement marquées par l’abstraction géométrique (1964-1967) ; aux installations et actions in
      situ
       menées dans la nature avec pour seul témoin un photographe qui cadre les gestes et les postures poétiques de l’artiste dans le paysage (1968-1970) ; aux actions à forte charge symbolique, réalisées en public et ritualisées autour de la blessure, mais aussi pensées pour être retranscrites et recomposées photographiquement dans des « Constats d’actions » (1971-1979) ; jusqu’aux « Partitions », dernières productions sculpturales de l’artiste inspirées par la vie des saints, des martyrs et de la figure du Christ (1980-1989).

      Montrées les unes en regard des autres au sein de l’espace d’exposition, les huit œuvres donnent ainsi à voir la cohérence conceptuelle et formelle du vocabulaire plastique minimal et corporel de gina pane, au croisement du sacré, du politique et du questionnement identitaire, entre terre et ciel.

      Prolifique, gina pane a pratiqué, avec une aisance égale, la peinture, le dessin, la sculpture, l’installation, l’« action1 » ou encore la photographie dans le cadre d’une collaboration étroite avec Françoise Masson, photographe de toutes les actions avec qui l’artiste anticipe la mise en images au moyen d’un ensemble de dessins préparatoires, de textes et de pré-photographies. Elle a eu recourt à un nombre conséquent de matériaux sélectionnés pour leurs qualités intrinsèques et leurs portées symboliques (terre, bois, verre, marbre, cuivre, fer, laiton, rouille, feutre), mais aussi à des objets tantôt ludiques comme des jouets d’enfants, tantôt réconfortants comme des plumes, tantôt tranchants comme des verres brisés ou des lames de rasoirs. Toutefois, c’est véritablement son propre corps que l’artiste érige comme matériau principal de sa création et instrument d’un nouveau langage : celui de l’art corporel, dès la fin des années 1960 et ce jusqu’à la fin des années 1970. « Toute ma création est matérialisée directement par mon corps en tant que principal matériau et outil de mes concepts », écrit gina pane dans ses notes. Et c’est avec ce dernier qu’elle s’attachera à explorer/expérimenter le monde et ses limites, comme jamais aucun(e) autre artiste ne l’a fait avant elle.

      Celle, dont le souhait premier était de réveiller les esprits de la torpeur anesthésiante des médias, a su bâtir un mythe et nous léguer une œuvre ouverte et intemporelle, solaire et vibrante, radicale et visionnaire, généreuse et sincère, féminine sans être féministe, toujours d’une grande poésie et en quête d’une éternelle communion avec le public.

      « C’est à VOUS que je m’adresse parce que vous êtes cette « unité » de mon travail : L’AUTRE. »

      gina paneLettre à un(e) inconnu(e), 1974

      _

      1. gina pane préférait le terme d’« action » plus à même de retranscrire l’idée de processus qui est au cœur même de sa démarche, à celui de « performance » qu’elle jugeait trop démonstratif.

       

       

      Née en 1939 à Biarritz, de mère autrichienne et de père italien, gina pane quitte l’Italie en 1961 pour étudier à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Elle fréquente l’Atelier d’Art Sacré d’Edmée Larnaudie, et finit par s’installer définitivement dans la capitale. Parallèlement à sa pratique artistique, gina pane enseigne la peinture à l’École supérieure des beaux-arts du Mans de 1975 à 1990. En 1978, elle crée et anime un atelier de performance au Centre Georges Pompidou. Elle décède en mars 1990 à Paris des suites d’une longue maladie. Présente dans d’importantes collections privées et publiques, son œuvre – célébrée par les historiens, les critiques et les artistes – est aujourd’hui redécouverte par le grand public. Plusieurs de ses pièces sont actuellement montrées dans l’exposition « Là où commence le jour » au LaM – Lille Métropole, musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut dans le cadre de lille3000 Renaissance (jusqu’au 10 janvier 2016), et d’autres seront présentées au Centre Pompidou Metz à l’occasion de l’exposition « Sublime » (de février à septembre 2016).  Trois expositions personnelles seront également consacrées à l’artiste en 2016 : au MUSAC – Musée d’art contemporain de Castille-León en Espagne (« gina
      pane
       Revisited », 23 janvier – 24 avril 2016), à la galerie kamel mennour à Paris (« gina pane », 11 mars – 16 avril 2016) et à la galerie l’Elefante à Trévise en Italie (« gina pane », 19 mars – 24 mai 2016).

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Revue Volume, Anne-Lou Vicente et Raphaël Brunel

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Philip-Wolmuth-Speakers-Corner.jpg
    • 26.11.15 → 26.11.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Anne-Lou Vicente et Raphaël Brunel sont critiques d’art et commissaires d’exposition indépendants. Ils ont fondé et dirigé la publication de la revue d’art contemporain sur le son VOLUME parue entre 2010 et 2014. Dans la continuité de leurs recherches menées autour des liens entre son et arts plastiques, ils ont créé et co-dirigent la plateforme éditoriale et curatoriale What You See Is What You Hear.

      http://www.wysiwyh.fr

    • Archives de la critique d’art
    • 2016
    • Critique d’art no45

    • Publication
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Couverture_45.jpg
    • 23.11.15 → 31.05.16
      Publication
      Archives de la critique d’art
    • Issue 45 – Fall/Winter 2015

      The International Review of Contemporary Art Criticism
      Print journal – 176 pages – Bilingual – 16 €
      303 reviews on books and catalogues at http://critiquedart.revues.org
      Biannual frequency – 38 € the subscription (for Europe) combining the print and the electronic journals
      If you’d like to subscribe or just buy this issue, please write at aca-editions@univ-rennes2.fr

      Editorial
      “Criticism at work must provide itself with the wherewithal to think about new objects and make a re-assessment of them. This is the case, in this issue of Critique d’art, with Riccardo Venturi’s contributions about the expanded cinema and Alexandre Castant’s about the sound arts. But this can only be done by going back over what, in the eyes of most people, has always seemed to be a component of art criticism: the discriminating function. Be it about the revival of prizes and awards examined by Sophie Cras or, conversely, the function of the judgment of taste in the face of its relativization under the effect of globalized reduction, open to one and all, of its exercise, as examined by Eric Loret, in the excerpt from the introduction to his Petit manuel critique.
      There can be no denying the fact that the function of arbiter of taste is no longer at the hub of critical praxis […].” (Jean-Marc Poinsot)

      Articles
      Sophie Cras – « Prizes and Awards in Contemporary Art: Evaluation and Promotion in a Competitive System »

      Benjamin Meyer-Krahmer – « A History of Curating – Past and Present »

      Ricardo Venturi – « Rethinking the Expanded Cinema »

      Alexandre Castant – « Thoughts About The Sonic Arts  »

      François Cusset – « Back to (French) Theory: On  Operational Concepts »

      Portraits
      Michel Nuridsany / Etel Adnan

      Translation
      Eric Loret, « What’s the point of an island », extrait de Petit manuel critique
      Introduit par Christophe Domino

      Theory & Criticism
      Christophe Domino
      « Que peut la critique impliquée ? / What Can Involved Criticism Do? »
      Introduit par Jean-Marc Huitorel

      Revisiting History
      Isabelle Kalinowski – « From “Negro Sculpture” To “African Sculpture” »

      Archives
      Antje Kramer-Mallordy – « The Archives of the International Association of Art Critics, a Forward-looking History of Globalization? »

      Reviews
      303 reviews published in this issue
      All the reviews on line at http://critiquedart.revues.org

    • EESAB → Site de Lorient
    • 2015
    • sans artifice

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/invitation-OK.jpg
    • 20.11.15 → 29.11.15
      Exposition
      EESAB → Site de Lorient
    • Gabrielle Cadaze, Pierre Feuvrier, Anaïs Gauthier, Pénélope Greene, Isabelle Keraudran, Guanglei Si, Quentin Yvelin

      7 étudiants de 5ème année exposent leurs recherches plastiques à la grande Poudrière, de Port-Louis (56).

      une expérience d’accrochage collectif, une rencontre avec le public, à l’orée de cette dernière année d’étude, qui se terminera par le diplôme national supérieur d’expression plastique (DNSEP).
      N’hésitez pas à venir les rencontrer…
    • Lendroit éditions
    • 2015
    • Pierre Budet, Disco Before Death & Death before Disco / Review Faros n°1 – La Montagne

    • Publication
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/ACB7.jpg
    • 19.11.15 → 19.11.15
      Publication
      Lendroit éditions
    • Galerie Raymond Hains
    • 2015
    • Angélique Lecaille, “Sechzig Minuten”

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/LecailleNebuleuseWeb.jpg
    • 18.11.15 → 18.11.15
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • Sechzig minuten s’inscrit dans le cadre du workshop Et il soulevèrent des pierres pendant des heures (1380 minutes de gestes de dessins) dispensé auprès de la classe préparatoire à l’Ecole des Beaux-arts Emile Daubé. Formée à la gravure, l’artiste y abordera le placement naturel du dessin dans sa démarche artistique jusqu’à aujourd’hui, où le glissement du dessin vers la sculpture et l’installation questionne les representations et les modes de présentation.

      Angélique Lecaille partagera son regard sur le paysage, principal thème de ses recherches. Ses oeuvres se construisent autant à partir de lectures que de collectes d’images et d’informations propre au paysage, empruntant ses sujets à la géologie, la mineralogie… Son regard rejoint celui du scientifique ou celui de l’amateur éclairé collectionnant les curiosités géologiques.

