• L’Atelier de l’Achille
    • 2024
    •   Résidence d’été, Ugo Lange

    • Résidence
    • 22.07.24 → 23.09.24
      Résidence
      L’Atelier de l’Achille
    • Du 22 juillet au 23 septembre, l’Atelier de l’Achille accueille en résidence de création, l’artiste plasticien Ugo Lange.

      Ugo Lange, né en 1993, vit et travaille dans le Haut-Rhin. Après son diplôme à l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Bourges en 2017, il s’installe au sud du Mexique jusqu’en 2019. Un séjour qui marque durablement son rapport au dessin, notamment par la pratique du portrait dans les marchés, et du dessin de paysage dans les montagnes et forêts. Il est maintenant installé dans le massif vosgien, au sein du Collectif des Possibles, collectif mêlant arts vivants et arts plastiques.

      Depuis 2020, Ugo Lange part en résidence et expose dans différentes régions de France et mène, en parallèle de sa peinture, des projets allant de l’édition à l’installation de céramique en forêt. 

       

      Son projet de résidence :

      Ugo Lange s’intéresse aux relations intimes que les êtres humains entretiennent avec le reste du monde, vivant et minéral. Questionnant la notion d’individualité à travers un prisme écologique, il cherche les limites du soi et de l’autre, notamment par la création de “portraits-monde” mettant en scène l’hybridation de l’humain et du minéral, de l’animal, du végétal, du mycélien, et même du bactérien. Vivant dans un milieu de forêts et de montagnes, Ugo Lange est habitué à un biotope constitué d’animaux et de plantes qui apparaissent dans ses dernières peintures et dessins.

      L’écosystème côtier de Saint-Malo lui permettra de se familiariser avec d’autres formes géologiques et vivantes. La mer est à la fois le berceau de la vie sur Terre et une zone d’impermanence plus manifeste que la montagne. Les marées changent constamment les paysages, et la météo varie plus rapidement qu’en hauteur.

      Son projet de résidence s’articulera autour de peintures et de céramiques, mettant en scène des espaces-personnages constitués d’éléments divers, à la fois habitants et habités, hybridés avec des formes de vie propres à Saint-Malo. La mer, le sable, les oiseaux marins, les crustacés, les algues, les nuages, y prendront une place particulière. Les formes se révéleront au fur et à mesure de la résidence

    • L’Atelier de l’Achille
    • 2024
    • Les yeux composent le soleil en étoile, Camille Derniaux

    • Exposition
    • 13.07.24 → 22.09.24
      Exposition
      L’Atelier de l’Achille
    • Exposition Sortie de résidence Atelier de l’Achille

      Cette exposition nous invite à nous questionner sur la lumière et la façon dont elle nous guide.  Lors de sa résidence à l’Atelier de l’Achille, Camille a photographié le soleil, s’est inspirée des mystérieuses tours de feux, a regardé les étoiles… Ses créations deviennent des repères lumineux de navigation poétique et expriment des sensations météorologiques. À travers des poèmes, des vitres gravées, des chemins d’étoiles, des veilleuses en porcelaine, Camille tente de modifier notre perception de la lumière.
       

    • L’Atelier de l’Achille
    • 2024
    • L’Atelier de l’Achille accueille Adèle et Blanche Vivet en résidence de création Arts Visuels
       

    • Résidence
    • 08.04.24 → 01.07.24
      Résidence
      L’Atelier de l’Achille
    • Dans le cadre de son soutien au secteur des arts visuels et à la création, la ville de Saint-Malo propose un dispositif annuel de résidence pour un ou plusieurs artistes plasticiens. Situé dans le cadre exceptionnel du domaine de la Briantais, l’Atelier de l’Achille se veut un espace d’expérimentation, de création et d’échanges donnant lieu à une exposition sortie de résidence. Niché en lisière de ce parc de 27 hectares qui abrite un château datant de la fin du XIX siècle, récemment classé Monument historique et qui domine l’estuaire de la Rance, cet ancien corps de ferme est un lieu privilégié que la Ville souhaite partager avec les artistes émergents. La résidence de l’Atelier de l’Achille incarne la volonté de réunir nature et culture au cœur d’un poumon de la cité.

       

      Du 5 au 19 avril, puis du 16 mai au 1er juillet, l’Atelier de l’Achille accueillera en résidence de création, Adèle et Blanche Vivet, un duo de sœurs artistes plasticiennes.

       

      Née en 1996, Adèle Vivet est diplômée de l’Ecole Boulle de Paris, de l’Ecole Supérieure d’Art et Design de Saint-Etienne et de la Design Academy d’Eindhoven aux Pays-Bas. Sa pratique, principalement tournée sur l’Histoire, entremêle une grande variété de médiums, allant de la peinture aux pratiques digitales, telles que l’impression 3D.

       

      Née en 1999, Blanche Vivet est diplômée de l’Ecole Boulle de Paris et de la Design Academy d’Eindhoven aux Pays-Bas. C’est au travers du dessin, de la peinture et de l’écriture qu’elle tente de capturer mémoire et réminiscences. Par le textile, elle souligne la poésie de la réutilisation.

       

      Au cours de leurs formations professionnelles aux Pays-Bas, Adèle et Blanche ont suivi différents programmes de résidence mis en place par la Design Academy d’Eindhoven :  Adèle à l’EKWC d’Oisterwijk (European Ceramic Work Center) et Blanche au TextielLab de Tilburg (Musée et espace de recherche et développement du textile).

      Vivant et travaillant à Paris, elles sont aussi membres du collectif Turbo à Pantin, qui soutient et valorise la création artistique contemporaine dans le domaine des arts plastiques.

       

      C’est par un dialogue entre références historiques précises et débordement émotionnel que les deux sœurs reliront la ville de Saint-Malo, décor de leur enfance. Entre dessins, peintures et sculptures, elles plongeront dans les histoires d’un passé afin de le revivre et d’embarquer les visiteurs dans des légendes. Autant par son attrait symbolique que sa transformation dans l’Histoire, l’art du conte est leur fil d’Ariane. La sirène et la sorcière sont deux entités déformées par le temps et la culture populaire, qu’Adèle et Blanche Vivet exploreront durant leur temps de résidence. Au travers d’une « duo-fiction », elles envisagent cette résidence comme une coupure dans le temps, qui les invitera à replonger dans leurs histoires respectives, les relire et les relier.