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- Les Abords – espace d’exposition UBO
- 2024
Du caractère à la lettre – Calligraphies contemporaines de Catherine Denis
- Exposition
- 19.09.24 → 19.10.24 ExpositionLes Abords – espace d’exposition UBO
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- Galerie du Faouëdic
- 2024
Fragments vagabonds #2, récits furieux
- Exposition
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- 06.09.24 → 22.09.24 ExpositionGalerie du Faouëdic
- Mattéo Cefalù, Sarah Champ, Lino Chanut, Arthur Chevrier, Emma Desson, Rémi Fradin, Maëlys Galim, Antonin Gautrot, Frédéric Goïc, Chloé Huard, Laura Lejuez, Daniel Loget, Manon Orsi, Caroline Poisson.
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- méandres
- 2024
cillements — projection du film La Jetée, de Chris Marker
- Projection
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- 23.08.24 → 23.08.24 Projectionméandres
En écho à l’exposition L’instant et son ombre, méandres vous propose une projection du film La Jetée, de Chris Marker (1962)
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La Jetée est un film sur le temps et la mémoire, composé presque exclusivement d’images photographiques en noir et blanc sur lesquelles une voix-off raconte un récit de science-fiction : sur fond de désastre post-nucléaire, le protagoniste, otage d’expérimentateurs scientifiques, est envoyé le long de l’axe du temps, dans le passé et le futur, à la recherche des moyens qui lui permettront de survivre.
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Soirée conviviale et gratuite, suivie d’un apéritif gourmand !
Réservation conseillée (places limitées) : contact@meandres.art / 06 52 96 68 99
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- Le Larvoratoire Photographique
- 2024
Interview with Michel Poivert
Ecological photography?- Rencontre
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- 23.08.24 → 23.08.24 RencontreLe Larvoratoire Photographique
A discussion on the exhibition by Anne-Lou Buzot
Taking as his starting point the exhibition ‘La théorie de l’horizon incliné’ currently on view at the gallery, Michel Poivert will discuss contemporary uses of the archive and vernacular photography. In dialogue with Anne-Lou Buzot, the focus will gradually shift towards the horizon, and the exhibition will explore the place of ecological issues in photographic practice.
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- méandres
- 2024
entremêlements — lectures de textes contemporains par Sophie Hoarau
- Lecture
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- 09.08.24 → 09.08.24 Lectureméandres
En écho à l’exposition L’instant et son ombre, méandres vous propose un moment de lectures de textes contemporains par Sophie Hoarau (comédienne, Dès lors).
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Sophie Hoarau développe depuis quelques années des lectures publiques : fenêtres entrouvertes sur des œuvres en cours de travail au théâtre, échos à des installations ou des expositions plastiques, rendez-vous poétiques singuliers, mains tendues à des publics éloignés du livre, à-côtés apéritifs d’un spectacle… dedans dehors, de bouche(s) à oreille(s), en fil conducteur ou en pointillés… la lecture publique est une entrée première et déjà pleine dans un texte.
« La poésie, matière première en premier lieu, de théâtre ou de sentier, à lire, à dire, à saisir, à figurer, et la rencontre des genres, des arts plastiques et des littératures, des objets et des costumes, des mots et des choses, du présent et du songe. » (Sophie Hoarau)
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Soirée conviviale et gratuite, suivie d’un apéritif gourmand !
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- Minoterie21
- 2024
Le tissu des sensations
- Exposition
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- 03.08.24 → 22.09.24 ExpositionMinoterie21
- Noël Dolla, Nicolas Floc'h, Lina Jabbour, Antoine Lucas, Fleur Noguera, Claude Viallat, Franz Erhard Walther
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- Galerie Maxime Lancien
- 2024
Nicolas Rabant, Alors, ça mord ?
- Exposition
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- 26.07.24 → 14.09.24 ExpositionGalerie Maxime Lancien
« C’était ma première passion gamin, observer les tritons ou les salamandres dans les cours d’eau, les flaques. Quand on pêche dans une rivière, on réalise plus facilement la santé des milieux. C’est à l’échelle humaine. » Pêcheur et artiste plasticien, Nicolas Rabant traduit son émerveillement pour le microcosme des rivières à travers la peinture et la sculpture.
Les mulettes perlières (Margaritifera margaritifera) sont des bivalves en danger d’extinction. Appelé kregen dour dous en breton, la vie de la mulette perlière est liée à celle de son poisson-hôte : la truite fario ou le saumon atlantique. On parle de symbiose. Les larves de quelques semaines se fixent dans les branchies du poisson. Un an plus tard, la jeune mulette se laisse tomber et s’enterre dans le substrat de la rivière.
Marie de Médicis fit orner de 32 000 perles la robe qu’elle porte le jour du baptême de son fils, le futur Louis XIII. Trente deux millions de mulettes en provenance des rivières européennes furent ramassées pour confectionner la robe. « Ça me parle plus dans ma démarche d’associer l’Histoire à celle des animaux. La rivière est un trésor à l’intérieur duquel on en trouve un autre : la truite. Cette dernière transporte un trésor, la mulette, qui elle-même contient une perle ».
En Bretagne comme ailleurs, la disparition des salmonidés, les rejets liés aux activités agricoles, industrielles ou urbaines ou l’artificialisation des bassins versants pèsent sur les conditions de vie des êtres vivants. Le travail de Nicolas Rabant vient peupler la galerie avec le monde mystérieux et magique des rivières.
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- Espace d’apparence
- 2024
François Chemin, Cartographie du territoire entropique
- Performance
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- 20.07.24 → 20.07.24 PerformanceEspace d’apparence
Performance et projection autour du projet “Cartographie du territoire entropique” de François Chemin
Lors de cette performance, François Chemin invitera le public a prendre part au protocole qu’il a mis en place autour des traces cinématographiques et sonores qu’il a enregistrées sur le territoire des Abers et enterrées, dix jours auparavant, au nord-ouest de la Maison des Abers. Ces œuvres seront ici exhumées, puis, une fois sorties de terre, transportées dans la salle de projection de la Maison des Abers, afin de mettre en place la diffusion de celles-ci. Débutera alors la projection du film numérique documentant le processus de création de ce projet puis la diffusion du film analogique et de son vinyle.
Ainsi, l’artiste découvrira en même temps que le public l’action du temps et du sol sur son œuvre.Lors de cette rencontre, François Chemin invitera le public a prendre part au protocole qu’il a mis en place autour des traces cinématographiques et sonores qu’il a enregistrées sur le territoire des Abers. En effet, dix jours auparavant – au nord-ouest de la Maison des Abers –, il a enterré un film super 8 et une bande son sur vinyl. Lors de cette performance, les œuvres seront exhumées, puis, une fois sorties de terre, transportées dans la salle de projection de la Maison des Abers, afin de mettre en place la diffusion de celles-ci. Débutera alors la projection du film numérique documentant le processus de création de ce projet puis la diffusion du film analogique et de son vinyle.
Ainsi, l’artiste découvrira en même temps que le public l’action du temps et du sol sur son œuvre.Un temps d’échanges avec les spectateur·ice·s clôturera cet événement public.
Cette rencontre est organisée dans le cadre de l’accompagnement par Espace d’apparence du projet “Cartographie du territoire entropique” avec le soutien du dispositif “Aide aux jeunes artistes plasticien.ne.s en Bretagne” de la Région Bretagne.
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- méandres
- 2024
décentrements — Recours à la nuit, enquête poétique
- Rencontre
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- 19.07.24 → 19.07.24 Rencontreméandres
En écho à l’exposition L’instant et son ombre, méandres vous propose un moment de conversation avec Virginie Gautier (écrivaine)
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« En nous dé-familiarisant, la nuit produit un effet d’étrangeté à même de nous relier plus fortement au milieu naturel, de nous faire voir et entendre différemment notre environnement, percevoir d’autres vivants, d’autres sensations qui nous renvoient à des expériences inhabituelles du monde. » (Virginie Gautier)
Virginie Gautier étudie en école d’art puis développe une pratique artistique autour des questions d’espace, de perception et de déplacement qu’elle poursuit aujourd’hui par le dessin et l’écriture.
Elle est publiée aux éditions Nous, le Chemin de Fer, Joca Seria, Publie.net et a codirigé chez Publie.net la collection poésie, L’esquif.
Après avoir enseigné les arts visuels, elle est engagée dans la recherche-création en littérature. Docteure en “Pratique et théorie de la création littéraire”, elle est chargée de cours et d’ateliers à l’université de Cergy-Pontoise et dans divers lieux d’enseignement et de formation.—
Soirée conviviale et gratuite, suivie d’un apéritif gourmand !
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- Le Larvoratoire Photographique
- 2024
The theory of the tilted horizon
Anne-Lou Buzot- Exposition
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- 16.07.24 → 24.08.24 ExpositionLe Larvoratoire Photographique
- Anne-Lou Buzot
‘Photography was born in the 19th century, and very quickly impressed by its ability to faithfully reproduce reality, so much so that it was readily given evidential value. However, in photographs of the seashore, the horizon appears to be tilted… From then on, a question began to emerge in scholarly circles: could the horizon really be tilted? This was the starting point of an incongruous story that only photography can tell, and which raises questions about the very essence of this medium… A story that I have now managed to reconstruct thanks to the discovery of fragments of previously unpublished archives’.
Anne-Lou BuzotAnne-Lou Buzot: Born in 1990, Anne-Lou Buzot is a photographer, editor and teacher at the ENS Louis-Lumière laboratory. She specialises in photochemical processes and is conducting research into plant-based photographic processes. She lives and works in Saint-Denis.