      Une approche du paysage multiple s’appuyant sur des références littéraires et artistiques que l’artiste nous fera partager durant ces 60 minutes (« Sechzig Minuten ») de dess(e)in.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Présentation du CAFE 420

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/20131515_HISTOIRE-X1P1_ori.jpg.567.jpg
    • 17.11.15 → 17.11.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • La Collective et Bureau Cosmique

      La Collective et Bureau Cosmique
      NI BOURRIAUD, NI BOUILLON

      Mardi 17 novembre à 18h
      Cafétéria de l’EESAB site de Rennes
      La Collective et Bureau Cosmique proposent un apéro-conférence dans la cafétéria de l’école des Beaux-Arts de Rennes afin de présenter pour la première fois le CAFE 420, projet de tiers-lieu artistique nomade.

      CAFE 420 est une expérience collective protéiforme permettant d’interroger les modalités de rencontres entre les entités art, artistes, acteurs culturels et publics. Espace éphémère et nomade, CAFE 420 à pour ambition de créer des situations d’échanges propices à une réflexion autour des conditions d’existence et de visibilité de la jeune création contemporaine.

      Invitation au micro-financement du CAFE 420
      jeudi 19 novembre 2015, 18h30
      Phakt

      CAFE 420 #1, centre culturel PHAKT du 7 janvier au 12 février 2016

    • Frac Bretagne
    • 2015
    • GENERATOR #1. Faire parler les livres par Camille Bondon

    • Performance
    • 17.11.15 → 17.11.15
      Performance
      Frac Bretagne
    • Exercice de parole à partir de documents issus de l’INHA et des Archives de la Critique d’Art à Rennes. Durée : 30 minutes. Date : mardi 17 novembre à 18h30 au Frac Bretagne.

    • L’art dans les chapelles
    • 2015
    • Atelier d’initiation à la lithographie

    • Atelier
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Atelier-lithographie.jpg
    • 15.11.15 → 15.11.15
      Atelier
      L’art dans les chapelles
    • L’art dans les chapelles vous invite à découvrir l’impression lithographique. Encadré par notre médiatrice, vous découvrirez cette technique de reproduction d’image et de texte qui a vue le jour au XVIIIe siècle. Chaque participant pourra réaliser son propre dessin et l’imprimer en plusieurs exemplaires.

      Cet atelier est organisé dans le cadre de l’évènement Culture et solidarité en Pays de Pontivy, au profit des Restos du Cœur qui se déroulera les 13, 14 et 15 novembre. (Organisé par l’AMISEP, Mil Tamm et Musiques à Corps et à Chœur)
      Plus d’informations sur cet évènement sur facebook.com/restoducoeurpontivy

    • 2016
    • Ailleurs ici, une proposition d’Elvan Zabunyan

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Affiche-95.jpg
      Ailleurs ici
    • 14.11.15 → 14.02.16
      Exposition
    • Michelle Dizon, Andreas Maria Fohr, Renée Green, Thierry Lefébure, Trinh T. Minh-ha, Caecilia Tripp.

      Collective, cette exposition est une expérience subjective qui s’appuie sur la mise en relation d’œuvres d’art s’intégrant simultanément dans un cadre de recherche et dans un espace amical. Ce dernier point permet de saisir l’importance de la rencontre comme origine d’une réflexion sur un travail artistique et accorde à l’échange par la parole une place prépondérante.

      Ailleurs ici est né du désir de précisément réunir ici, au Quartier, des propositions visuelles qui racontent l’histoire du déplacement culturel. Ce déplacement est d’abord physique — l’artiste se trouve dans un lieu et y enregistre des images —  ; mais il est aussi politique et poétique — l’artiste pense le présent de la culture qu’il interroge et en fait une forme filmique, photographique, sculpturale, littéraire. Ce sont les œuvres qui sont le point de départ du dialogue qu’initie l’exposition. Les Music for (prepared) Bicycles (d’après John Cage et Marcel Duchamp) de Caecilia Tripp, dont les deux étapes se déroulent respectivement à Bombay (2012) et à New York (2013), intègrent la déambulation urbaine dans deux villes aux sonorités complexes qui font écho à celles des bicyclettes créées par l’artiste. Old Land New Waters (2007) de Trinh T. Minh-ha convoque, sous la forme d’un diptyque, la réalité contemporaine d’un Vietnam originel, spirituel et historique où le travail des femmes sur l’eau transforme la grâce fluide en majestueuse résistance politique. La double projection proposée par l’artiste est un essai engagé où le médium numérique se dissout comme d’infinies particules d’eau. C’est par l’eau que commence la vidéo Perpetual Peace réalisée par Michelle Dizon aux Philippines en 2013, l’artiste se déplace en glissant sur la surface aquatique pour observer avec radicalité le mouvement d’un pays, pour saisir la densité d’une histoire contrariée. Le Space Poem #2 est composée des mots de Laura, un personnage que Renée Green a créé en 2009 pour son exposition au Maritime Museum de Greenwich-Londres. Fidèle à une méthode de recherche minutieuse, l’artiste pose les vers sur les bannières pour former un poème fragmenté qui renvoie à l’eau et à l’imaginaire le plus profond porté par la mer. Images mentales abstraites, interrogations tranchantes, ces mots constituent le socle d’une pensée qui navigue  ; les bannières dans l’espace sont autant de voiles qui appellent le vent. Le déplacement dans l’installation d’Andreas Maria Fohr existe par les points de contact conceptuels qu’il crée dans l’espace qu’occupent ses travaux. Objets, images, sculptures, peintures murales, vidéos, textes, la corrélation entre les médiums agit comme un frottement nucléaire, moléculaire, cellulaire qui provoque au final une étrange explosion/implosion qu’il faut saisir à l’instant où la lumière se produit. La lumière est aussi ce qui meut Thierry Lefébure dans ses déplacements photographiques. En parcourant les paysages les plus divers en Europe occidentale et orientale, aux Amériques, en Asie, en Afrique, il regarde comment le lieu traversé peut s’imprimer sur la surface rayonnante de sa pellicule argentique. Ce qui est saisi avant et après la prise de vue est associée à la lumière qui devient très souvent le déclencheur de l’image à naître. Présentées pour la première fois sous la forme d’affiches de grand format, quinze images des dix dernières années ouvrent Ailleurs ici accompagnées du portrait d’un arbre intemporel de Jean-Baptiste Camille Corot (Paysage de Bretagne,1860-1865, prêté par le Musée des beaux-arts de Quimper) et d’une maquette de bateau en résonance avec les ex-votos marins.

      L’idée du déplacement qui structure l’exposition se fonde sur la possibilité de penser «  l’ailleurs  » ici, maintenant, mais aussi de renverser la perspective et les points de jonction.

      «  Ici  », «  Ailleurs », deux adverbes dont l’étymologie latine désigne respectivement un endroit précis (hic) et un autre lieu (aliore). Sans hiérarchiser les espaces, l’exposition propose de privilégier une rencontre en créant une simultanéité de temporalités. C’est au cœur d’une oscillation, «  comment effectuer le déplacement entre le «  ici  » et l’«  ailleurs  »  ? et vice versa  ?  », que l’on cherche à saisir ce qui se joue dans la distance qui sépare géographiquement, politiquement, culturellement, métaphoriquement les deux lieux à appréhender selon la position que l’on occupe dans le monde. Car il ne s’agit pas de déterminer ce qu’est le «  ici  » ou l’ «  ailleurs  » (ils sont partout là à chaque instant) mais bien l’espace qui les lie ou les éloigne. Puisque le déplacement d’un point à un autre peut être multiple et évoquer à la fois le voyage, la migration, l’exploration, l’exode, ce qui fait le lien de toutes ces conditions est le mouvement nécessaire qui s’y rattache.

      L’exposition souhaite solliciter plusieurs «  ailleurs  » pour les faire naviguer vers le «  ici  » que représente le Quartier et la ville de Quimper, en convoquant à travers les lignes et la mémoire, la longue histoire de la Bretagne dans le commerce maritime à l’époque coloniale.

      Les travaux des artistes précédemment présentés viennent physiquement d’ailleurs et, s’ancrant dans l’espace d’exposition, proposent une conversation. Travailler cette notion de lieu dans sa translation permet de réfléchir à la façon dont l’idée allégorique du «  voyage  » est aussi une façon de découvrir, d’explorer mais aussi d’observer, d’étudier ce qui se joue dans les ondes par l’expérience du déplacement et dans les sillons d’une pensée critique qui s’adosse plus que jamais à l’extrême violence de l’actualité en s’inscrivant dans les interstices d’une Histoire tourmentée. À la manière d’une vague marine, l’exposition portera l’idée contrastée de force et de fluidité, de décentrement et d’aller retour, de turbulence et de persévérance pour poser un regard aiguisé sur la réalité contemporaine du monde aujourd’hui, «  ailleurs  » et «  ici  », «  ailleurs ici  ».

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Exposition Un continent chronophage : jardin

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/etourneau1.jpg
    • 12.11.15 → 28.11.15
      Exposition
      EESAB → Site de Rennes
    • Morgan Azaroff, Matthis Berchery, Luc Borthayre, Paul Cottet-Dumoulin, Alice Delanghe, Alix Doyen, Valentin Gabelier, Charly Graviassy, Pauline Guemas, Eunice Labor, Rémi Lapouble, Gaspard Le Guen, Angèle Manuali, Thomas Portier, Eva Reboul, Alisson Schmitt, Shankar Lestrehan

      Une exposition de travaux d’étudiants des 3e, 4e et 5e années option Art réalisées suite au workshop organisé par Luc Larmor et Kristina Solomoukha avec Jochen Dehn, artiste, Anne-Lou Vicente et Raphaël Brunel, critiques d’art et commissaires d’exposition, co-fondateurs de la revue Volume.

       

      Le Praticable va devenir pendant la durée de l’exposition, un point nodal situé à la convergence de destinations, d’interventions réalisées dans des lieux urbains revisités, investis, décalés. Des paroles, des gestes, des rencontres (parfois improbables), des rumeurs, des fragments d’objets et des traces de passage dont on pourra retrouver la résonance tout au long de l’exposition.