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- Les 3 CHA
- 2024
Hilary Galbreaith, ANIMAL,VEGETAL, MINERAL
- Exposition
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- 13.07.24 → 22.09.24 ExpositionLes 3 CHA
Exposition hors les murs dans le Donjon-Galerie
ANIMAL, VÉGÉTAL, MINÉRAL est une installation vidéo qui propose de reconsidérer les frontières entre les espèces du vivant et la matière. Entre documentaire expérimental, fiction burlesque, et réflexion poétique, le projet propose d’utiliser la “pensée végétale” comme matrice, afin de déplacer notre subjectivité humaine et de pointer ses limites, mais aussi ses zones de partage, avec des intelligences radicalement autres que les nôtres. La figure du ver de terre, du champignon et de l’IA s’y démarquent comme des personnages liminaux, habitant à la lisière des taxonomies bien dessinées et hiérarchisées. Le récit se trouve prolongé dans l’espace par des peintures et sculptures textiles aux formes tentaculaires.
Projet en partenariat avec le centre d’art 40mcube, Programme GENERATOR.
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- Les Moyens du Bord
- 2024
Camille Dufour, Après nous le déluge ?
- Exposition
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- 10.07.24 → 22.09.24 ExpositionLes Moyens du Bord
« Après nous le déluge », pointe l’urgence des menaces qui pèsent sur la biodiversité. L’exposition composée d’une installation de dessins d’espèces en voie d’extinction disparaissant lentement de feuille en feuille et d’une fresque monumentale, construisent une mémoire du vivant et en appelle à notre responsabilité individuelle et collective.
Performance le 6 juillet à 17h
Camille Dufour finalise et active son exposition « Après-nous le déluge », aux Moyens du Bord , sous la forme d’une performance déplaçant sa pratique d’atelier dans l’espace et la temporalité de l’exposition. Cette performance participative invitera le public à graver, avec l’artiste et avec des fleurs, l’une des œuvres de l’exposition.
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- Les 3 CHA
- 2024
Simon Augade, Fragments d’échos
- Exposition
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- 06.07.24 → 22.09.24 ExpositionLes 3 CHA
Simon Augade s’investit tout entier dans des corps-à-corps se confrontant à la matière. L’artiste questionne par des conceptions sculpturales notre relation physique à nos environnements et interroge « la tenue des choses ». Dans ses sculptures-installations qui tentent sans cesse d’agripper l’espace et le spectateur, il aborde les dualités de notre monde.
Au centre d’art, en écho à l’architecture du lieu, une arche de bois brûlé composant une grille géométrique s’élève comme une forme quasi monolithique, prend place et coupe le lieu en deux, bloquant le passage mais non le regard. Evidée, ses fragments, à la façon de poupées russes, soulignent le rapport ambivalent entre perte et réminiscence dont la chapelle est aussi porteuse.
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- Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
- 2024
Trois-quarts d’oeuvres Bénédicte Hubert-Darbois, Allons voir
- Rencontre
- 05.07.24 → 05.07.24 RencontreArtothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
L’artothèque/galerie Pierre Tal Coat vous invite à découvrir une sélection d’oeuvres de la collection en lien avec l’exposition “Allons voir”.
> Gratuit, ouvert à tous
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- SUPRA – artiste et designer runspace
- 2024
Lukas Persyn, Hertzian spirits
- Exposition
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- 29.06.24 → 08.07.24 ExpositionSUPRA – artiste et designer runspace
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- Superflux, voir l’art se faire
- 2024
Résidence d’été
- Résidence
- 26.06.24 → 01.09.24 RésidenceSuperflux, voir l’art se faire
- Antoine Duchenet, Pauline Rima
Labo 10
Antoine Duchenet
Né en 1995. Vit et travaille à Caen. Il est diplômé de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris (DNSAP) et de l’École supérieure des arts et médias de Caen (DNSEP).
“Cette résidence au Superflux me permettrait de retourner vers une série de tableaux, les Propositions relatives, entamée en 2018 et suspendue depuis 2020 en raison de contraintes spatiales. Forcé de considérer le cheminement et les bifurcations empruntés par mon travail dans l’intervalle qui me sépare de la réalisation du dernier tableau de cette série (peint à l’été 2020), son redémarrage, sa reprise, après une interruption de 4 ans, actualiserait nécessairement sa logique. Cela me conduirait, par la pratique, à réévaluer les enjeux et la méthodologie qui la justifiaient à l’époque pour l’investir de nouvelles perspectives.”
Studio 25
Pauline Rima
Née en 1995. Vit et travaille à Caen. Elle est diplômée de l’École supérieure des arts et médias de Caen.
“Lorsque j’imagine une pièce ou une installation, je commence par réfléchir à une forme et à une échelle, indépendamment d’un medium et des caractéristiques qui se préciseront au moment venu. Je définis mon format à l’aide d’une maquette. Et je projette à travers elle, j’assemble, tous les éléments qui donneront un corps et une nature à l’idée de départ. Bien entendu, tout ce cheminement est progressif. Il peut trébucher, tomber dans une impasse, prendre un mauvais virage, dévier… Et ce peut être une tâche complexe que de maintenir le cap pour venir à bout d’une pièce. Ce travail de composition, inhérent à tout créateur et à toute création, représente une part invisible pour le public. Aussi ce temps de résidence à Superflux serait l’occasion de développer un projet d’édition pédagogique autour de cet inconnu de la création, pour le donner à voir et à expérimenter.”
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- Passerelle Centre d’art contemporain
- 2024
Condensing the Infinite
- Exposition
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- 21.06.24 → 14.09.24 ExpositionPasserelle Centre d’art contemporain
- Michele Ciacciofera
Michele Ciacciofera (1969, Italy) is offering Passerelle an experience which may appear impossible, that of ‘Condensing the Infinite’. From his native Sardinia to the Alps and then Brittany and Scotland, he has observed the ancient sculptural forms, such as memorial stones and menhirs, on which human civilisations are based. In his European journey, he considers the inevitable end of us all and the infinite potential of our visual culture to go beyond the world dreamed up by our ancestors. ‘Condensing the Infinite’ is an attempt to write a common history, a history of the forms that our brains all recognise to a greater or lesser extent.
The body of works presented in the Passerelle patio has been entitled ‘Menhirs’ by the artist. Ciacciofera is fascinated by megalithic art, yet decided to work from fragile, modest materials, essentially workshop waste including paper and cardboard, the very opposite of the eternity of stone. In this sense this series recalls the work of the Arte Povera artists, an Italian artistic movement that began in the late 1960s. It was characterised by the use of ordinary humble materials, often natural or salvaged, and reflected a desire to reconnect with original simplicity and authenticity as well as a rejection of overconsumption. This heritage is never claimed or stated but it seems essential to consider some of Ciacciofera’s creations through the prism of a ‘new poor art’. Recycling and the use of natural materials have become as much an aesthetic necessity for the artist as they are a political and militant requirement. His sculptures abound in poetic details such as little ceramics or painted organic elements, evoking at times the style of the Cycladic idols, at times the shapes of plants or fungi, and are sometimes painted in bright colours and act as altars dedicated to art. They function both as platforms or plinths for art and as sculptures in their own right, joyous and reassuring, wise and primitive.
The second central series of the exhibition is Pathosformeln, gouaches on paper inspired by the theory of art historian Aby Warburg (1966-1929). The latter invented this term for the recurrent formal configurations used to express basic emotions. These formulae are not limited to mere representations, but constitute fragments of collective memory, echoes of ancestral rituals and original myths. Pathosformeln constitute a precious tool to decipher the meaning of the images and understand the emotions conveyed by them. Following on from Warburg’s research, Ciacciofera reproduces pieces of iconic Gothic and Renaissance painting like close-ups, erasing some parts including all the faces. Strangely, this does not result in the compositions being disembodied, nor devoid of feeling, and the presence of the characters is strongly felt, like ghosts waiting in the space between two realities. Rocks, pebbles, gems and fossils float through the drawings, creating an effect that could be either magic or a sign of out-of-control quantum physics. It is up to the spectator whether to try to reconstruct an image or remain satisfied with what the artist presents.
The possibility of condensing the infinite posited by Ciacciofera may lie in this search for an active synthesis of the human history from prehistoric art to the art of today.
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- Passerelle Centre d’art contemporain
- 2024
7:77
- Exposition
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- 21.06.24 → 14.09.24 ExpositionPasserelle Centre d’art contemporain
- Han Bing
Han Bing (1986, China) is presenting “7:77”, her first personal exhibition to be held at a European institution, at Passerelle Centre d’Art Contemporain. A graduate of CAFA in Beijing – China’s central Academy of Fine Arts – and of Parsons School of Design in New York, Han Bing has studied a very diverse range of references and influences, enabling her to develop multicultural sensibility and an enhanced vision of the world.
Han Bing’s painting is intimately linked to the abundance of images available in the public space. The artist sometimes captures elements from posters mentally and sometimes photographs an advertisement with her phone. From all around her she picks out images which we no longer see because they are in front of us all the time. Back in her studio, she assembles her discoveries very freely over the canvas. Her approach echoes those of the new realists of the 1960s, among them Jacques Villeglé and Raymond Hains. Villeglé took ripped and loose posters from the walls of the town and transformed them into vibrant and poetic works of art. Like Han Bing today, he revealed the strata of the urban environment, which bear the marks of time and of human intervention. Han Bing willingly
evokes the ‘anonymous poetry’ of her paintings. The juxtapositions she creates emerge ‘in unexpected ways’ and very spontaneously. She prefers using the word ‘to grow’; rather than ‘to build’ when talking about her way of arranging the canvas and compares painting to a living, organic material.Part of the exhibition is devoted to works on paper. Han Bing uses newspaper articles as raw material. She selects them for their aesthetic quality and covers up certain parts of the photographs illustrating the article. By erasing the information, the artist seems to be questioning the place given nowadays to truth and objectivity, and recalling that the world has entered the era of fake news and deep fakes – the ultra-realistic doctoring of video and audio created by artificial intelligence.