    • Passerelle Centre d’art contemporain
    • 2015
    • Shake what your mama gave you

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Geo_Passerelle_web.jpeg
    • 12.11.15 → 26.11.15
      Exposition
      Passerelle Centre d’art contemporain
    • Marie Bette, Marion Bailly-Salin, Nicolas Desverronnières, Nicolas Floc'h, Nicolas Momein, Valentin Ferré, Capucine Vever, Catherine Rannou, HeHe, Julie Morel, Laurent Tixador

      L’exposition présente une sélection de pièces réalisées durant trois années d’expérimentations, de résidences et de propositions plastiques au sein de Géographies variables, projet de recherche de l’EESAB, inscrit dans le programme « territoires extrêmes ».

      Géographies variables réunit une vingtaine de praticiens (artistes, étudiants, critiques, commissaires, philosophes) et s’attache à questionner la pratique artistique dans des conditions géographiques ou symboliques extrêmes.
        Commissariat : Etienne Bernard, directeur de Passerelle, Centre d’art contemporain, Roxane Jean, diplômée de l’EESAB et Julie Morel, artiste et enseignante à l’EESAB, responsable du projet.
    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Mette Ingvarsten, 7 PLEASURE

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Kaaitheater_Mette©DannyWillems-3806-Large-1.jpg
    • 12.11.15 → 12.11.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Présentation du travail de Mette Ingvarsten par Gilles Amalvi.

      C’est l’occasion de questionner la démarche de cette artiste découverte dans différentes éditions du festival Mettre en scène à travers des propositions radicalement différentes.

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Conférence de Adva Zakaï

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/confphakt-adva-web.jpg
    • 10.11.15 → 10.11.15
      Conférence
      EESAB → Site de Rennes
    • Présentation du travail de l’artiste et discussion croisée avec la commissaire d’exposition Raphaële Jeune autour de leurs recherches sur la notion du corps et de la subjectivité face au numérique.

    • Frac Bretagne
    • 2015
    • Corps

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/FISCHER-_-Sans-titre-Los-Angeles-Portrait-n34-95693-web.jpg
      Roland Fischer, Sans titre (Los Angeles Portrait n°34), 1993, Collection Frac Bretagne © ADAGP, Paris 2015. Crédit photo : Édition-Galerie Sollertis
    • 09.11.15 → 17.12.15
      Exposition
      Frac Bretagne
    • Larry Deyab, Roland Fischer, Harrell Fletcher Briac Leprêtre, Anne et Patrick Poirier

      Pour sa nouvelle saison de partenariat avec le Frac Bretagne, l’AMAP propose en ouverture une réflexion autour du corps et plus singulièrement du portrait.
      Thème de prédilection enseigné dans les académies, il est ici l’occasion d’une déclinaison sous différentes formes.
      Photographie, aquarelle, peinture s’invitent dans cette proposition à visée pédagogique pour engager le dialogue et
      démontrer la force évocatrice du sujet.

    • Les Moyens du Bord
    • 2015
    • Multiples#10, salon de la petite édition d’artiste

    • Atelier
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Visuel-Multiples10-800x800.jpg
    • 07.11.15 → 08.11.15
      Atelier
      Les Moyens du Bord
    • Depuis dix ans, l’association Les Moyens du Bord organise ce rendez-vous autour de la petite édition d’artistes afin de faire découvrir des œuvres originales et accessibles, qui témoignent du parcours de leurs auteurs. Ce salon accueille une soixantaine d’artistes et collectifs dans différents lieux de Morlaix : l’école du Poan Ben, l’Hôtel de l’Europe, la médiathèque Les Ailes du Temps, les Moyens du Bord et le Musée de Morlaix. Véritable laboratoire autour de la petite édition, Multiples donne lieu à de nombreuses initiatives : expositions, rencontres avec des artistes, ateliers, soirée « Brassage poétique », lectures et projections.

      Pour les dix ans de Multiples, l’association va éditer plusieurs multiples ainsi qu’une sérigraphie de Jacques Villeglé imprimée par Alain Buyse et coéditée avec le Musée de Morlaix.

       

    • Artothèque de Vitré Communauté
    • 2015
    • Bernard Lallemand, Salto arrière

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/B-LALLEMAND-EROS-II.jpg
    • 07.11.15 → 27.12.15
      Exposition
      Artothèque de Vitré Communauté
    • Le Volume
    • 2015
    • Une maison chaque jour

    • Exposition
    • 06.11.15 → 17.12.15
      Exposition
      Le Volume
    • Guillaume Castel

    • Les Moyens du Bord
    • 2015
    • Soirée Brassage poétique aux Moyens du Bord

    • Lecture
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Brassage-poétique-aux-Moyens-du-Bord.jpg
    • 03.11.15 → 03.11.15
      Lecture
      Les Moyens du Bord
    • Dominique Quélen, Frédéric Forte

      MARDI 3 NOV. 19H
      AUX MOYENS DU BORD — MANUFACTURE DES TABAS

      Venez passer une soirée « Brassage poétique », avec les poètes Dominque Quélen et Frédéric Forte, suivie d’une dégustation de bières de la brasserie du Pied de Biche de Guimaëc (29). Une soirée conviviale en périphérie du salon de la petite édition Multiples, proposée en partenariat avec la Maison de la Poésie de Rennes.

    • galerie art & essai – Université Rennes 2
    • 2015
    • Project room: Caroline Molusson, Je ne suis pas sûre d’être là. Parcours Métrange – expositions / Carte blanche à Contrefaçon

    • Exposition
    • 26.10.15 → 13.11.15
      Exposition
      galerie art & essai – Université Rennes 2
    • Le Festival Court Métrange offre une carte blanche au collectif Contrefaçons pour l’organisation d’un parcours d’expositions dans la ville de Rennes. Dans le cadre de la 12e édition du Festival Court Métrange, intitulée Territoire des songes, le collectif Contrefaçons propose un ensemble d’expositions et d’événements permettant d’interroger le réel et ses différentes interprétations. En déplaçant la question du simulacre, il s’agit de penser la fiction et le rêve comme des vecteurs possibles du vrai et l’imaginaire comme une nouvelle dimension du réel, permettant d’en élargir sa perception.
      Avec son installation sonore intitulée Ronde de nuit, Caroline Molusson invite à la contemplation. Découlant de réflexions sur la perception, le travail de l’artiste entraîne le spectateur à travers ses sensations, questionnant le rapport que nous entretenons à l’espace et à notre propre corps. La performance qu’elle réalise interroge l’émotion et l’intime à travers la suspension, les arrêts, les silences. Le mouvement comme parole du corps est alors mis en jeu.

      Performance vendredi 23 octobre – 18h
      Je ne suis pas sûre d’être là, 15′.

      Née en 1976, Caroline Molusson vit et travaille à Nantes. Elle est représentée par la galerie Ilka Bree à Bordeaux.

    • Galerie Raymond Hains
    • 2016
    • Philippe Durand, cinéma neige

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/basse-def2.jpg
    • 23.10.15 → 10.01.16
      Exposition
      Galerie Raymond Hains
    • Artiste photographe, Philippe Durand construit son corpus depuis 1994 en se jouant des signes urbains de notre environnement, en s’intéressant à l’envers du décor autant qu’aux vitrines, aux paysages naturels ou artificiels. En écho à l’exposition « Vallée des Merveilles 2 » qu’il prépare à Rennes et à Sète, l’EBA présente une nouvelle série qui emprunte aussi au paysage et à sa structure. à l’instar d’un collage, chaque image s’attache à révéler des formes découpées ou générées par de la neige, confrontant ainsi l’infiniment lent du minéral à l’infiniment vite de la neige. Les tirages photographiques relèvent d’un procédé lenticulaire produisant une sensation de relief ou qui changent en fonction de l’angle de vue du spectateur.

    • 40mcube
    • 2015
    • Generator #1

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/40mcube_frac_generator_visuel2.jpg
      Exposition au Frac Bretagne-Commissariat: 40mcube
    • 23.10.15 → 29.11.15
      Exposition
      40mcube
    • Camille Bondon, Rémi Duprat, Aurélie Ferruel & Florentine Guédon, Camille Tan

      L’exposition réunit et présente le travail des artistes de la première promotion de GENERATOR, programme de
      professionnalisation initié par 40mcube qui permet chaque année à quatre jeunes artistes de se consacrer
      entièrement à leur pratique pendant sept mois. Derrière des formes variées, des préoccupations communes
      apparaissent dans les pratiques respectives de Camille Bondon, Rémi Duprat, Aurélie Ferruel & Florentine
      Guédon et Camille Tan.
      Camille Bondon s’intéresse à l’organisation et aux matérialisations de la pensée. Son travail prend la forme de
      performances, de textes, d’éditions. Pour accueillir ces formes temporaires, immatérielles, discrètes, Camille
      Bondon a conçu un ensemble de sculptures-mobiliers modulaire qui lui permet de créer l’espace nécessaire à
      ce qu’elle nomme ses exercices de parole. La question de la trace, également au coeur de ses recherches, l’a
      menée à éditer l’un de ses carnets de notes quotidiennes, qui rend visible son processus de travail.
      Camille Tan réalise un autre type d’inventaire, qui prend la forme de sculptures, de dessins et de photographies.
      Durant GENERATOR, il a ainsi mis en place un mode de production qui consiste en la collecte de
      matériaux hétéroclites rejetés à proximité de son atelier puis leur transformation et leur assemblage dans une
      vaste installation évolutive, Mon jardin japonais.
      Rémi Duprat présente plusieurs oeuvres liées à l’habitat nomade, mettant en évidence la survivance et persistance
      de certaines techniques de construction. S’intéressant à des pratiques culturelles – habitudes, coutumes,
      techniques – d’horizons et d’époques variés, il crée des rapprochements qui se concrétisent dans
      ses installations par la cohabitation de photographies documentaires ou mises en scène, de dessins et de
      sculptures. Le savoir-faire et la technique, centraux dans son travail, lui permettent de reproduire des objets,
      ancestraux ou contemporains, artisanaux comme industriels, et de les confronter.
      Aurélie Ferruel & Florentine Guédon réalisent des performances inspirées de différentes traditions rurales,
      rituels, pratiques, confréries de leurs régions d’origines comme de contrées plus lointaines. Ces performances
      les amènent à utiliser différentes techniques artisanales comme la céramique, le tissage, la couture, le travail
      du bois… pour réaliser les costumes et objets de leurs performances. Pendant les sept mois passés en Bretagne,
      elles se sont intéressées aux coiffes et aux danses, qu’elles ont liées à une danse de séduction d’une
      ethnie africaine. Ce travail de recherche a donné lieu à la confection d’un costume complet, la réalisation d’un
      travail chorégraphique et d’une performance à huis clos qui a été filmée.
      Ainsi les oeuvres de Camille Bondon, de Rémi Duprat, d’Aurélie Ferruel & Florentine Guédon et de Camille Tan
      tissent un paysage passant du rural à l’urbain, de la construction de la pensée aux techniques et pratiques
      traditionnelles.
      Anne Langlois

      Commissariat d’exposition: 40mcube

    • 40mcube
    • 2015
    • Jean-Charles Hue, Lágrimas Tijuana

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Lagrimas_JC-HUE-15.jpg
    • 23.10.15 → 29.11.15
      Exposition
      40mcube
    • Jean-Charles Hue pratique l’immersion dans des communautés ou des groupes de personnes constitués. Ces immersions lui permettent de filmer dans le temps des personnes et des situations, rushes à partir desquels il réalise ensuite des films qui peuvent prendre la forme de courtes vidéos présentées dans des lieux d’exposition comme de longs métrages qui sortent en salles de cinéma. Il réalise notamment plusieurs films dans un groupe ethnique yéniche où il a retrouvé ses origines, comme Y’a plus d’os (2007), La BM du Seigneur (2010) ou Mange tes morts. Tu ne diras point, récompensé par le prix Jean-Vigo en 2014 et le prix France Culture cinéma des étudiants en 2015. Ses films s’apparentent à des documentaires ou à de pures fictions, souvent à la limite des deux, entretenant le doute sur le fait que les scènes soient jouées ou enregistrées sans que le réalisateur n’intervienne.
      Pour son exposition au Frac Bretagne à l’invitation de 40mcube, Jean-Charles Hue présente deux nouveaux films. Depuis plusieurs années il se rend au Mexique, à Tijuana, où il suit un couple rencontré lors de l’un de ses voyages. Lágrimas Tijuana, titre de l’exposition, est aussi celui de l’un des films présentés, dans lequel il suit le quotidien de ce couple, composé de menus larcins et de consommation de crack (crystal). Le film, à la fois tout en brutalité – celle, palpable, de la vie de ses protagonistes – et tout en nuance, évoque en quelques dialogues et quelques scènes les autres activités, bien plus redoutables, impossibles à filmer et difficiles à montrer, de l’homme en question qui n’est autre qu’un tueur à gage.
      Par ce principe simple de l’ellipse, par un choix d’images et un montage précis, Jean-Charles Hue parvient subtilement à parler d’une réalité sans en faire ni du spectaculaire, ni du sensationnel, ni du voyeurisme. Il évite également tout ethnocentrisme et montre simplement la complexité et la diversité humaine, celles d’un monde dans lequel aucun manichéisme n’est possible.
      L’exposition propose une mise en espace radicale dans la salle en forme de trapèze du Frac. Lágrimas Tijuana fait l’objet d’une très grande projection sur l’un des murs à l’extrémité de l’espace. Sur le mur opposé, soit à plus de 40 mètres, est présenté Crystal Bullet. Ce second film silencieux et mélancolique, est un portrait de femmes qui habitent Tijuana et qui semblent vivre entre deux mondes, celui cruel de Tijuana et un autre monde inventé pour survivre.
      Ce choix de présenter en vis-à-vis ces deux films laisse un vaste espace où se déploie l’univers de Jean-Charles Hue, et dans lequel le spectateur peut à son tour évoluer.
      Anne Langlois

    • 40MCUBE
    • 2015
    • GENERATOR #1

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/40mcube_frac_generator_visuel1.jpg
    • 23.10.15 → 29.11.15
      Exposition
      40MCUBE
    • Camille Bondon, Rémi Duprat, Aurélie Ferruel & Florentine Guédon, Camille Tan

    • Lendroit éditions
    • 2015
    • Pisitakun Kuantalaeng, ImpossiBKK Dream

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/ACB3.jpg
    • 22.10.15 → 21.11.15
      Exposition
      Lendroit éditions
    • L’IMAGERIE
    • 2015
    • François Méchain, Lieux d’être(s)

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/François_Méchain_Dragon_football_Shunde_2015.jpg
    • 20.10.15 → 05.12.15
      Exposition
      L’IMAGERIE
    • Superflux, voir l’art se faire
    • 2015
    • Arrière-Saison 2015

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/David-Droubaix.jpg
    • 18.10.15 → 13.12.15
      Exposition
      Superflux, voir l’art se faire
    • David Droubaix, “Les Heures”


      A partir de récits, de faits divers et d’évènements liés à la politique, la culture ou la science, David Droubaix réalise des installations où réalités factuelles et fictionnelles s’interfèrent. A travers ces oeuvres, l’artiste questionne la société de l’image, où le faux et le vrai, le virtuel et le réel s’interpénètrent et entrainent un monde équivoque.
      Dans le cadre des expositions d’automne, David Droubaix présente une installation inédite qui combine photographies, objets liés au patrimoine breton et dispositif muséal. En partenariat avec le Musée de Bretagne.

      Olivier Lemesle, “X”!
      Rectangles, grilles et motifs récurrents constituent l’alphabet plastique de l’artiste qu’il reformule et éprouve inlassablement sur des supports aux textures et aux formats différents. Il applique également un principe de relecture à quelques-unes de ses peintures qu’il transfert sur des petits formats  pour faciliter le stockage et le transport. Il adapte ainsi les oeuvres à la taille de l’espace d’exposition. Par la relecture et l’adaptation aux questions matérielles, Olivier Lemesle développe de nouveaux concepts. Il inclut à son univers pictural de nouvelles pratiques comme le carnet et le pliage.

      Yuna Moret, “Dérive”
      Yuna Moret associe différents médiums et techniques dans des installations où fiction et réalité se croisent. Gravure, peinture, dessin et volume communiquent. Ils constituent des parcours qui invitent le spectateur à appréhender la notion de territoire dans sa dimension la plus large.
      “Dérive” est un projet amorcé en 2010. A travers cette exposition ludique et imagée, l’artiste questionne le territoire comme espace géopolitique où l’homme et son désir insatiable de conquête transforme en permanence le monde.

    • L’aparté, lieu d’art contemporain
    • 2015
    • Estèla Alliaud, La forêt était encore relativement là

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/estela_alliaud_photo_3.jpg
    • 16.10.15 → 11.12.15
      Exposition
      L’aparté, lieu d’art contemporain
    • Le travail d’Estèla Alliaud s’attache en premier lieu à la fréquentation patiente et assidue des espaces dans lesquels elle est invitée à exposer, dans la perspective d’habiter le plus justement un lieu, de percevoir et décrypter les possibilités offertes par ses caractéristiques propres, que ce soit en termes d’architecture, de volume, de panorama ou de luminosité. Ce temps d’immersion coïncide également avec l’observation minutieuse d’un ensemble de phénomènes qu’elle cherche à exploiter, dans une logique souvent expérimentale, à travers des situations en partie déterminées par un geste simple, dépourvu de tout effet d’annonce et de parti pris spectaculaire. Ainsi au Pavillon à Pantin, reporte-t-elle les mouvements de la lumière sur le mur à l’aide d’épingles dont l’ombre portée forme, le temps d’une apparition fugace qui échappera dans la plupart des cas au visiteur, un alignement parfait (Ligne d’horizon, 2013), ou reproduit-elle sur des plaques de verre découpées, superposées et simplement posées au sol, les fragments du ciel aperçus depuis la vitrine de la galerie PapelArt (Le Ciel, même, 2014). Ce jeu sur la transparence et le regard porté vers l’extérieur s’exprime également à travers une œuvre logiquement intitulée Fenêtres dans laquelle l’artiste dépose le carreau d’une fenêtre contre celle, plus grande, d’un autre espace, imposant ainsi un cadre dans le cadre tout en suggérant un déplacement métaphorique de point de vue et de paysage.

      Infimes, presque imperceptibles, de l’ordre de l’inframince cher à Duchamp, ces œuvres réalisées avec une grande économie de moyen et à l’échelle du corps de l’artiste délaissent les bavardages pour mieux se concentrer sur le transitoire, les passages d’un état à un autre, sur ces moments de basculement qui relèvent autant de la disparition que de la trace. A l’image de La Forme empruntée (2014) pour laquelle Estèla Alliaud moule le plafond d’une cave avant d’exposer le résultat sur le sol du niveau supérieur, l’empreinte tient une place essentielle dans son travail. Elle fonctionne à la fois comme négatif d’une forme et comme procédé d’apparition d’un nouvel agencement, comme retournement de situation et de sens*.