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- Passerelle Centre d’art contemporain
- 2024
Bonne arrivée chérie coco
- Exposition
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- 21.06.24 → 14.09.24 ExpositionPasserelle Centre d’art contemporain
- Amélie Caritey
Amélie Caritey (1998, Côte d’Ivoire), a graduate of the École européenne d’art de Bretagne – Rennes campus, took part in the Residence Workshops offered by Passerelle and Documents d’Artistes Bretagne. Shortly before her residence at the art centre, she spent two months in Côte d’Ivoire, the country she left at the age of three. This second journey to the land of her birth, the first having taken place in 2019, enabled her to bring back a large number of photographs, like so much evidence of the country of her origins. Aware of being on the margins, yet still feeling linked to that nation’s story, the exhibition ‘Bonne arrivée chérie coco’ [Welcome darling coco] is a poetic expression of the artist’s view of a country she as yet knows very little about. The exhibition therefore offers a glimpse of the beginnings of a dual culture under construction, as well as the quest for a bi-national identity.
Defining herself as ‘Afropean’, with one European parent and one African, but having been brought up in a European cultural environment, Amélie Caritey recounts her journey as a “search for a home”. Her photographs often show living spaces, or what is between them such as doors, entrances and windows. These elements express an ambivalence, reflecting the feelings of the artist in that place: invitations to enter the intimacy of people’s homes or perhaps obstacles in the way.
Architecture, motifs and colours particularly captivated the artist and they appear in abundance in the exhibition. Amélie Caritey trained in design and has observed very carefully what makes up the environment of the towns and villages she has visited all over the world, compiling her observations into a visual repertoire from which she takes her inspiration. The patterns of the moucharabieh, those pierced partitions providing natural or forced ventilation, have become a leitmotiv in her research. Their forms transform and combine with those of Ivorian pottery in the vases produced by the artist for the exhibition. By also re-interpreting the forms of this traditional Ivorian craft, Amélie Caritey states that she belongs to the country and expresses her wish to sign up to this cultural heritage.
The title of the exhibition, ‘Bonne arrivée chérie coco’, comes from the words of a woman the artist met in an Abidjan market on her first trip. These words therefore become the symbol of the beginning of a new story: Amélie Caritey is now welcome in this country she only previously knew through family anecdotes.
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- SUPRA – artiste et designer runspace
- 2024
Tom Castinel, Concrete Trees
- Exposition
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- 15.06.24 → 28.07.24 ExpositionSUPRA – artiste et designer runspace
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- LABalade
- 2024
Saison 3, par divergence
- Exposition
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- 15.06.24 → 30.07.24 ExpositionLABalade
- Marie Boyer, Sylvain Descazot, Thomas God, Margaux Janisset, Simon Leroux, Arnaud Rochard, Iwan Warnet
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- Galerie Maxime Lancien
- 2024
Iwan Warnet, Volutes partent en fumée
- Exposition
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- 13.06.24 → 20.07.24 ExpositionGalerie Maxime Lancien
Iwan Warnet brouille les frontières entre abstraction et figuration avec sa peinture. Il explore, à travers les ambiguïtés de la représentation, la part active des regardeur·euse·s dans la perception d’une image. Iwan se place du côté de l’allusion plutôt que de l’affirmation, joue du soupçon d’aspect et du ralentissement du regard. Il crée une œuvre de l’indice et du fragment, guidée par un rapport intime à la figure humaine.
Cette dernière, souvent présente en filigrane, affleure par traces ou par évocations sensibles. Les matières ont une dimension affective dans les œuvres d’Iwan Warnet : les roses de la teinture de garance peuvent évoquer la peau, une toile se pare d’un bijou et de fard dans une revisite du thème du nocturne.
Dans sa série de dessins Des lignes d’erre, les corps fluides dialoguent avec les plantes, dans un territoire indéfini. Le genre des figures n’importe plus, les lignes qui les dessinent s’égarent. Et dans les peintures qui en découlent, les sujets n’apparaissent que de façon discrète, émergeant à peine d’un entrelacs de tons rapprochés. Ses peintures et dessins se déploient pour un regard qui prend le temps de rentrer dans les surfaces, de tisser des liens entre les œuvres. Et qui prête du sens autant qu’il en décèle.
Avec Volutes partent en fumée, Iwan Warnet présente un corpus d’oeuvres récentes, issues de ses expérimentations à la Tannerie (Bégard) avec des techniques de teinture végétale.
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- Chapelle des Ursulines
- 2024
Des éclats de lucidité – Alain Le Quernec, affichiste
- Exposition
- 08.06.24 → 20.10.24 ExpositionChapelle des Ursulines
For the very first time, the Ursulines Chapel welcomes the work of a graphic designer, the poster artist Alain Le Quernec. The purpose of this exhibition is to highlight the commitment of the Breton poster designer, who over the last fifty years has created powerful and hard-hitting visuals, with posters that stimulate the lucidity of each and every one of us.
In our contemporary world there is a great need for poster artists who invite us to think, to decode, and to take a step back. At the Ursulines Chapel, a tour divided into five sections illustrates the power of posters, showing how they can shape the way we look at things, how they contribute to our civic life, and how they fuel our consciousness and imagination.
In the Charlie Hebdo room of Quimperlé’s media library, some press cartoons created by Alain Le Quernec for the French newspaper Le Monde, as well as pages from the regional daily newspaper Le Télégramme, will be on display. In his capacity as graphic designer, Alain Le Quernec has worked for Le Télégramme on several occasions. He redesigned the format, grid and readability of the newspaper. Echoing the press cartoons he designed for Le Monde, some of his posters illustrate the fact that – in France – visual arts are the territory of humor, where nobody is afraid of laughing at or making fun of idols.
In the third section, a series of posters created by Alain Le Quernec will take the visitor to the streets of Quimperlé for a citizen dialogue on a range of various subjects (such as ecology, civic life, culture…). It is in the public space that posters acquire their full purpose.
During the preparation of this exhibition, and in reaction to the latest news and horrors of war, Alain Le Quernec has created a new series of images. Some of them will be printed especially for this exhibition and will be displayed in the Ursulines Chapel, as well as in the Stop war publication issued by the Town of Quimperlé for the occasion. Alain Le Quernec uses his posters as weapons to draw our attention to the need for peacekeeping.
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- Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
- 2024
Renc’art Bénédicte Hubert-Darbois, Allons voir
- Rencontre
- 01.06.24 → 01.06.24 RencontreArtothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
L’artothèque/galerie Pierre Tal Coat vous invite à une rencontre avec l’artiste Bénédicte Hubert-Darbois pour découvrir l’exposition “Allons voir” plus en détail.
> 17h, gratuit, ouvert à tous
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- La Criée centre d’art contemporain
- 2024
Rasmus Myrup, Salon des refusé·es
- Exposition
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https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Capture-1.jpg
- 01.06.24 → 07.09.24 ExpositionLa Criée centre d’art contemporain
- Rasmus Myrup
This summer, La Criée presents Rasmus Myrup’s Salon des refusées, the Danish artist’s first solo show in a French venue. Some twenty characters, extravagant anthropomorphic sculptures, seated, lying down, standing, alone or in groups, occupy the space of the art center, transformed into a café/care center : a facetious and striking picture of an offbeat society.
Rasmus Myrup’s characters are drawn from Danish folklore, South Scandinavian oral traditions and Norse mythology. He draws his inspiration from the many characters that appear in them, reinterpreting their stories with a vivid imagination. Among these characters are some of the principal figures of the magical sphere, such as Gefion – goddess of the land – or the Nisse – the original ‘little Barbie’ from Scandinavian legends, and others less known, but no less important. The artist combines past and present, anchoring them in our postmodern society and its questions: in particular, they examine normativity, established order and morality, and flaunt their singularity, sensuality and freedom of being.
To create his sculptures, Myrup gathers natural objects as well as manufactured ones, from the scraps of consumer society, which he then assembles with extravagant virtuosity.
A wonderful storyteller, Myrup brings life and depth to characters who are half-human, half-plant, complete beings, Queers and allies with shifting identities and multiple lives, from a time as prehistoric as it is post-human.This separatist community, this « Salon des refusés », draws the outlines of another possible society, made of odds and ends, branches and rhinestones, likes and lichen, singularities and resistance. A society that grows and flourishes, despite everything, on the ruins of forests and blazing suburbs.
Half of the sculptures were produced and presented at the Gothenburg Biennial in Sweden in autumn 2023, then at the 1646 art centre in The Hague, Netherlands, in early 2024. At La Criée, following two creative residencies, Myrup is adding a dozen new pieces made from materials gathered in Rennes and Brittany. While these new characters are firmly rooted in the Nordic imagination, Breton touches and crossovers appear here and there.
Against the current political climate, where cultural heritage and shared histories are becoming grounds for division and exclusion, Myrup’s characters celebrate diversity and mixing. They are like Anna Tsing’s mushrooms at the end of the world*: a lesson in optimism in a world that is all too often despondent.* Anna Lowenhaupt Tsing, The Mushroom at the End of the World: on the possibility of living in the ruins of capitalism, trans. from English by Philippe Pignarre, pref. by Isabelle Stengers, Paris, La Découverte/The Preventers of Thinking in the Round, 2017, 415
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- SUPRA – artiste et designer runspace
- 2024
Inès Dobelle, Dressing
- Exposition
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- 01.06.24 → 08.06.24 ExpositionSUPRA – artiste et designer runspace
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- Le Lieu de la Photographie
- 2024
Scrabble, écho & baryté
- Exposition
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- 31.05.24 → 04.08.24 ExpositionLe Lieu de la Photographie
- Israel Ariño • Julie Hascoët • Laurent Kronental • Jérôme Blin • Gaëtan Chevrier • Vincent Catala • Hugues de Wurstemberger • Yasuhiro Ishimoto • Samuel Bollendorff • Alexa Brunet • Hiroshi Sugimoto • Ulrich Lebeuf • Pentti Sammallahti • Jürgen Nefzger • Céline Clanet • Letizia Battaglia • Élodie Guignard • William Klein • Baptiste de Ville d’Avray • Raymond Meeks • Claudine Doury • Caroline Feyt • Denis Dailleux • Thierry Nectoux • Barbara Alper • Vanessa Winship • Franck Pourcel • Yves Gellie • Michel Vanden Eeckhoudt • Stéphane Lavoué • Philippe Grollier • Amélie Labourdette • Richard Dumas • Luc Choquer • Martin Parr • José Ferrero Villares • Gérard Castello-Lopes • Klaus Pichler • Laurent Millet • Olivier Culmann • Gilbert Garcin • Georges Rousse
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- Passerelle Centre d’art contemporain
- 2024
Sweet Dreams
- Exposition
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- 30.05.24 → 26.08.24 ExpositionPasserelle Centre d’art contemporain
- Philemona Williamson
‘Sweet Dreams’ is the first monographic exhibition at a European institution by Philemona Williamson. Williamson, born in 1951 in New York, taught in Schools of Art in the United States and influenced many artists of the younger generations. She came from a modest Afro-American family and in the 1970s studied at Bennington College, then at New York University, resisting the siren calls to minimalism and abstraction very much in vogue at the time. She exhibited in many United States institutions and was awarded the Joan Mitchell Prize In 1997.
Her works all have a story, often personal, sometimes anecdotal. Williamson depicts an America at times full of hope, at times cruel, through the everyday and private lives of adolescents, children and young people. She seeks to transcribe that delicate and so ephemeral moment of the passage to adult life, that moment when children’s games become out of step, out of date or embarrassing. Her figurative paintings are warm and colourful, they attract the eye which tries to understand the narrative in the details. Often, symbolic markers of childhood such as dolls or games are represented, clearly shown in the abundance of movements and shapes. The bodies are black and white, evoking a mixed-race America. The beauty of Williamson’s works lies in the universality of her compositions, in her almost dreamed-up colours and in the infinity of possible interpretations – everyone can project onto them their own joys, pleasures and sorrows.
The title ‘Sweet Dreams’ is taken from a delicious painting on show in the exhibition: two adolescent girls seem to be dreaming of a profusion of cupcakes – those typically American cakes whose appearance overrides their taste. The title recalls the eponymous song of the group the Eurythmics in which ‘Everybody’s looking for something’. As for Williamson, she is looking to represent the at times brutal story of youth as it tips over into the world of adulthood.
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- Passerelle Centre d’art contemporain
- 2024
Transformât
- Exposition
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- 30.05.24 → 26.08.24 ExpositionPasserelle Centre d’art contemporain
- Marc Didou
Marc Didou (born 1963, Brest, lives and works in Lesneven – FR and Rossiglione – IT) returned to Brest School of Fine Arts to paint and draw but as soon as he left, he took up working with metal again, having done this from childhood in his father’s blacksmith’s forge. Getting back to this substance, its tangible quality, ‟this wayward matter”, which needs air and fire and the hammer to take shape, was like going back to his roots. His choice was reinforced by meeting the American sculptor Mark di Suvero (born 1933, Shanghai) in Brest then in New York, who Introduced him to the public space and the monumental. Finally there was Italy where he lived and continues to show his work, before returning to live and work in Lesneven.
This return to his roots, in every sense of the term, is also a return to nature, the nature surrounding us but also that of the Atomists of ancient Greece – a philosophical and physicist movement which stated that matter is discontinuous and made up of indivisible elements – and he retains the poetry and this ‟vision of the invisible”. Nothing is lost, everything is transformed and what appears was already there, as with the larva and the chrysalis in the butterfly.
From abstraction to natural forms, between reality and illusion, creation begins with a total review and deconstruction of the elements. It comes from industrial waste, from random fragments and Installed structures, the organic principle with the ‘Plasma’ series, the link in the chain, the mirror and the ‘Anamorphoses’; a pipe from a split and distorted pipeline becomes a tree again. By cutting, assembling and welding, the sculptor replays the cycles of life in a resistant material.
The exhibition titles, that are both poetic and descriptive, were chosen by the artist. A verb, ‘Transformât’, the imperfect subjunctive of ‘transformer, to transform’ is used as an opening statement for the pleasure of narrative and the idea of a past and an action that is still ongoing. The bas-reliefs of the series Ouvrefer result from the action of cutting the metal in two and the random shapes this produces. Reversus and Ana-morphé tackle reality and its hidden double, the appearance of form and of point of view, metaphors for thought in the artist’s actions.
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- 40mcube
- 2024
Chronique de l’oubli, Yoan Sorin
- Exposition
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- 25.05.24 → 22.09.24 Exposition40mcube
Yoan Sorin’s work takes the form of paintings applied to a variety of supports, of sculptures made from a variety of materials, of objects assembled and then painted, and of performances involving his own body. Each element feeds or even contaminates the others in a fluid process, within installations that constitute three-dimensional compositions constantly renewed by the visitors’ wander. Inhabited, his exhibitions, in which color is a determining element, bathe in an atmosphere where serenity coexists with anxiety.
For his exhibition at 40mcube, Chronique de l’oubli, Yoan Sorin creates new works that play with time. Like an tear-off calendar, one painting replaces another each week, while metronomes-sculptures punctuate the exhibition.
Playing with words – chronicle in its double meaning, as a chronological narrative and as something that settles in slowly but permanently, which he associates in a contradictory way with oblivion – Yoan Sorin speaks of the latent urgency of our times.
This exhibition is part of Exporama.
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- Les ailes de Caïus
- 2024
Rencontres photographiques de ViaSilva #7. Isabelle Vaillant, Élodie Guignard
- Exposition
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- 24.05.24 → 23.08.24 ExpositionLes ailes de Caïus
Les Rencontres photographiques de ViaSilva proposent, pour leur septième édition, une exposition d’Isabelle Vaillant, artiste en résidence pour l’année 2023. Ses oeuvres seront présentée à la Gare SNCF, sur le parvis du métro ViaSilva ainsi qu’à Galerie Net Plus à Cesson-Sévigné. Plusieurs dizaines de photographies à découvrir à partir du 24 mai 2024.
Chaque année, les Rencontres photographiques de ViaSilva proposent à des artistes de s’installer sur le territoire de ViaSilva, le temps de quelques mois, afin de nous montrer leur vision du chantier et de son évolution, en développant un projet photographique personnel sur un territoire en pleines métamorphoses. Autour d’une ligne artistique ouverte à tous les courants de la photographie contemporaine, ce programme se veut comme un révélateur de singularités, dans une perspective innovante et inclusive. Soutenues par un cercle de mécènes engagés sur le long terme, outre leur inscription dans la promotion de l’art contemporain, les Rencontres photographiques de ViaSilva permettent de garder une trace des mutations du territoire et de construire une mémoire photographique inédite pour les générations futures. Au terme de chaque année de résidences, les artistes restituent leur expérience photographique dans le cadre d’expositions en intérieur, à la Galerie Net Plus, et en extérieur, dans le bourg de Cesson-Sévigné, sur l’esplanade du métro ViaSilva et plus largement sur Rennes Métropole (gare, stations de métro, etc.). Ces expositions sont accompagnées de monographies publiées aux Éditions de Juillet, qui constituent aujourd’hui une véritable collection.
Pour la septième édition, la photographe Isabelle Vaillant a été conviée cette année à porter son regard sur le territoire de ViaSilva pour l’intérêt qu’elle porte aux personnes. Peu d’humain jusqu’ici dans les images de celles et de ceux qui l’ont précédée sur ce chantier à ciel ouvert. L’arrivée du métro et des nouveaux et nouvelles habitant·es va ouvrir de nouveaux horizons visuels. Ses centres d’intérêt oscillent entre les corps, parfois cliniques, l’enfance, la solitude, son lien à une nature charnelle, mais inquiétante. C’est une artiste de l’intime, de l’intérieur, du secret. Ses images sont pleines de contrastes sourds, un mélange de fiction réaliste ou de reportages oniriques.
Élodie Guignard investit le quartier afin de nous proposer son regard d’ « un midi à ViaSilva ». La photographe développe une pratique artistique autour de l’humain, de la représentation du corps dans l’espace et de son insertion avec le paysage environnant. La résidence s’inscrit dans un dialogue que l’artiste entretient depuis toujours avec le territoire et de ceux et celles qui l’incarnent. Il s’agit d’aller à la rencontre des personnes qui travaillent à ViaSilva, qui y passent la journée avant de rentrer chez elles. Elle apprécie écouter, collecter les histoires et témoignages des habitant·es quant à leur relation avec ce quartier. De l’intime au collectif, elle propose d’explorer de nouvelles pistes autour de l’ancrage des corps dans un lieu en constante évolution et construction.