      On comprend alors à quel point l’approche sculpturale de l’artiste peut être envisagée en termes photographiques, qu’ils impliquent la lumière, le cadrage, le fragment ou le négatif. Lors de sa résidence à L’aparté à Iffendic, Estèla Alliaud dépose des draps dans l’étang tout proche et intercale des planches de contreplaqué entre l’une des façades ajourées du bâtiment et le mur aveugle de la salle d’exposition pour expérimenter, à l’abri du regard, l’action de l’eau et du soleil sur ces matériaux devenus surfaces potentielles de révélation, marqueurs de son temps de présence sur les lieux. Minutieux et précis, relevant parfois du relevé, les procédés de l’artiste traduisent également un goût prononcé pour le processus, laissant volontiers les formes advenir (ou non) par elles-mêmes. Estèla Alliaud convoque par ailleurs la photographie dans sa pratique de la sculpture, s’inscrivant à sa manière dans la longue histoire qui, de Constantin Brancusi à Gabriel Orozco, lie ces deux médiums. Souvent à la limite du noir et blanc, déployant tout un nuancier de gris, les clichés réalisés par l’artiste fonctionnent comme des outils spéculatifs** venant figer un mouvement, un geste, un équilibre précaire et instable nés de manipulations diverses au sein de l’atelier. A la vidéo, trop narrative et à même de capter l’intégrité d’un processus, l’artiste préfère l’image fixe qui vient saisir l’instant, conserver l’état éphémère d’une forme. Chez elle, le fragment revêt une vertu esthétique qui tour à tour se fait indice et embrayeur de situations qu’il revient à chacun de décrypter et de s’approprier.
      Raphaël Brunel

      * Georges Didi-Huberman, La Ressemblance par contact. Archéologie, anachronisme et modernité de l’empreinte, Paris, Les Éditions de Minuit, 2008.
      ** Voir le texte de Marguerite Pilven sur le travail d’Estèla Alliaud dans le catalogue The Solo Project, Basel, mars 2013.

    • Le Bon Accueil
    • 2015
    • Aernoudt Jacobs et Jeoren Uyttendaele, Lambda

    • Non classé
    • 16.10.15 → 22.11.15
      Non classé
      Le Bon Accueil
    • This exhibition offers to discover Overtoon a platform for research, production and distribution of sound art and media art based in brussels through the works of Flemish artists Aernoudt Jacobs and Jeroen Uyttendaele.

      Visceral and compelling for “Vonkveld 3″ ( Sparks fields), aerial and subtle for “Induction Series # 4″  based on electromagnetism, this two sound and sculptural installations combine technology and ingenuity and have in common to use electricity as an artistic medium

    • Artothèque de Brest
    • 2016
    • Corentine Le Pivert et Nicolas Gérot, C’est déjà demain

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Corentine_le_Pivert_Nicolas_Gerot.jpg
    • 15.10.15 → 10.01.16
      Exposition
      Artothèque de Brest
    • Exposition de Corentine Le Pivert et Nicolas Gérot, à l’Artothèque du Musée des Beaux-Arts de Brest, du 15 octobre 2015 au 10 janvier 2016.
      Vernissage le mercredi 14 octobre à 18h30, suivi à 19h30 d’une performance musicale des deux artistes.
      Soucieuse de prolonger sa mission de soutien à la jeune création, l’artothèque propose pour la deuxième année consécutive une carte blanche à des jeunes artistes. Cette année, elle accueille le travail de Corentine Le Pivert et Nicolas Gérot. Dans la galerie de l’artothèque, ils présentent un ensemble d’oeuvres inédites produites pour l’exposition. Ils s’aventurent même au sein de la collection permanente du musée en livrant une interprétation toute personnelle d’une oeuvre d’un peintre de paysage néerlandais du 17e siècle Bartholomeus Breenbergh. Dans le cadre du partenariat initié avec BASE, projet artistique mené par Documents d’Artistes Bretagne et L’École Européenne Supérieure d’Art de Bretagne qui diffuse sur internet les productions de récents diplômés de l’EESAB, ce rendez-vous annuel propose de porter un regard sur les pratiques contemporaines du dessin.

      Nés en 1987 et 1983, diplômés de l’École Supérieure d’art de Brest en 2012 et 2011 Corentine et Nicolas vivent et travaillent à Rennes. « Nous entretenons avec lui des rapports complexes. Il nous échappe, nous en manquons souvent, parfois il semble long, plus rarement extensible. Le réveil sonne : c’est déjà demain.» Corentine Le Pivert et Nicolas Gérot.

    • Documents d’Artistes Bretagne – ddabretagne.org
    • 2016
    • C’est déjà demain, Corentine Le Pivert et Nicolas Gérot, espace documentaire de ddab

    • Exposition
    • 14.10.15 → 10.01.16
      Exposition
      Documents d’Artistes Bretagne – ddabretagne.org
    • En parallèle de l’exposition C’est déjà demain de Corentine Le Pivert et Nicolas Gérot à l’Artothèque du Musée des Beaux-Arts de Brest, Documents d’Artistes Bretagne présente dans son espace documentaire l’œuvre Paysage et jardin suspendu, 2014.

      Plus d’information sur Corentine Le Pivert et Nicolas Gérot : http://base.ddab.org/corentine-le-pivert-nicolas-gerot

       

    • Galerie Raymond Hains
    • 2015
    • Benoît Laffiché, «Les royaumes du soleil et de la lune»

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/LafficheWeb.jpg
    • 14.10.15 → 14.10.15
      Conférence
      Galerie Raymond Hains
    • In an historic moment when every form of life is in the grip of the process of economic globalization, what is involved for the artist, more than ever, is working in situ and in vivo. In situ: in a precise spot on the planet, a place endowed with specific geographical, economic, cultural and human coordinates, be it in terms of discovery or understanding. In vivo: at the heart of what is living, in dialogue with the Multitudes.
      The video installation Vasanthi & Vani Theaters by Benoît Laffiché is the deconstructed representation of a process of destruction. Through observation of the slow and patient demolition of a cinema in India is declared a specific moment in the life of a family and a business. The artist becomes a member of the team, working from the inside of the building on the recording of its gradual disappearance. The challenge of his documentary approach is the representation of work gestures. He shows how Indian workers are at once attentive and detached, in a proper attitude, in an intelligent relation with the time allotted them to get rid of a construction by retrieving and sorting each one of its component parts, and then recycling them. The three images are diffracted in the exhibition space, as if deposited and framed on diagonal rails, large monolithic screens leaning on the room’s pillars and walls. Nothing is imposed on the onlookers, who are invited to make their own links between the images and sounds, in the time-frame of their gaze. What is involved for the artist is making an interstice, within which it will be possible to construct an interpretation of reality. During the editing, images appear, coming from reels of films from Tamil Nadu1, found in the rubble. It’s a film about dowries, with the story echoing the situation recorded here: the owner of the land where the cinema stands has sold it because his daughters must get married. From these fictional images with their encompassing documentary eye, the situation described by the artist is declared: ‘I was trying to film the relation to work of one of the major players in the globalization scenario: India, somewhere between Blade Runner and Karnatic music. Everything is more physical in India, everything is visible there, it’s possibly more real. Every day, Indians use an inventive capacity for adaptation. This is where I see the logic of survival, the attention to forms within the economic necessity, gestures of resistance. And if my work did not mean very much to the Vasanthi people, my presence never surprised them. I knew that in India, in this type of condition, we could meet each other2.’
      Since the avant-gardes of the first three decades of the 20th century, the artist’s self-appointed role, or work, has been to explain the culture of his Time, acting in such a way that the forms he comes up with are vehicles explaining a culture shared with his contemporaries. Nurtured by his quest for an experience of what is living, which underpins the movement and production rhythm of his work, Benoît Laffiché invents systems and arrangements which are vehicles of an artistic line of thought. His images are perceptible and sensitive, in so much as the work of art, for him, is the outcome of a close understanding of the conditions of existence. Perceptible, because they are a combination of theoretical intuition and poetic intent. Sensitive, because artistic activity is a criticism of everyday life. And sensitive and perceptible because his art conceives of the world as a soothing approach, with a keen eye on details, lesser things, and bridging tactics—attentive to life.
      With Benoît Laffiché, and informed by the thinking of Edouard Glissant—a line of thinking about tremors, which does not attempt to formulate definitive ideas—we can understand artistic activity as a way of hanging out in the world. A duplicated way, which sidesteps genres and produces poetic documents. With him, and still listening to Edouard Glissant, we can understand that Beauty is the secret receptacle of all manner of differences.

      Pascal Beausse
      , 2008

    • EESAB → Site de Rennes
    • 2015
    • Nous ne sommes pas des numéros

    • Exposition
    • 12.10.15 → 23.10.15
      Exposition
      EESAB → Site de Rennes
    • Paul Delprat, Arthur Escabasse, Pol Dubot, Danqing Wang, Agathe Denis et Douaud Marine

      “Nous ne sommes pas des numéros” tel était le titre de l’Atelier de Recherche et de Création (ARC) qui s’est tenu au cours de l’année scolaire 2014-2015 à l’EESAB-site de Rennes. Ce titre est issu de la célèbre phrase lancée par le héros de la série télévisée britannique “ Le Prisonnier ”, en fin de générique.
      L’idée de cet ARC est née lors de l’atelier menée par l’artiste Marina Carranza au printemps 2014, à la Chartreuse de Valbonne (Gard) et qui réunissait des étudiants des écoles supérieures d’art de Rennes, Tourcoing et de l’Ecole de Mont Cotton (Bagnols-sur-Cèze), lors de la seconde édition du Festival Trace(s) dédié aux Arts Numériques.
      Des étudiants ont alors souhaité poursuivre le travail engagé sur la programmation informatique mais en l’élargissant à la question des rapports entre l’art et la technologie. À l’époque où le problème de la surveillance des citoyens par les Etats se pose, la référence à la série Le Prisonnier visait directement le rôle de la technologie et l’univers de fantasmes et d’attentes qu’elle suscite. Des automates du XVIIIème siècle à l’avènement des techniques de communication électriques puis électroniques, un ensemble d’évolutions a été abordé au travers de documents historiques, de textes, d’oeuvres d’art, de films ou de séries télévisées. L’articulation entre les techniques elle-mêmes et l’imaginaire qu’elles suscitent étant au coeur de la réflexion.