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Isabelle Vaillant
Isabelle Vaillant vit en Bretagne. Sa pratique est multiforme (installations plastiques, photographies, dessins, vidéos, performances), son support privilégié reste la photographie, qu’elle mêle à ses performances et installations. Elle invite le spectateur à vivre une expérience, en déposant des confidences, un souffle, une empreinte ou une image. Elle propose une introspection qui devient matière à réflexion « Nous-mêmes » en 2006, « La Chambre Numéro 1 » en 2018, « Ton corps » en 2019. Depuis une vingtaine d’années, elle travaille auprès d’adolescents dans des établissements scolaires ou des instituts médicaux spécialisés. Elle va aussi dans les prisons, dans les centres sociaux, ou dans les hôpitaux pour y encadrer des ateliers de pratiques artistiques.
Instagram : @isabelle.vaillant_
Élodie Guignard
Élodie Guignard, photographe titulaire d’un diplôme de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles, apparait comme une artiste incontournable dans le domaine de la photographie contemporaine. Forte de plus de vingt ans d’expérience artistique, elle nous entraîne dans un monde où les liens entre l’être humain, la nature et le territoire se révèlent sous un éclairage saisissant à travers ses oeuvres captivantes.
Depuis ses débuts, Élodie Guignard explore les frontières floues entre la réalité et l’imaginaire en mettant en scène des personnages au sein de décors naturels, souvent en Bretagne. Ses séries Le lieu désiré, À travers le feuillage, et Narcisse ou le souffle renversé ont conquis un public international, mettant en lumière une sensibilité artistique unique.
Son parcours l’a également conduite en Inde, à la frontière du Bangladesh, où elle a documenté la vie des réfugiés hindous venus du Bangladesh pendant deux décennies. À travers ses séries Le village de l’aurore et Santal, elle explore la complexité des relations entre l’être humain et son environnement dans des paysages exotiques et envoûtants.
Élodie Guignard ne se cantonne pas à la photographie artistique, elle s’engage également dans des projets humanitaires, notamment en capturant la vie des migrants bangladais à Paris. Elle illustre ainsi les interactions complexes entre les individus et leurs environnements, qu’ils soient naturels ou urbains.
Instagram : @eloguignard
Le vernissage des Rencontres photographiques de ViaSilva aura lieu et date à la Galerie Net Plus le 23 mai 2024 à 18h30.
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- L’aparté, lieu d’art contemporain
- 2024
Marie Vandooren, Artificiel
- Exposition
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- 24.05.24 → 26.09.24 ExpositionL’aparté, lieu d’art contemporain
Inspiré par la manière d’habiter le monde, le travail de Marie Vandooren puise principalement dans les espaces fabriqués et exploités par l’homme.
Avec pour point de départ la photographie argentique, elle mène différentes recherches en peinture et en sérigraphie en s’inspirant particulièrement des éléments qui jalonnent notre environnement proche. Elle met ainsi en lumière la reproduction des espaces sur chaque territoire, interrogeant leur artificialisation et l’intervention de l’homme sur le paysage. Pour ses recherches en cours, elle développe un travail autour de la trame et de sa vibration.
Partant de ses photographies dont elle extirpe un bout de matière, elle accentue le grain en jouant avec la grosseur et le style de trame, créant des images hypnotiques et parfois dérangeantes.
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- Espace d’apparence
- 2024
Du côté de l’Eau blanche : Marie-Claire Raoul, Caroline Denos
- Rencontre
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- 22.05.24 → 22.05.24 RencontreEspace d’apparence
A l’occasion de la Fête de la nature et de la Journée internationale de la biodiversité, l’association Espace d’apparence donne carte blanche à Marie-Claire Raoul qui propose un temps fort, joyeux et insolite, dans le vallon du Stang-Alar à Guipavas autour de sa sculpture végétale Marcher sur l’eau blanche installée sur la prairie de Keravilin.
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PROGRAMME
RENDEZ-VOUS SUR LA PRAIRIE DE KERAVILIN (RUE APOLLINAIRE À GUIPAVAS)
13h30 > 14h15
L’artiste plasticienne MARIE-CLAIRE RAOUL évoquera la genèse et la fabrication de sa sculpture en saule vivant Marcher sur l’eau blanche.14h15 > 16h15
Avec David Noguès, éducateur Nature pour l’association Bretagne vivante, nous explorerons et découvririons la biodiversité de la prairie humide de Keravilin.16h15 > 17h00
La chorégraphe et danseuse Caroline Denos réalisera la performance RU (Récit Ultérieur), en résonance avec le projet et la sculpture Marcher sur l’eau blanche.17h00 > 18h30
Le philosophe Yan Marchand nous emmènera en balade Au fil de l’eau vers une philosophie de la mer.Départ de la prairie de Keravilin, à partir de laquelle, nous suivrons le cours du ruisseau Dourgwen pour rejoindre le jardin du Conservatoire national botanique de Brest (CBNB).
Arrivée à la cascade du Jardin du CBNB, à proximité des bâtiments administratifs (52 allée du Bot à Brest, repère « Administration » sur le plan)xxxxxx
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- L’Œil d’Oodaaq
- 2024
Festival Oodaaq #13
- Atelier
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- 15.05.24 → 19.05.24 AtelierL’Œil d’Oodaaq
FESTIVAL OODAAQ #13
Images nomades et poétiques,
Point fort de la programmation annuelle de L’Œil d’Oodaaq, le Festival Oodaaq #13 vous donne rendez-vous cette année à la Bibliothèque des Champs Libres (le 15 mai), au bar L’Attrape-Rêve (le 16 mai) ainsi qu’au Théâtre de la Parcheminerie (les 17, 18 & 19 mai) à RENNES.
Au programme : projections de programmes vidéo, conférence, projection-débat, performances et concerts.
BIBLIOTHÈQUE DES CHAMPS LIBRES
Mercredi 15 mai :
Projection, Le quotidien devient un musée vivant et le passé s’incarne dans les corps d’aujourd’hui : 12h30 & 17h
ATTRAPE RÊVE
Jeudi 16 mai:
Projection, Je suis composée de matière humaine comme vous : 20h
PARCHEMINERIE
Vendredi 17 mai:
Ouverture des portes : 17h30
Projection, Comme une promesse faite sur le sable, à peine écrite que déjà la mer l’efface : 18h15
Projection, Faire n’importe quoi que tu as décidé pour toi, n’importe quoi qui te permet d’acheter ta liberté, c’est vivre : 19h30
Performance, Milon Milon : 21h30
Performance, Ju Bourgain : 22h45
Performance, Dragshow House of Evangelion : 00h00
Samedi 18 mai:
Goûter rencontre discussion équipe artistes publics : 15h00
Projection, Géante aux pieds d’argile, féminine malgré mes efforts : 16h00
Projection, Je préfère être cyborg que déesse : 16h50
Projection, Viendra le temps du temps du feu : 18h
Projection, Apprendre le langage des arbres et des ruisseaux : 19h40
Performance, Rose Mahé Cabel : 21h
Vidéo-Performance de Marion Binois interprétée par Marine Gambardella, Marguerite : 22h25
Performance, BORA Murmure : 23h45
Dimanche 19 mai:
Ouverture des portes : 12h30
Projection, Nos silences ne nous protégeront pas : 13h
Atelier/projection de Tahin Demiral sur le cinéma De Barbara Hammer, Amour.amours.liberté : 14h20
Projection, Où je vais, les arc-en-ciel coulent sur les bras : 17h30
Live Amarin Romarin : 19h15
→ L’ensemble du Festival Oodaaq est à prix libre et conscient
→ Bar et petite restauration sur place
→ Boutique nomade : Vente de sérigraphies, stickers, cartes postales
Création visuelle par Ari Caron Delacour
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- Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
- 2024
Bénédicte Hubert-Darbois, Allons voir
- Exposition
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https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Photo-4-Benedicte-Hubert-Darbois.jpg
- 11.05.24 → 27.07.24 ExpositionArtothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
Marcher, tracer, répéter jusqu’à épuisement, inscrire le paysage. Mes recherches interrogent le rapport entre la marche quotidienne et rituelle, la trace et l’écriture.
Médiation graphique et picturale. La ligne spontanée n’est pas un contour ni un dessin, elle possède sa propre énergie, libre de toute référence à l’image, ne pas savoir où je vais me libère d’une certaine forme, d’une certaine direction à prendre, laisse toute définition du sens possible.
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- Espace Lucien-Prigent
- 2024
Exposition SOURCES, Marie Veyron Bathellier
- Exposition
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- 04.05.24 → 28.07.24 ExpositionEspace Lucien-Prigent
SOURCES aborde les notions de plaisir et d’aventure liées à la pratique artistique.
Peintures, dessins, sculptures et photographies forment un récit contemplatif et joyeux.
Marie VEYRON BATHELLIER s’empare du vivant, de l’imprévu, de la poésie de l’instant.
L’artiste y source process et cheminements et crée un langage sensoriel.Près de 150 œuvres (peintures, dessins, sculptures, photographies…) sont à découvrir, pour beaucoup créées pour le lieu.
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- La Fourmi-e
- 2024
9ème édition du festival “In Cité: arts visuels et espaces publics”
- Atelier
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- 04.05.24 → 15.06.24 AtelierLa Fourmi-e
- Denis Colin, Erwann Babin
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- méandres
- 2024
L’instant et son ombre
- Exposition
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- 27.04.24 → 01.09.24 Expositionméandres
- Julie Aybes, Anaïs Boudot, Gabrielle Decazes, Thomas Hauser, Brigitte Mouchel
« Les images ne sont ni les purs fétiches intemporels que prône l’esthétique classique, ni les simples chroniques figuratives que prône l’histoire de l’art positiviste. Elles sont des montages de temporalités différentes, des symptômes déchirant le cours normal des choses. Quand l’image survient, l’histoire se “démonte”, dans tous les sens du mot. Mais, alors, le temps se montre, il s’ouvre dans toute sa complexité, dans son montage de rythmes hétérogènes formant anachronismes. » (Georges Didi-Huberman, Devant le temps, 2000)
L’instant et son ombre présente le travail de cinq artistes : mixages de temps et de lieux — montages, assemblages, superpositions, strates — sans hiérarchie, sans chronologie.