      Les étudiants étaient issus des options Art et Design de l’école. Toute liberté d’inspiration étant laissée, chaque étudiant a choisi ses outils et son projet, ce qui explique la variété de propositions : De la radio à galène à la gravure sur plexiglass, du mapping à la programmation avec GPS, du dessin au dispositif musical interactif…

    • EESAB → Site de Lorient
    • 2015
    • Kevin Cummins, Joy Division et Daniel Meadows, The free photographic omnibus

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Daniel-Meadows-basse-définition.jpg
    • 10.10.15 → 12.12.15
      Exposition
      EESAB → Site de Lorient
    • Au début des années 70, Daniel Meadows fait partie des acteurs du mouvement pour une photographie indépendante au Royaume-Uni, rompant avec la tradition et insufflant de nouvelle énergies. Sa pratique est complexe, passionnée et souvent autobiographique. En 1973-74, alors jeune hippy aux cheveux longs, il réalise des images depuis un autobus à impériale transformé en appartement, studio photo et galerie. Il visite 25 villes, invitant les passants à faire un portrait. De cette façon, il a photographié près d’un millier de personnes.

      Depuis que Kevin Cummins a commencé sa carrière de photographe de rock pour le New Musical Express à la fin des années 1970, ses portraits iconiques de Joy Division, The Smiths, Courtney Love et David Bowie ont souvent eu l’honneur des couvertures de magazines. Il expose ici des image du groupe de cold wave Joy Division, dont il fut particulièrement proche.
    • Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • 2015
    • Aymeric Vergnon-d’Alançon, Surgün Photo Club, Rencontres Photographiques du Pays de Lorient

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/visuel_carton_vergnon3-001.jpg
    • 10.10.15 → 12.12.15
      Exposition
      Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
    • Le Surgün Photo Club est un club fondé, en banlieue parisienne, par un groupe d’exilés au début des années 70 et actif jusqu’en 2003. Il s’agissait pour les membres de la confrérie de trouver “des images pour traverser l’exil”. Si elles ont toutes disparu l’artiste tente alors de les reproduire d’après une enquête et des témoignages.
      L’exposition propose une série de travaux (vidéos, recherches photographiques et documents) produite par cet étrange groupe et plastiquement redécouverte par l’artiste.

    • Le Lieu de la Photographie
    • 2015
    • 21e Rencontres Photographiques

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/web-acb.jpg
    • 09.10.15 → 13.12.15
      Exposition
      Le Lieu de la Photographie
    • Aï Barreyre, Lolita Bourdet, Edith Roux, Lucas Foglia, Kevin Cummins, Daniel Meadows, Vincent Gouriou, Aymeric Vergnon-d'Alançon, Moira Ricci, Augustin Rebetez & Noé Cauderay

      Organisées tous les deux ans, les Rencontres photographiques réunissent une dizaine d’artistes invités à exposer dans plusieurs lieux du pays de Lorient.
      La programmation de ces 21e Rencontres photographiques est élaborée autour de la thématique Famille et communauté.

       

    • Les Moyens du Bord
    • 2015
    • Alain Buyse / Jacques Villegle, 25 ans d’allers-retours Lille-Paris

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/visuel-Naufrageur-Copie-2-800x800.jpg
    • 09.10.15 → 29.11.15
      Exposition
      Les Moyens du Bord
    • Jacques Villeglé, Alain Buyse

      Pour ce dixième anniversaire de Multiples, les Moyens du Bord ont souhaité, en collaboration avec le Musée de Morlaix, inviter Jacques Villeglé. Considéré comme le chef de file des affichistes, Jacques Villeglé a participé à la démocratisation de l’art contemporain à travers des éditions d’images sérigraphiées. Pour cette exposition dans les locaux des Moyens du Bord à la Manufacture de Tabacs, l’association propose un focus sur le travail du maître sérigraphe Alain Buyse, qui entretient avec l’artiste une forte complicité depuis plus de 25 ans. Alain Buyse se définit comme « un artisan au service des artistes ». Pour lui, chaque projet d’édition est une aventure partagée avec l’artiste. Cette exposition de sérigraphies, livres d’artistes et bannières met à l’honneur cet art social, militant et émancipateur et s’inscrit pleinement dans l’engagement quotidien des Moyens du Bord de rendre l’art accessible au plus grand nombre.

    • Galerie Oniris ● Florent Paumelle
    • 2015
    • Invitation #1, avec Olivier Petiteau, Marine Provost et Carole Rivalin

    • Exposition
    • 02.10.15 → 28.11.15
      Exposition
      Galerie Oniris ● Florent Paumelle
    • In October 2015, the Oniris gallery begins a cycle of exhibitions entitled INVITATION. The opportunity is given to a first experience in gallery for artists with very different course. For this first exhibition, OLIVIER PETITEAU, MARINE PROVOST and CAROLE RIVALIN accepted this INVITATION # 1.
      With very different approaches, the three world creations OLIVIER PETITEAU, MARINE PROVOST and CAROLE RIVALIN overlap in the technical [the gesture, the medium, the line, the relationship to color and matter] and in the lack of representation [link to the machine and a rhythmic and repetitive system]. The three shared, to some extent, offset worldview (ironic and poetic) whose gaze stops on a piece of reality.

      In his creations, OLIVIER PETITEAU has and mixes different artistic practices that might seem distant from each other as, drawing with ink on paper, marquetry, sculpture, music, screen printing, machinery, etc … Yet all His works come together, express themselves and enrich around the movement, repetition and mechanism.

      The “Ghosts” of MARINE PROVOST, mid-mid-digigraphie paint, reflect the need to exploit a real object, an everyday object, which we are not careful: paper envelope is then reassessed and takes a dimension that it has never awarded an artistic dimension.

      The works on paper CAROLE RIVALIN are composed of colored lines in the background on which are superimposed cover and cut paper, reminiscent serigraphy, a technique that has been his first heart stroke. As hypnotic as vibrant, his works tend towards an architectural motif color.

      So through paintings MARINE PROVOST that aspires to “draw attention to the non-spectacular” OLIVIER questions PETITEAU a look altered by “dirty information and catapulted” in the media with its curves and wall sculptures CAROLE RIVALIN tends to “escape the” hopeless confusion “of this world for another colorful” with his drawings … ie a search for the Liberation of world view by reducing it to their own definition of “substantially all”.

    • Les ailes de Caïus
    • 2015
    • Des proches et des lointains. Denis Orhant

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Orhant-2-juin-1024x465-1.jpg
    • 01.10.15 → 31.12.15
      Exposition
      Les ailes de Caïus
    • « Avec cette posture je veux donner à voir la destruction. La destruction de la précédente toile par de la salissure. J’obstrue certaines parties, je recouvre. Ce que j’aime dans ces peintures c’est leur non propreté. C’est de ce débris qui naissent des rencontres, des idées. Des collusions improbables que notre esprit ne pourrait pas imaginer ».

      Les peintures de Denis Orhant résultent de la maîtrise de deux gestes. Le premier, violent, fait plier la matière picturale à la pression de la raclette : une tâche, un sillon de peinture avec des écueils, des glissements. Le deuxième, patient et méticuleux, celui du pinceau : un geste précis et précieux qui peut devenir une histoire.

      Les figures suggérées sont extraites d’images complexes, parfois traversées par le tragique (enfants de rue, bagarres, Lampedusa, des manifestants etc.). Décontextualisées, elles trompent le regard du visiteur, dans un espace flottant et ambigu aux apparences d’une scène estivale. La destruction et l’accumulation participent au processus de création de l’artiste, pour qui la peinture naît aussi de l’erreur et du débris. Couche après couche, l’abstraction de la matière et la figuration du geste créent des nouveaux paysages fluides, où ses personnages habitent.

      __________

      À PROPOS DE L’ARTISTE

      Né en 1960 à Vitré, Denis Orhant vit et travaille à Rennes. Il étudie la peinture aux Beaux-Arts du Mans et de Rennes, et, à partir des années 1980, dans l’atelier de Pierre Antoniucci. Il commence à peindre, dessiner et sculpter il y a un peu plus de 30 ans. Les dix premières années, il pratique une peinture figurative et expressive, aux moyens et aux supports traditionnels. Cette peinture évolue ensuite vers l’abstraction. Depuis 2005, il est enseignant au Département Arts Plastiques de l’Université de Rennes.

      Site internet : www.denisorhant.com 

    • Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 2016
    • Éric Watier, Plus c’est facile, plus c’est beau : prolégomènes à la plus belle exposition du monde

    • Publication
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/pprolegomenes11.jpg
    • 30.09.15 → 01.05.16
      Publication
      Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • Plus c’est facile, plus c’est beau : prolégomènes à la plus belle exposition du monde, Éric Watier

      [90 pages], dos carré collé, impression offset noir & blanc, 19 x 13,4 cm
      Dépôt légal octobre 2015, 1000 exemplaires, isbn 978-2-914291-71-2, 8€.
      Publié avec le soutien de la Ville de Rennes.

      Plus c’est facile, plus c’est beau : prolégomènes à la plus belle exposition du monde se présente sous la forme de 89 courtes propositions à raison d’une par page. Chacune est construite sur le même modèle : la description technique d’une œuvre célèbre d’art contemporain, suivie de l’affirmation de la facilité de reproduction du procédé. Par exemple : « Renverser une tasse d’eau de mer sur le plancher, c’est facile. Lawrence Weiner l’a fait et tout le monde peut le refaire. » En dressant un panorama neutre et objectif de dispositifs célèbres de la production artistique, Éric Watier désacralise la notion d’œuvre d’art et met à jour les notions de reprise et de citation, particulièrement  courantes dans l’art contemporain.

      ”Plus c’est facile, plus c’est beau” est une phrase extraite d’une interview de Gil J Wolman menée par Michel Giroud et publiée dans le catalogue de l’exposition Hors limites (Centre Pompidou, 1994-1995). 

    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2015
    • Green flash, Le Passage de la ligne

    • Conférence
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Maria-Ines-Rodriguez.jpg
    • 28.09.15 → 28.09.15
      Conférence
      La Criée centre d’art contemporain
    • Meeting with Maria Inés Rodriguez
      Director of CAPC – Museum of contemporary art, Bordeaux
      Monday 28 September 2015, 6:30pm

      As Runo Lagomarsino, Maria Inés Rodriguez has a double anchor, both in Europe and in Latin America. Based on Runo Lagomarsino’s works, but also on other artists and experiences of both banks, Maria Ines Rodriguez provides for this meeting at La Criée a look on the South American art scene and on the globalized one, through an approach both historical, political and social.

      Since 2014, María Inés Rodríguez is the director of the CAPC – Museum of contemporary art (Bordeaux, France).
      From 2011 to 2013 Mrs. Rodríguez held the position of chief curator at the Museo Universitario de Arte Contemporáneo (MUAC) in Mexico City, where she led the public, collections, and exhibition programs, curating and developing ambitious projects with Teresa Margolles, Nicolás Paris, Yona Friedman and La Ribot.
      From 2009 to 2011 she was chief curator at the Museo de Arte Contemporáneo de Castilla y Léon (MUSAC) in Spain. In 2008 and 2009 she was the curator of the Satellite Programme at Galerie Nationale du Jeu de Paume in Paris where she introduced the French audience to young international artists such as Vasco Araujo, Mario Garcia Torres, Agathe Snow, Irina Botea, Angelo Plessas and Andreas Angelidakis.


      María Inés Rodríguez studied Fine Arts at the University of Los Andes in Bogotá and at the Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris (atelier Christian Boltanski), and holds a graduate degree from the Ecole Superieure d’Art Visuel in Geneva. As an independent curator, she has mainly worked on exhibition and research projects related to appropriation strategies of the public space in art, design, architecture and urbanism. Her experience as an independent curator includes collaborations with the Bronx Museum (New York), CA2M (Madrid), Le Plateau (Paris), Centre d’Edition contemporaine de Genève, Ex-Teresa – Mexico and ARCO Foundation. Her last exhibitions included Teresa Margolles for the Centro de Arte Dos de Mayo (CA2M) in Madrid, Beyond the Super Square for the Bronx Museum of the Arts in New York, Alejandro Jodorowsky for CAPC musée in Bordeaux and Leonor Antunes at this same institution next November. María Inés Rodríguez currently lives and works in Bordeaux (France).
    • Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 2015
    • RE: Follow-ed (after Hokusai), curated by Michalis Pichler & Tom Sowden

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Refollowed6.jpg
    • 28.09.15 → 03.12.15
      Exposition
      Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 6 Decades Books, Steen Bach Christensen, Victoria Bianchetti, Doro Boehme & Eric Baskauskas, Jeffrey Brouws, Corinne Carlson, Julie Caves, Cathy Davidson, Claudia de la Torre, Eric Doeringer, Sue Doggett, Jeff Eaton, Francis Elliott, Frank Eye, Joel Fisher, Stephen Fowler, Thomas Galler, Dejan Habicht, Karen Henderson & Marla Hlady, Mishka Henner, Taro Hirano, Hiroshige, Katsushika Hokusai, Sveinn Fannar Jóhannsson, Easley Stephen Jones, Hildegard Karnath, Sowon Kwon, Tanja Lazetic, Silvio Lorusso & Sebastian Schmieg, Helena Louro, Michael Maranda, Scott McCarney, John McDowall, Jean-Claude Moineau, Dan Monick, Jonathan Monk, Simon Morris, Bruce Nauman, Heidi Neilson, John O’Brian, Performance Re-enactment Society & Tom Sowden, Michalis Pichler, Tadej Pogacar, Susan Porteous, Henri Rivière, Allen Ruppersberg, Ed Ruscha, Joachim Schmid, Jean-Frédéric Schnyder, Ben Scragg, Yann Sérandour, Travis Shaffer, Matthew Sleeth, Tom Sowden, Derek Sullivan, Yoshikazu Suzuki, Eric Tabuchi, Kazuhide Takada, Elisabeth Tonnard, Louisa Van Leer, John Waters, Hermann Zschiegner, and many more. Edited and curated by Michalis Pichler and Tom Sowden

      Cette exposition présente la collection de Michalis Pichler et Tom Sowden consacrée aux appropriations et/ou hommages aux livres d’Ed Ruscha. Alimentée depuis plusieurs années, elle compte à ce jour près de 400 titres, toute époque et tout pays confondus, témoignant plus que jamais de l’inspiration suscitée par Ruscha au point de constituer un genre à part entière.

    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2015
    • Meeting with Runo Lagomarsino

    • Rencontre
    • 26.09.15 → 26.09.15
      Rencontre
      La Criée centre d’art contemporain
    • Saturday 26 September 3 pm – 4 pm

    • galerie art & essai – Université Rennes 2
    • 2015
    • Claudia Comte, Sonic Geometry. Commissariat 40mcube, dans le cadre de la programmation Outsite

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/40mcube_gae_visuel_claudiacomte2.jpg
    • 25.09.15 → 13.11.15
      Exposition
      galerie art & essai – Université Rennes 2
    • Explorant différents supports, médiums et formes, Claudia Comte articule sculptures, peintures, projections vidéo, performances et gravures, dans des installations qui créent des chocs visuels et culturels. Elle y confronte des sculptures aux formes lisses, pleines, épurées et des peintures murales optiques, un traitement brut à la tronçonneuse et une esthétique de cartoon, le tout unifié par une mise en espace rigoureuse. Comprenant souvent un point de vue privilégié, ses installations jouent de va-et-vient entre volume et image : des volumes créant des images et des images mises en volume.

      Pour son exposition à la Galerie Art & Essai à l’invitation de 40mcube, Claudia Comte réalise une nouvelle installation composée de sculptures présentées dans un environnement de peintures murales et sur toile. Ainsi une trentaine de peintures circulaires d’un diamètre variant de 40 cm à 140 cm, réalisées en un seul coup de pinceau de la taille du rayon de chaque cercle, sont présentées à différents niveaux sur une peinture murale de cinq lignes traversant tout l’espace à 360°. Dans l’espace est présentée une série de Sculptures modulaires, sept sculptures en bois d’olivier réalisées à la tronçonneuse, qui intègrent leurs propres socles. Chaque sculpture est présentée sur une combinaison différente des cubes de bois brulé qui constituent ces socles. Le lien formel et optique entre les peintures et les sculptures passe par les rayures et les traits qui créent un rythme visuel : la portée qui accueille les peintures ainsi que les stries des cubes qui composent et supportent les sculptures.

      Le titre de l’exposition, Sonic Geometry, fait référence à différentes théories explorant le langage des fréquences et des formes, selon lesquelles la somme des angles des formes géométriques élémentaires correspondrait à une note de musique. L’exposition évoque cette relation dans la représentation explicite d’une portée et de notes, mais aussi dans sa composition : chaque élément, autonome, peut être, présenté différemment et permet à l’installation d’être réinterprétée dans de nombreuses variations.
      Anne Langlois

    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2015
    • Runo Lagomarsino, They Watched us for a Very Long Time

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/sea_grammar_runo_lagomarsino_BD.jpg
    • 25.09.15 → 22.11.15
      Exposition
      La Criée centre d’art contemporain
    • For the first exhibition in its Breaking the Waves season, La Criée is presenting from 25 September to 22 November 2015 They Watched Us For a Very Long Time, a selection of works by Swedish artist Runo Lagomarsino. The son of Argentinian migrants of Italian and Spanish extraction, Lagomarsino divides his time between Sweden and Brazil. Reflecting both his family roots and a personal life path, these repeated Atlantic crossings are the underpinning of his practice. In his sculptures, installations and videos he is striving for a perspective on the enduring nature of the colonial heritage in our globalised world.


      Making play with multiple points of view, he challenges our stances and identities: who is the “we”, and who are “the others”?

      The exhibition They Watched Us For a Very Long Time takes its title from the work of the same name, dating from 2014: sixty-six metal plates purloined from the lighting system at the Pergamon museum in Berlin. As is the case in many other European museums, the creation of the Pergamon collection has involved colonialist appropriation of ancient artefacts and their transformation into a national heritage symbolic of a European identity. The lighting components shown here have undergone a reversal of context and function: formerly illuminating a display, they are now on display themselves. With this dual act of purloining and reversal the artist urges us to see these museums differently: what if they not only cast light on other cultures, but were also tools for understanding power, European colonialism and the way history is constructed and written? They are “a mirror of Europe”, says Lagomarsino, “a mirror with amnesia . . . The colonial past is not a past; it’s part of our contemporary life.”*

      The tapestry Entre Mundos (2013) and the gold wall at the entrance to the second exhibition room at La Criée are references to the conquest of South America by the Spanish and the Portuguese in the sixteenth century. Much closer to us in time, the slide projection Sea Grammar (2015) silently evokes the burning issue of Mediterranean migration today.

      The components of Lagomarsino’s often travel, becoming in the process material testimony to journeys made, metaphors of migrations, exiles or historical fact. One example is the video More Delicate Than the Historians are the Map Maker’s Colours (2012–2013), which shows the artist and his father pelting Seville’s gigantic statue of Christopher Columbus with eggs illegally brought in from Argentina. There is, too, the recent video Como si fuera piedra la arena (2015), in which we see Lagomarsino discreetly pouring sand from parts of the Mediterranean coastline at the feet of Greek statues in the Ny Carlsberg Glyptotek in Copenhagen.

      With the group of works on show at La Criée, the artist reveals historical and spatio-temporal fault lines as a means of telling different stories, of interpreting the past and imagining the future from other points of view. With a poetry pervaded by a spirit of activism he conjures up history’s ghosts and heroes, and its forbidden and imposed verities. And turns travel into something political.