Mélanges et fragmentations, juxtapositions d’éléments de pensées, de récits, d’imaginaires comme dans un monde dont il ne resterait que des éclats, que les artistes recueillent, disposent, laissant aussi vides, lacunes ou effacements.Fragments témoins d’une temporalité parcellaire, insaisissable, mouvante.
Assemblages qui creusent la mémoire, les formes et les représentations par le déphasage et l’anachronisme, qui évoquent un temps non linéaire, dialectique, avec des retours intempestifs de formes et de contenus.Œuvres troublantes et déroutantes qui jouent des rapports entre précision, indistinction et émotion. Non pas pour créer du chaos, de la confusion, mais pour une dynamique de décentrement, de débordement, de décadrage.
De tout cela naît un savoir nouveau. De ce moment où la raison abdique et où la fragilité du monde apparaît.
Il s’agit “d’irrationnaliser” le monde et, ainsi, d’ouvrir des possibles à la pensée.« Une photo est venue, s’est soulevée, ou s’est extraite, a surgi. […] Avec aussitôt, il faut le noter, un pouvoir d’appel de cette photo en direction d’une autre, non identifiée mais formant derrière la première comme un estuaire obscur. Et lorsque j’ai compris vers quoi, vers quelle autre image la première, celle qui donc avait surgi, faisait signe, j’ai vu s’ouvrir un écart : l’espace d’un livre, toute une affaire à raconter, celle du chemin allant de l’une à l’autre — une histoire d’ombres brûlées, de temps suspendu, avec la possibilité de voir revenir, mais alors secoués, les vieux schèmes de la présence et de l’absence, de la masse et du détail, du temps filé, ou filant, et du temps stoppé net. Toute la dramaturgie de ce qui porte l’essence de l’image. L’histoire d’un glissement de (ou dans) la pensée. » (Jean-Christophe Bailly, L’instant et son ombre, 2008)
(merci à Jean-Christophe Bailly pour L’instant et son ombre)
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en écho à l’exposition :
- vendredi 26 avril, 18h30 : vernissage gourmand en présence des artistes
- vendredi 19 juillet, 18h30 — décentrements : Recours à la nuit, enquête poétique, conversation avec Virginie Gautier (écrivaine)
- vendredi 9 août, 18h30 — entremêlements : lectures de textes contemporains par Sophie Hoarau (comédienne, dès lors)
- vendredi 23 août, 18h30 — cillements : projection du film La Jetée, de Chris Marker (1962)
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- Galerie du Faouëdic
- 2024
L’autre musée : les trésors d’une grande collection d’art contemporain
- Exposition
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- 27.04.24 → 30.06.24 ExpositionGalerie du Faouëdic
- Maja Bajevic, Paz Errázuriz, Shirley Jaffe, Oliver Laric, Richard Long, Vera Molnar, Tania Mouraud, François Poivret, Martha Rosler, Marion Scemama et David Wojnarowicz, Pierre Soulages, Jacques Villeglé.
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- La Tannerie
- 2024
MUZ YER, 8 nest boxes designed by 8 architects
- Exposition
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- 20.04.24 → 02.06.24 ExpositionLa Tannerie
- Julien De Smedt Architects (Copenhague - Bruxelles), ADEPT (Copenhague), ALTA architectes - urbanistes (Rennes), DUNCAN LEWIS - SCAPE ARCHITECTURE (Bordeaux), MARION NORMAND (Paris), KENGO KUMA & ASSOCIATES (Tokyo - Paris), THAM & VIDEGÅRD (Stockholm), DOMINIQUE PERRAULT ARCHITECTE GAELLE LAURIOT-PRÉVOST DESIGN (Paris - Genève - Madrid)
Muz Yer – en breton : « maison à oiseaux » est un parcours de nichoirs à oiseaux conçus par des architectes français et internationaux dans l’espace public, à Rennes.
La thématique des nichoirs est l’occasion de sensibiliser le public à la présence et la préservation des oiseaux, et plus globalement à la protection de la nature et de la biodiversité. L’exposition Muz Yer se révèle être un très beau support pour l’animation d’événements de sensibilisation à ces questions environnementales.
La Tannerie présentera les maquettes des nichoirs à échelle réduite, ainsi que des dessins d’oiseaux à suspendre, et des interviews vidéo qui donnent la parole aux architectes du projet.
L’exposition sera complétée par des photographies et des objets illustrant le travail des oiseaux lors de la construction de leurs nids, certains se révélant être d’incroyables architectes ! Pour cela, sept étudiantes en DSAA Design du LAAB de Rennes ont été invitées à concevoir la scénographie de cette exposition et à développer une nouvelle muséographie en créant des dessins et des objets 3D permettant de sublimer les techniques de construction et les matériaux utilisés pour la fabrication des nids. Il s’agit d’un véritable projet pédagogique pour les étudiantes qui sont également invitées début avril pendant 5 jours à un workshop de production sur site à Bégard, pour réaliser et installer le projet.
Cette collaboration portée par le fonds de dotation MG, en partenariat avec la LPO Bretagne, est l’occasion pour les architectes, les étudiants et le public d’explorer et de (re)tisser les liens entre ville et ruralité.
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- Le Larvoratoire Photographique
- 2024
Barbara Bénédicte Penn
- Exposition
- 17.04.24 → 15.06.24 ExpositionLe Larvoratoire Photographique
- Barbara Bénédicte Penn
Aedes is the result of two chance encounters (a novel by Pierre Michon and Paul Monnet’s herbarium) that set Barbara Bénédicte Penn on a frantic quest for a Book – primitive and absolute – that would bring together the lost fragments of her own origins. The herbarium, with its plant traces, obsessed the artist and became the unique and precious medium on which she would unfold the phantasmagorias of her memories and her imagination: a “paper sanctuary” where plants, animals and minerals form a living chaos.
Barbara Bénédicte Penn, born in Montreal in 1968, spent her childhood and adolescence in Brittany. She obtained a Master’s degree in Art History from the University of Rennes in 1992, and later trained in photography through various workshops and Masterclasses. She lives and works in Paris as a visual artist and archivist.
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- Galerie Maxime Lancien
- 2024
Exposition collective, Le monde perdu
- Exposition
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- 11.04.24 → 11.05.24 ExpositionGalerie Maxime Lancien
- Sosthène Baran, Maëlle Lucas-Le Garrec, Louis Ziéglé, Jules Le Maut, Maho Nakamura
« Au-dessus de nous se dressait le massif Ricardo Franco (…) Ni le temps ni le pied de l’homme n’avaient jamais effleuré ces cimes. Elles se dressaient là comme un monde perdu, couvertes d’arbres, et l’imagination pouvait y esquisser les contours des derniers vestiges d’une ère depuis longtemps révolue. » Percy Harrison Fawcett
L’exposition réunit le travail de cinq artistes, Sosthène Baran, Louis Ziéglé, Maëlle
Lucas-le Garrec & Maho Nakamura et Jules Le Maut (Courtesy La Galerie à venir)
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- Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
- 2024
Trois-quart d’oeuvres Catherine Pouplain, Une aventure
- Rencontre
- 22.03.24 → 22.03.24 RencontreArtothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
L’artothèque/galerie Pierre Tal Coat vous invite à 12h30 à découvrir une sélection d’oeuvres de la collection en lien avec l’exposition “Une aventure”.
> Gratuit, ouvert à tous
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- Phakt, Centre Culturel Colombier
- 2024
TOUR À TOUR
- Exposition
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https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Visuel-TOUR-A-TOUR-PHAKT-Rennes.jpg
- 22.03.24 → 01.06.24 ExpositionPhakt, Centre Culturel Colombier
- Valérian Henry
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- Superflux, voir l’art se faire
- 2024
Artistes en résidence
- Résidence
- 20.03.24 → 26.05.24 RésidenceSuperflux, voir l’art se faire
- Emmanuel Madec, Mickaël Soutif
Emmanuel Madec
Le travail photographique d’Emmanuel Madec fragmente le monde pour mieux dévoiler sa propension à produire simultanément de la réalité et de la fiction. Il propose des récits photographiques où les mémoires individuelles et collectives se lient au réel pour reconstruire des mondes disloqués. Les images mentales enfouies et confuses s’adjoignent à celles factuelles et circonscrites afin de révéler des histoires où l’imaginaire et le poétique s’accommodent au tangible.
Mickaël Soutif
L’univers artistique de Mickaël Soutif est peuplé d’animaux anthropomorphes ou de personnages loufoques tout droit sortis des contes pour enfants et des fables de la Fontaine. Le lapin, le chat, la sorcière, le fantôme, la tortue, le renard, la voyante et la mort participent à des récits qui renvoient aux traditions, aux coutumes et à la vie quotidienne. A travers ses bandes dessinées et ses animations, Mickaël Soutif aime aborder des sujets sérieux avec légèreté et subtilité. L’omniprésence d’internet, le parcours des migrants, les enjeux de la vie amoureuse et l’appréhension des traditions et de la mort, autant de thèmes qui tracent le portrait d’une société contemporaine baroque que l’artiste illustre avec humour et bienveillance.
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- Espace Lucien-Prigent
- 2024
Expositions sculptures
- Exposition
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- 24.02.24 → 07.04.24 ExpositionEspace Lucien-Prigent
- Association Sculpteurs Bretagne ; Philippe Pousset ; Janine Le Cann ; Laëtitia-May Le Guelaff ; Bruno Guihéneuf ; Vincent de Monpezat
SALON DE SCULPTURE – 35ème édition
DU 24 FEVRIER AU 7 AVRIL 2024
Événement incontournable du printemps, le Salon de sculpture contemporaine, organisé en partenariat avec l’association Sculpteurs Bretagne, prend place durant un mois dans le hall de l’Hôtel de Ville.
Cette année, 100 sculptures sont à découvrir, œuvres de 38 sculpteurs.
Un hommage particulier est rendu à Roger JONCOURT, disparu en 2023 et créateur du célèbre cheval de Landivisiau, Paotr mad, sur la place Jeanne d’Arc.
Les exposants 2024 :
ALLOUIS Armelle, ARANAGA Juan, BERNARD Jean-Marc, CAROSI Giovanni, CHARRON-WOLF Michèle, DERRIEN Denis, DONNET Céline, FERREIRA Inès, GARDET-MARQUER Laurence, GEORGET Christian, GESTIN Jean-Yves, GIRARD Karl, HEMERY Chantal, JAOUEN Goulven, JEHANNO Yves, JONCOURT Roger, KERNEIS Gérard, LE CANN Janine, LE FLOCH Joël, LE GOFF Jean-Pierre, LE GUELAFF Laëtitia-May, LE LOUARN Anne, LEMORT Patricia, LE YOUDEC Thierry, MAHE Dominique, MIEGEBIELLE Franck, DE MONPEZAT Vincent, PAIANO Sandra, PANSART Bruno, PASINO Charles, PERON Gaël, PICARD-HELARY Martine, PITEL Nathalie, POUSSET Philippe, SAVARY Paul, SEGUIN Esther, TALEK Jean-Claude, WITTEBOLLE Cédric
ESPACE LUCIEN-PRIGENT
Expositions de Philippe POUSSET, lauréat 2023 du Salon de sculpture, et de Janine LE CANN, invitée d’honneur.
DU 24 FEVRIER AU 7 AVRIL 2024
« Ce que j’aime avant tout c’est ce qui arrive lorsque je regarde un morceau de bois, la connexion qui s’établit entre mon esprit et la matière. (…) Tout est là, tout a déjà été créé par la nature. Il ne me reste plus qu’à m’en approcher le plus possible, la ressentir, la laisser me pénétrer, et y apporter ma propre vision. »
La trace aléatoire du feu, celle du temps qui passe, les courbes féminines, l’art tribal, celtique ou Maori, sont ses sources d’inspirations.
Si Philippe Pousset travaille le métal ou l’ardoise, c’est le bois qui a sa préférence. Armé de sa tronçonneuse et de ses outils de menuisier (gouge, ciseau à bois…), il entre en communion avec la matière dans un rapport à la fois puissant, sensuel et spirituel.« L’idée de départ peut me dépasser, m’emporter, un nœud dans le bois peut tout changer, je vis ce que j’ai à faire, mes mains savent ».
Diplômé d’un brevet de technicien en agencement, option ébénisterie, Philippe Pousset a effectué ses premiers pas en sculpture à Casablanca (Maroc), à un tournant dansant de sa vie. Il participe depuis à de multiples expositions en France et à l’étranger, se réjouissant de pouvoir sculpter « en direct » devant le public, surtout des monumentales !Janine LE CANN
Passionnée de dessin depuis l’enfance, formée aux beaux-arts de Brest, Janine Le Cann a ressenti il y a plus de quinze ans, le besoin de passer au volume. Dans le dessin (mine de plomb, pastel) ou la peinture (aquarelle, huile), les sujets sont variés (paysages, natures mortes, nus, animaux). En sculpture (terre, bois, ciment et bronze), le sujet est toujours autour de l’humain et de l’émotion qu’il suscite.
https://sculpteurs-bretagne.bzh
HORS LES MURS / INSTALLATIONS
DU 24 FEVRIER AU 7 AVRIL 2024
Trait d’union entre les différents lieux culturels de la ville, le projet “Hors les Murs” permet de mettre à l’honneur les multiples formes de la création sculptée.
Retenus dans le cadre d’un appel à projets lancé par la Ville de Landivisiau et en partenariat avec l’association Sculpteurs Bretagne et le service culturel de la Ville, trois projets artistiques ont été retenus, pour trois lieux emblématiques de la ville : le parc de Kréac’h Kélenn, la fontaine Saint-Thivisiau et le parvis de l’Hôtel de Ville.Les lauréats 2024 :
> Parc de Kréac’h Kélenn : Laëtitia-May LE GUELAFF – sculpture Envol
> Fontaine Saint-Thivisiau : Vincent DE MONPEZAT – installation Conversations
> Parvis de l’Hôtel de Ville : Bruno GUIHÉNEUF – sculpture Flux 245
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- Les ailes de Caïus
- 2024
Faire, refaire : Céramiques et plaques émaillées. Peter Briggs
- Exposition
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- 22.02.24 → 19.04.24 ExpositionLes ailes de Caïus
Peter Briggs est né en Angleterre où il découvre la sculpture et la gravure. De son père botaniste, il découvre et observe la nature. Son travail se caractérise par une compréhension physico-sensorielle de la matière. Il est empreint de la mémoire des choses (réinterprétation des formes des objets utilitaires) et de leurs états antérieurs (le métal en fusion chaud et liquide devenu froid par exemple). L’artiste accorde une importance particulière au détail plutôt qu’au tout, aux accords chromatiques des matières plutôt qu’aux pigments, aux assemblages mouvants plutôt qu’aux choses figées… Un univers unique qui passe par une exploration du sens du toucher et d’une perception sensible et culturelle de la matière qui nous compose et nous entoure.
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À PROPOS DE L’ARTISTE
Né le 17 juillet 1950, à Gillingham (Grande-Bretagne). Formation : Hornsey College of Art/Ecole des Beaux-Arts de Dijon. Enseigne la sculpture à l’école des Beaux-Arts de Tours depuis 1983. Vit et travaille à Tours puis à Saint Pierre des Corps depuis 1983.
Site internet : peterbriggssculpture.com
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- L’aparté, lieu d’art contemporain
- 2024
Alexandre Berthaud et Bruno Kervern, collectif Mille au carré, Les flûtes et le fou
- Exposition
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https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Mille-au-carre-Les-flutes-et-le-fou-2024-scaled.jpg
- 16.02.24 → 03.05.24 ExpositionL’aparté, lieu d’art contemporain
Alexandre Berthaud et Bruno Kervern se sont rencontrés au sein du collectif Mille au carré, un espace de création propice au développement d’un univers où graphisme, son, design d’objet, électronique, se côtoient de manière transdisciplinaire.
En considérant les technologies numériques comme source d’inspiration, les artistes déconstruisent leurs usages et les détournent à des fins poétiques. Les outils et techniques qu’ils questionnent deviennent des matériaux propices à la transversalité des arts. La donnée numérique comme médium permet de générer de l’interaction entre graphisme et musique, mais aussi entre humains et environnements.
L’exposition à L’aparté sera l’occasion pour eux de présenter de nouvelles créations, ainsi que certaines plus anciennes. L’ensemble évoque un cabinet de curiosité des temps modernes, où d’insolites vestiges du futur se côtoient. Liés par la matière et les technologies, ils semblent dialoguer via d’étranges moyens d’expression.
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- Passerelle Centre d’art contemporain
- 2024
Elsewhere
- Exposition
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- 16.02.24 → 18.05.24 ExpositionPasserelle Centre d’art contemporain
Elsewhere is a new commission and the first institutional solo exhibition in the UK by Alia Farid. Working in film, sculpture, and textile, Farid traces histories often marginalised or obscured by the Global North. In her artworks, communities, local practices, and traditions are reconsidered, giving the rhythms of everyday life political significance and potency.
Sixteen hand-woven and embroidered rugs are installed in the ground floor of Passerelle. Drawing from photographs, archival material, and interviews with local people, the works detail cityscapes – buildings, shop fronts, and adverts – that conjure the presence of the Palestinian diaspora in Puerto Rico (USA). Pharmacies and restaurants, owned and operated by Palestinians, are woven alongside brightly coloured mosques and a menu detailing ‘Arabic cuisine’.
The result of a close collaboration with weavers in Samawa, in southern Iraq, the textiles have been crafted through a combination of flat weaving and chain stitching specific to the region. Architecture, script (Arabic and Spanish) and traditional woven motifs recur throughout, illuminating how migration from one region in the Global South to another, brings forth new meanings, forms, and expressions of shared struggle and solidarity. Hanging in many parallel rows, the installation creates panoramic views, and a layering of lived history and daily routine.
Elsewhere is a growing material archive that traces the ways styles, symbols, rituals, and other social devices coalesce across continents. It is the first chapter of an ongoing research project, initially conceived in 2013, which maps Arab and South Asian migration to Latin America and the Caribbean. Other sites of investigation include Trinidad, Cuba, and Mexico. In this accumulative and iterative process, Elsewhere marks one crossroads on an intricate map.
As a counterpoint to this new installation, the Chibayish films series from 2022 and 2023 are also being shown, evoking the impact of the oil industries in particular on the social and ecological fabric of southern Iraq and Kuwait. Chibayish follows young marsh inhabitants as they introduce their homeland and its communities. The result is a stunning portrait of a natural landscape shaped as much by intimate, communal ways of life as by war, resource extraction, and industrialisation.