      *”Q&A with Runo Lagomarsino”, in KUNSTforum, 7 April 2014. Consultable at http://kunstforum.as/2014/04/qa-with-runo-lagomarsino/

    • galerie art & essai – Université Rennes 2
    • 2015
    • Project room : Angélique Lecaille, Apeiron, rien ne périt – Parcours Métrange – expositions / Carte blanche à Contrefaçon

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/angeliquelecaille©photo-joaquin-ruina101.jpg
    • 24.09.15 → 16.10.15
      Exposition
      galerie art & essai – Université Rennes 2
    • Le Festival Court Métrange offre une carte blanche au collectif Contrefaçons pour l’organisation d’un parcours d’expositions dans la ville de Rennes. Dans le cadre de la 12e édition du Festival Court Métrange, intitulée Territoire des songes, le collectif Contrefaçons propose un ensemble d’expositions et d’événements permettant d’interroger le réel et ses différentes interprétations. En déplaçant la question du simulacre, il s’agit de penser la fiction et le rêve comme des vecteurs possibles du vrai et l’imaginaire comme une nouvelle dimension du réel, permettant d’en élargir sa perception.

      L’installation en ouate de cellulose d’Angélique Lecaille figure un espace lunaire et intemporel. A l’image de l’Apeiron, pensée infinie et substance indéterminée d’après la pensée d’Anaximandre, l’installation présentée investie l’espace de l’exposition de la matière, joue sur son déplacement et sa densité en lien avec la superficie du lieu. Les volumes forment un paysage ouvert et lunaire, créant un contraste entre l’espace fermé et l’horizon. Inspirées par les compositions géométriques de Stoer Lorenz (XVIe siècle), ces formes acquièrent une dimension poétique et sensible tels des dessins basculés en volume. Ainsi, l’œuvre et l’espace désorientent le visiteur et interrogent leur temporalité: formes en ruines ou construction à venir ?

      Née en 1975, Angélique Lecaille vit et travaille à Rennes.

      Elle est représentée par la galerie Mélanie Rio à Nantes.

    • Frac Bretagne
    • 2015
    • Mémoires croisées / dérives archivistiques

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Archivesdelacritiquedart-fondsMichelRagon.jpg
      Détail de l’affiche du 1er Festival de l’art d’avant-garde, Marseille, 1956 © Archives de la critique d’art, fonds Michel Ragon
    • 18.09.15 → 29.11.15
      Exposition
      Frac Bretagne
    • Créées en 1989, les Archives de la critique d’art ont réuni à Rennes un ensemble exceptionnel de documents concernant l’art, la critique, les institutions et les débats depuis 1945, en France et dans le monde.

      Cette exposition montre pour la première fois quelques aspects des ressources des Archives de la critique d’art dans des évocations de la grande et petites histoires. Elle commence avec la présentation de l’Association internationale des critiques d’art, organisation non gouvernementale créée en 1948 dans la foulée de l’UNESCO (1945) avec la conviction que, parler de l’art contemporain comme le faisaient alors les historiens, n’était plus pertinent. Elle met en exergue quelques grands moments comme les débuts du néo-concrétisme avec Lygia Clarke, Helio Oiticica, et Lygia Pape, au Brésil, ou l’année 1964 autour du dialogue et de la confrontation entre l’Europe et les Amériques, de Robert Rauschenberg à Marta Minujin. Elle jette un éclairage sur les combats de la critique en matière d’architecture, sur la place des femmes et met en évidence le travail de quelques critiques et artistes (Lea Lublin, Gina Pane, Annette Messager, Cécile Bart, Cindy Sherman), mais aussi de galeristes comme Jennifer Flay (Claude Closky, Michel François, Dominique Gonzalez-Foerster, Lisa Milroy, Alain Séchas, Xavier Veilhan).Elle donne enfin un aperçu des politiques institutionnelles avec la Biennale de Paris, puis de leur contestation par les artistes du groupe Supports-Surfaces.
      Autant de parcours de traverse et de dérives qui visent à donner d’autres points de vue que ceux d’un développement linéaire et simplifié, pour de nouvelles visites avec les acteurs et les témoins directs de ces histoires.
      Les fonds d’archives concernés sont ceux de l’AICA, de la Biennale de Paris, de Dany Bloch, Georges Boudaille, Aline Dallier, Marc Devade, Jennifer Flay, Don Foresta, Catherine Francblin, Roberto Pontual, Frank Popper, Michel Ragon, Pierre Restany, Anne Tronche.

       

      Commissariat d’exposition : Jean-Marc Poinsot, professeur émérite, Université de Rennes 2, co-fondateur des Archives de la critique d’art. avec l’aide de Laurence Le Poupon, Chargée des archives, et Charlotte Brice en stage aux Archives de la critique d’art.

    • 40mcube
    • 2015
    • Oscars Murillo, An average work rate with a failed goal

    • Exposition
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/40mcube_oscarmurillo_14_low.jpg
    • 01.04.15 → 30.09.15
      Exposition
      40mcube
    • La Criée centre d’art contemporain
    • 2015
    • Visit od the exhibition L’Épais Réel by Ariane Michel

    • Visites commentées
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Bas_Jan_Ader-Broken_fall_organic.jpg
    • 06.02.15 → 06.02.15
      Visites commentées
      La Criée centre d’art contemporain
    • Saturday 6 February 2016, 3 pm

    • Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • 2016
    • Collection Grise / Volume 3 Bernard Villers Les Éditions du Nouveau Remorqueur: catalogue raisonné

    • Publication
    • https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/visuel_cg_villers1.jpg
    • 01.01.15 → 01.05.16
      Publication
      Cabinet du livre d’artiste / Éditions Incertain Sens
    • Les Éditions du Nouveau Remorqueur : catalogue raisonné
      Bernard Villers

      200 pages, dos carré cousu collé, couverture à un rabat, impression offset quadrichromie, 22,5 x 18,5 cm
      Dépôt légal janvier 2016, ISBN 978-2-914291-63-7, 27€.
      Préface : Leszek Brogowski / Notices : Aurélie Noury.
      Ouvrage publié avec le concours du Service des Arts plastiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la Région Bretagne, de l’Université Rennes 2 et de la Ville de Rennes.

      Né en 1939, Bernard Villers vit et travaille à Bruxelles. Il se revendique peintre, mais une bonne part de sa pratique, y compris picturale, se développe sous diverses formes éditoriales : plus de cent cinquante livres, brochures, dépliants ou revues. Son œuvre avance notamment sous les enseignes de deux « maisons » d’édition successives : Le Remorqueur (1976-2003) et Le Nouveau Remorqueur (2003-2015). Après le catalogue raisonné de la première, Remorqueur éd., publié en 2003 par le Centre des livres d’artistes à Saint-Yrieix-la-Perche, les Éditions Incertain Sens offrent aux lecteurs le catalogue raisonné du Nouveau Remorqueur.
      D’apparence minimaliste (idées simples, formes élémentaires, réalisations modestes, allures sobres, etc.), l’œuvre de Bernard Villers est d’une grande complexité, cultivée et sensible. Cultivée, car travaillée de manière plus ou moins invisible par un dialogue avec le langage, la littérature, la philosophie… ; sensible, car cherchant ses inspirations dans divers aspects banals, marginaux ou imperceptibles des expériences quotidiennes.
      Autant ses premiers livres étaient davantage « picturaux » — parfois des livres-en-tant-qu’objets — autant ceux que publie Le Nouveau Remorqueur, plus « conceptuels » que les autres, tiennent compte du livre comme objet anthropologique : pages pliées comme support imprimé d’un texte et/ou de formes plastiques/typographiques, livres faciles à faire circuler dans l’espace social et accessibles à toutes les bourses. Il se reconnaît alors davantage dans l’idée générale du livre. Toujours est-il que si Bernard Villers se revendique peintre, tout en étant éditeur de ses livres, la « matière » de sa peinture s’étend bien au-delà des formes et des couleurs que le peintre manie traditionnellement, impliquant le papier (avec ses qualités sensibles), le pli (comme opération plastique), l’écriture (comme objet d’un jeu), la littérature (comme interlocuteur livresque), voire la philosophie (comme inspiration); et cette énumération n’est sans doute pas exhaustive.

      SOMMAIRE/////

      Préface /
      Leszek Brogowski, « Entre le pli et les étoiles. Le livre dans l’œuvre de Bernard Villers »

      Catalogue /

      Lire dire voir
      Mot tu
      Au pied de la lettre
      Now a Book
      Mirage
      La Couleur n’existe pas
      Une impression persistante
      Fluo
      Halo
      Iris
      À la mémoire d’un ange
      Bernard fait l’ange
      a…
      Ni rose, ni vert (Venise)
      Tryptique
      Berlin / Berlue*
      Abandonne
      Attend
      Continue
      Hahoh
      Va
      Écho
      Triage
      Image du « monde »
      Formats (in octavo)
      Si
      Un pli, un livre
      Tumulus, tumuli
      Perdre le nord
      Fiche, fichtre, foutre
      Allant et venant
      Mickey, talvez (mickey, peut-être)
      La Carte de Tendre
      Leporello
      Ose
      W
      À la mer – Aan zee
      Du rouge au vert
      Title Inside (Sauve garde)
      Écho (nouvelle version)
      Le Bel Horizon
      La Tendre Indifférence (du monde)
      Une pente douce suite
      Or – le pliage
      Heureux mélange
      Les Idées noires
      Remorqueur
      To Be Continued
      À suivre
      L’Ancolie
      Seize pages
      Cristal
      Un livre sur rien
      Ou bien… ou bien…
      Presse
      Lisible Visible
      Le Livre épuisé
      Who’s Afraid of Red, White and Blue
      Amnésia
      Le Patriote illustré
      Monte et /ou descend
      The White Cube
      Left Right
      K comme Kafka
      Lavoir

      Liste des publications antérieures
      Liste des expositions
      Bibliographie