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- Passerelle Centre d’art contemporain
- 2024
Ondine Bertin, “MojennLab”
- Exposition
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https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/CACP-2024-Ondine-Bertin-036_3.jpg
- 16.02.24 → 18.05.24 ExpositionPasserelle Centre d’art contemporain
‘Passerelle is delighted to announce a ground-breaking collaboration with MojennLab, an avant-garde Breton start-up specialising in the creation of ancient and modern legends and optimising the tourist offer. This unique alliance between the art centre and the creative originality of the start-up marks an exciting new venture in the world of contemporary art. MojennLab is recognised for its ability to transcend the limits of the imagination and has joined forces with Passerelle to produce an exhibition that redefines the norms of creativity. The MojennLab combines history and narrative to create unique and unforgettable experiences. MojennLab offers local communities packages of myths tailor-made for each area: dragons, UFOs, brain-eating zombies or reincarnations of Joan of Arc or Charles Martel.
Loïc Le Gall, Director of Passerelle, talks with enthusiasm of this exceptional collaboration: “Passerelle has always been devoted to celebrating art in all its forms. By joining with MojennLab, we have the opportunity to push back the limits of our commitment to artistic innovation and entrepreneurship and present our audience with an incredible artistic experience.” The co-founder of MojennLab, Guildern Le Guenec’h, is delighted with this visibility: “To have the chance to show what we are capable of in an art centre such as La Passerelle demonstrates the original and international ambition of MojennLab. We are here to design the tourism of tomorrow and I am sure that art can help us in some way.”’
Ondine Bertin (1995) is a graduate of the European Academy of Art in Brittany (Brest site) and in 2023-2024 she was awarded a place on the Artist in Residence Workshops programme. She invites us to take part in a unique adventure at Passerelle by inventing a business of the imagination specialising in the creation of legends for regions that do not have their own. Hers is a caustic world, gently mocking the world of business and its codes, from the sometimes absurd teambuilding, to the new Franglais thrown up by the new professions, and examines the notion of the purpose of work, well-being and achievement.
Her MojennLab business, a portemanteau word combining Mojenn, Breton for legend, and Lab for laboratory, is sufficiently unusual and plausible to be almost credible in its role as a tourism consultancy. Whereas the words are perfectly believable, the images betray a use of artificial intelligence with room for improvement – which the artist demands – that often causes glitches (unexpected minor digital errors) with horrible results such as deformed faces.
Imagining a scenario that could be real, she questions the place of truth and information in today’s world where fake news has become almost indistinguishable from real news. How is history written? How is it sometimes falsified? These are serious questions which Ondine Bertin develops in her exhibition under the cover of her humour that is sometimes dark and sometimes simple and basic.
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- Passerelle Centre d’art contemporain
- 2024
Pour des lieux de productions artistiques
- Exposition
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https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/CACP-2024-Atelier-Magma-025.jpg
- 16.02.24 → 18.05.24 ExpositionPasserelle Centre d’art contemporain
- Atelier Téméraire, Pauline Balverde, Elouen Bernard, Marion Bonjour, Boutefeu, Solène Chartier, Maël Cosotti, Naomi Daviaud, Steven Dreux, Margaux Germain, GuiMel, Jade Herbert, Mélanie Hilaire, Alice Khau, Millemains, Natacha Richter, Caroline Thiery
Passerelle has invited Atelier Magma to put on a unique joint exhibition. Atelier Magma is an association created in 2023 by and for a group of artists and designers from Brest and Finistère. The objective is to bring together artists from the local area to experience and manage a collaborative workspace. And for a very good reason, as times of sharing, meeting and reflecting stimulate creativity and promote the cross-fertilisation of practices. The need to do this was obvious: you had to get together in order to exist and create.
So this group has no particular coherence or common artistic practice. The people in the group know each other partly from an experience at the former Cercle Naval in Brest – the city of Brest kindly made available artists’ workshops in 2021 for local artists who responded to a call for projects – and partly from the emergence of the Art Schools of Brittany, in particular the Brest site of the European Academy of Art in Brittany. The members of Atelier Magma have never exhibited together and for some of them this is their first opportunity to show their works in the setting of a contemporary art centre.
The exhibition brings together 17 artists or collectives as members of Magma. Although the body of work varies hugely, one theme may be perceived: notions of traces and memory. “What remains of a collaboration between artists and the inhabitants of a place? Which moments of life should be preserved and in what forms? Which reality should we safeguard or modify?” are all questions demanding to be answered when you visit the exhibition. Through the clues and propositions offered by many of these artists, an important and implicit questioning gradually emerges: what is the place of the artist in our current society that is so polarised?
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- Les Moyens du Bord
- 2024
Exposition “Les temps changent…”
- Exposition
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https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/Vanessa-Dziuba-Printé.png
- 10.02.24 → 06.04.24 ExpositionLes Moyens du Bord
- Pauline Barzilaï, Tamaris Borrelly, Io Burgard, Alix Delmas, Leah Desmousseaux, Vanessa Dziuba, Juliette Green, Diego Movilla, Paul Pouvreau, Super Terrain, Agnès Thurnauer. L’exposition « Les temps changent » présente pour la première fois au public les nouvelles acquisitions de l’artothèque de l’association Les Moyens du Bord.Notre époque, l’impact de l’activité humaine sur la nature, la terre et son environnement, induisent des changements à la fois prévisibles mais tout autant incertains. L’exposition « Les temps changent » regroupe onze artistes dont l’oeuvre et la pratique interrogent notre rapport au temps. Chacun d’eux considère les enseignements du passé et du présent afin de déterminer une possible représentation de l’avenir. Toutes ces questions sont susceptibles de donner des clés pour imaginer des perspectives qui tiennent à l’imaginaire comme à la réalité et de voir comment, du point de vue des artistes, « les temps changent ».Avec les œuvres de : Pauline Barzilaï, Tamaris Borrelly, Io Burgard, Alix Delmas, Leah Desmousseaux, Vanessa Dziuba, Juliette Green, Diego Movilla, Paul Pouvreau, Super Terrain, Agnès Thurnauer.
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- Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
- 2024
Renc’art Catherine Pouplain, Une aventure
- Rencontre
- 03.02.24 → 03.02.24 RencontreArtothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
L’artothèque/galerie Pierre Tal Coat vous invite à une rencontre avec l’artiste Catherine Pouplain pour découvrir l’exposition “Une aventure” plus en détail.
> 17h, gratuit, ouvert à tous
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- La Criée centre d’art contemporain
- 2024
Anne-Charlotte Finel, Respiro
- Exposition
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https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/IMG_AC-FINEL_RVB-bd-e1702632728278.jpg
- 03.02.24 → 28.04.24 ExpositionLa Criée centre d’art contemporain
Camera in hand, Anne-Charlotte Finel explores interstices and boundary zones: between light and darkness, wild and man-made spaces, animal and plant, human and non-human, living and machine, etc. With its exploration of these thresholds, the Respiro exhibition at La Criée centre d’art contemporain offers a visual and aural experience that questions and blurs the contours of our perceptions and representations.
In Respiro, a first version of which was presented in autumn 2023 at the Centre d’Art de Saint-Fons, Anne-Charlotte Finel draws on a series of recent pieces to create an environment made of darkness and shards of light, of furtive yet slow movements, of blurs, details and materials. To create her sometimes phantasmagorical images, the artist uses only her camera. There’s no mise en scène, just a patient, attentive recording of the living; an alliance between the artist’s eye and the mechano-electronic eye of her camera.
At La Criée, the artist has reconfigured the space of the art centre into three areas, structured by oblique partitions. Each area plunges the visitor into an atmosphere that is both specific and permeable to the neighbouring spaces, through a slight diffusion effect. The ensemble is underpinned by a soundtrack composed by Voiski that reinforces the impression of detachment from reality with its abstract and naturalistic electronic layers.
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- 40mcube
- 2024
Carla Adra, Se perdre sans peur
- Exposition
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https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/04_40mcube_carla_adra_visuel_portrait.jpg
- 03.02.24 → 04.05.24 Exposition40mcube
Carla Adra is a French, Canadian and Lebanese artist whose work, composed of performances, installations, videos, drawings, writing, and more) is based on everyday life, its contexts and its hazards.
Conceived as working with the living, the artist’s practice refers to the notion of intimacy, which she defines as a matter, an interface, a friction, that links beings together in a continuum of relationships.
With her desire to generate connections between people, She develops systems that create links and act as sounding boards, making audible words that have found no refuge and that are usually disqualified. Speaking of others through herself, her work questions self-effacement and disappearance behind the stories, aspirations and feelings of those whose words she listens to, endorses and passes on.
For her exhibition at 40mcube, she developes new situations that reflect her work process.
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- Galerie du Faouëdic
- 2024
Sauvage manière
- Exposition
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https://www.artcontemporainbretagne.org/wp-content/uploads/320x240-basse-definition.jpg
- 19.01.24 → 14.04.24 ExpositionGalerie du Faouëdic
- Thomas Daveluy et Guillaume Lepoix
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- Artothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
- 2024
Catherine Pouplain, Une aventure
- Exposition
- 13.01.24 → 27.04.24 ExpositionArtothèque – Galerie Pierre Tal-Coat
Dessiner est une aventure et cette exposition est une aventure. Je voudrais raconter quelque chose d’universel et de moi en même temps. Raconter des histoires, des sensations, des émotions, des sentiments. Raconter l’envie de nature, de paysages, de jardins désordonnés, de forêts profondes, de chemins énigmatiques. Raconter l’envie d’humains, d’étreintes, d’attentions et de regards. Raconter la rencontre de tout ça, les plaisirs et les déceptions. Comme une grande histoire en cours. Une histoire d’aventure dessinée où les formes et les couleurs explosent sous vos yeux.
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- Phakt, Centre Culturel Colombier
- 2024
Yōkai
- Exposition
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- 12.01.24 → 09.03.24 ExpositionPhakt, Centre Culturel Colombier
- Makiko Furuichi